Paragraphe Argumenté Stupeur Et Tremblements

p.  533 L/ES/S)  ; dans les « Outils d’analyse », l’extrait de Michel Butor, La Modification (p.  431 ES/S et Techno / p.  551 L/ES/S). 27 2210441163_027-115_Ch1_LDP_Fr1.indd 27 08/07/11 11:28 Français 1re – Livre du professeur Paragraphes des Repères littéraires Textes et entrées dans le chapitre « Le personnage de roman du XVIIe siècle à nos jours » Aux origines du personnage de roman SÉQUENCE 3 – De la rencontre amoureuse à la séparation dans les romans du XVIIe siècle

PRÉLIMINAIRES La première difficulté constatée est d’abord de lecture : les arguments de l’esprit doivent-ils être pris au sérieux ? Tout repose sur le dosage subtil de sérieux et d’humour (à cet égard, il est important de bien lire ce qui précède et ce qui suit, car cela donne le ton et la portée du discours). Rien n’assure qu’un « prêche » puisse convaincre. Ce dosage oblige à revoir le choix et la portée des arguments : Montaigne est-il à ce point sensible à la « vanité » et prend-il à son compte

la légère car, dans cette hypothèse, de combien devons-nous diminuer la beauté et la valeur de cette sorte de invariables que toute proposition sur la quantité et le nombre. Mais, récemment, un philosophe (M. Hutcheson) nous a enseigné, par des arguments persuasifs, que la morale n'est rien dans la nature abstraite des choses mais est entièrement relative au sentiment ou goût mental de chaque individu, tout comme les distinctions du doux et de l'amer, du chaud et du froid viennent de la sensation

l'épouvantaient. Le meurtrier s'était jeté, tête baissée, dans ces gens de police, par un coup d'audace qui devait le sauver. Mais il ne pouvait s'empêcher de frémir, en sentant leurs yeux qui l'examinaient; il voyait de la méfiance où il n'y avait que de la stupeur et de la pitié. Suzanne, plus frêle et plus pâle, était près de s'évanouir. Olivier, que l'idée de la mort effrayait et dont le coeur restait d'ailleurs parfaitement froid, faisait une grimace de surprise douloureuse, en scrutant par habitude le visage

révèle une piété faite d’humilité et de ferveur. VERS LE BAC Invention S’adressant à ses commanditaires religieux, Georges de La Tour peut expliquer l’intérêt de choisir un modèle dans le peuple pour incarner le personnage sacré, à partir des arguments suivants : – grâce au réalisme, attirer davantage le public qui pourra se reconnaître dans le personnage représenté : la peinture sacrée en tire une force et un attrait supplémentaires ; – poursuivre la tradition du Caravage en l’adaptant à

révèle une piété faite d’humilité et de ferveur. VERS LE BAC Invention S’adressant à ses commanditaires religieux, Georges de La Tour peut expliquer l’intérêt de choisir un modèle dans le peuple pour incarner le personnage sacré, à partir des arguments suivants : – grâce au réalisme, attirer davantage le public qui pourra se reconnaître dans le personnage représenté : la peinture sacrée en tire une force et un attrait supplémentaires ; – poursuivre la tradition du Caravage en l’adaptant à

Le rouge et le noir. Théophile Gautier : les contes fantastiques. Maupassant : Bel ami; Pierre et Jean. Auteurs du XX Siècle. Colette : La vagabonde; la chatte; Sido. Mauriac : Génitrix, Giono : Regain Amélie Nothomb : stupeur et tremblement La battue au loup : de la page à la page Sujet de dissertation : « La cruauté voyez-vous inspire ». Vous semble nous concerner; apostrophe qui crée une complicité avec le lecteur. Sorte d’aparté comme au théâtre. Introduction

calme quand la Belette place le débat sur un plan juridique. Une fermeté dépourvue d’agressivité ver 27-29 alexandrin et coupure a l’hémistiche. Le seul problème pour lui est qu’il a la naïveté de croire que la Belette peut-être sensible à ses arguments. III. Dimensions symbolique et critique A/ Caricature de la justice Raminagrobis : fait semblant d’être grave/ sérieux / important Grippeminaud : chez Râblais, c’est l’archiduc des chats dans la littérature Hypocrisie de ce juge « un

exactement comme on récompense un animal obéissant.(chapitre XIII) AXES DE LECTURE I- Une ville peuplée de simiens CHAPITRE XII Ulysse Mérou espérait trouver des hommes dans la cité où il a été conduit par les chasseurs. Sa déception mâtinée de stupeur est sans limite. La ville civilisée qu’il a aperçue du vaisseau est habitée par 71 des singes. Aucune trace d’homme, sinon les proies captivées lors de la chasse. - J’examinais anxieusement les passants ; c’étaient des singes . - Ils étaient habillés

vers l'Orient du Farghestan ennemi (p. 739), pôle traditionnel des commencements –, lequel sert de comparant aux instructions écrites du Conseil où Aldo décrypte une intention de nouveauté par rapport à sa mission : "Comme le premier tremblement imperceptible d'une coque qui glisse à la mer, il me semblait que quelque chose, sous mes yeux que je ne voulais pas en croire, avait bougé." (chap. 7, p. 674) [20] En outre, ce désert des Syrtes où se passe l'action fait la transition [21] entre