Paris Ville Décor

LM0018Y – Littérature française (des XIX° et XX° siècles) B – Poètique de la ville. LM0018Y – Littérature française (des XIX° et XX° siècles) B – Poètique de la ville. Le 09/10/07 INTRODUCTION J. Guichardet, Balzac, archéologue de Paris Ville = système complexe d'ensembles de constitution différente = éléments naturels, matériels et humains. - Géographie de la ville (importance à l'origine de la ville) - Matériels créés par l'homme (infrastructures – voiries / les superstructures – bâtiments)

l’ivresse de Paris pour échapper au mal-être. Ville = anonymat et sécurité Dans ce poème apparition éphémère et bouleversante d’une femme à la fois éphémère et éternelle. Éphémère par son apparition MAIS éternelle pour le poète qui ne l’oubliera pas. Forme Sonnet, 2 quatrains pour la rencontre, 2 tercets pour les souvenirs ou le poète analyse ses émotions. Opposition traditionnelle quatrains/tercets : la lecture s’impose linéaire. Le coup de foudre 1. Le décor de la rencontre

« LES DISQUES » Fernand LEGER Né le 4 février 1881 en Normandie, Fernand LEGER est un peintre français souvent désigné comme « paysan de l'avant garde ». Parti à Paris en 1900 pour suivre une formation d'architecte, il se lance en fait dans la peinture avec comme compagnon de route Cézanne, Modigliani, Delaunnay ou encore Apollonaire. En 1909 il peint « La Couveuse » qui ouvre sa période cubiste. Sa conception du cubisme est très différente de celle de Picasso et du cubisme traditionnel

fenêtre pour créer ses poèmes. On découvre le Paris du XIXe siècle. - Le poète à sa fenêtre : thème romantique. - Omniprésence du ciel -> champ lexical. Astrologue, clochers (2), mâts, ciel / cieux (religieux). Strophe 1 : V2 :nuit V3 :Matin :le jour. Strophe 2 : ciel voilé (brume, fumée, fleuves de charbon, nuit / pénombre.) Vastitude, liberté, associés à la ville. 2) La ville industrielle a) "Les clochers" : aspect traditionnel de la ville de Paris. b) - Les usines : -> L'atelier -> "les

dire au revoir à ma ville Une dernière danse en hommage à ma vie Mes galères, mes passages à vide Elle refusera pas l' invit' Paname... Les touristes ne connaissent pas ton vrai visage Tes coins sombres et ce que t'y cache Nous on s'est toujours tout dit cash Si j'avais du cash je me serais pris un de tes apart' dans le 16ème Une caisse, c'est triste mais souvent Les filles belles et zen c'est tout ce qu'elles aiment Mais manque de peau j'ai toujours été pauvre Paris tu connais ma story

amoureuse du poète. Dans les 5 dernières strophes Guillaume Apollinaire, dans La Chanson du mal aimé (1913), déambule dans Paris, en proie au mal d’amour,il cherche dans ce décor urbain des résonances avec sa peine et un divertissement contre sa douleur. I) Un poète errant A)L’ errance Dès le quatrième vers : « J’erre à travers mon beau Paris », le poète erre dans Paris « sans avoir le cœur d’y mourir » + assonance en [R] qui souligne cette errance Pas de ponctuation, signe de l’abandon des

successives de construction : mérovingien, roman et gothique se côtoient. 1. Historique et origines de l’abbaye D’après une légende, l’abbatiale aurait été fondée par Clovis en personne au lendemain d’une victoire remportée dans la ville sur les Visigoths en 506. Le roi franc, ayant fait le vœu de construire un monastère s'il triomphait, lança du haut de la colline son javelot pour marquer l'endroit précis où s'élèverait « l'abbaye aux mille moines », en mémoire à mille de ses guerriers

"basilique", devenant ainsi un lieu de pèlerinage. Avant même de pénétrer à l'intérieur du Sacré-Cœur, depuis le parvis de la Basilique, profitez d'une vue imprenable sur Paris, et ensuite, depuis le dôme principal, admirez la vue qui s'étend jusqu'à 50 km à la ronde ! Parmi les éléments les plus remarquables du décor intérieur, la Basilique abrite notamment une cloche baptisée la "Savoyarde", d'un poids de 18 835 kg et d'un diamètre de 3 mètres, ce qui fait d'elle la plus grosse cloche de

siècle » Présentation Quel est le nom de l’édifice qui abrite le musée et de quand date-t-il ? L’édifice qui abrite le musée et sa collection est l’hôtel Donon. Celui-ci fut construit dans les environs de 1575. Il fut ensuite acquis pas la ville de Paris qui y installât le musée. Qui a réuni cette collection du XVIIIéme siècle ? Qu’en déduisez-vous quant au nom du musée ? La collection a été réunie par Ernest Cognacq ainsi que par Marie-Louise Jay. Le nom du musée vient donc du nom des deux

Sabatier. Ce sont des poèmes d’amour, mais pour Baudelaire, l’amour est voué à l’échec, au Spleen. Dans la section des « Tableaux parisiens », le poète trouve en quelque sorte un remède, même s’il voit dans la ville diverses figures de sa propre détresse. Dans ce sonnet, le thème de la ville modern offre au poète un sujet de description, narration et réflexion. Mais il ne reste pas à l’extérieur du spectacle de la rue, il participe à la recherche de rencontres décisives en quête de symboles, reflets