Parjure

qu’exécuter. Vous seule avez poussé le coups… » v. 8-9. En outre, Oreste est énormément choquer car il ne s’attendait pas à un accueillement aussi décevante de la part d’Hermione et ce passage suivant montre son confusion lorsque celle-ci lui lance des parjures inattendu: « O Dieux! […] Ne m’avait vous pas […] ordonnée son trépas ? »v.20. Ainsi, Oreste doit subir un embarras très deshonorable (pour un embassadeur) pour avoir tué un roi pour un amour qu’il croyait exister. D’autres part, Oreste éprouve

propre cruauté (dont il ose lui faire reproche) par la violence de l’oxymore « ton impitoyable tendresse ». Il ose aussi lui reprocher son « obstination ». Il va jusqu’à devancer ses reproches : « Je sens bien que voilà une belle occasion de crier au parjure. » La lettre est donc aussi d’une redoutable habileté dans l’art de faire mal : elle annonce le sadisme. III. Le libertinage a) L’inconstance, Loi de la nature Cette Loi est posée d’emblée, dès le premier paragraphe, et elle justifie l’inconstance

plus souple que pour le vassal et pour cause, il ne prêtre pas serment, si il ne respecte pas ses obligations, il encoure seulement à une mauvaise réputation tandis que si le vassal manquait à ses obligations, il était coupable de perfidie et de parjure »,par conséquent, il peut y avoir des sanctions humaines : on ne lui fait plus confiance alors on lui coupe la main afin d’illustrer ce fait ou des sanctions religieuses comme l’excommunication c’est-à-dire que la personne n’est plus considérer comme

régime en place. L’énumération dans la sixième strophe de profession péjoratives telles que « infracteurs » v.51, « corrupteur » v. 52, « meurtriers » v.53, « ouvriers » v.54 vient dresser un portrait dépréciatif de la société. L’utilisation du mot « parjures » traduit l’hypocrisie des hommes. De plus la présence de nombreux adjectifs péjoratifs tels que « effroyables » v.53, « pâles » v.55, « horrible et venimeuse » v.57 traduit la vision défavorable que porte Viau de la société. L’opposition avec des

passage. 2. Un traître Néron incarne ici la traîtrise Choix du poison significatif → suppose une lâcheté par opposition au fer (v.15): arme digne. Comparaison avec l’épée → critique de l’empereur v.12 “par les mêmes serments” → fait de Néron un parjure Rôle de Narcisse: ministre de la vengeance de Néron (v.13). Néron délègue le meurtre à son subordonné. Une mort pathétique car Narcisse : le gouverneur de Britannicus. Inhumanité de Narcisse dans sa cruauté v. 26-27 → 2ème visage du traître certains

règle religieuse n’est pas une règle de droit. Il se peut qu’elle le devienne si l’autorité décrète qu’elle peut être sanctionnée, mais la France est un état laïque et l’état ne s’occupe pas de religion. Aux États-Unis, certains états punissent le parjure. Dans une société, il y a donc des règles qui sont de droit, et d’autres non. La société où il n’y a pas de droit est la société primitive, mais ça ne veut pas dire qu’il n’y a pas de règles. Il n’y a pas de police, pas de législateur… mais

petit Tanguy ne cesse d'invoquer la fatalité, rengaine de tous les relâchements. La guerre, c'est la suspension de toute morale. Une trêve du diable comme on parle d'une trêve de Dieu.  Tanguy s'installe d'emblée dans ces temps du crime et du parjure où tout, mais d'abord le pire, devient possible. Dès sa naissance, il est la proie des puissances de haine. A la fatalité du sang, il n'oppose nulle revendication morale. Ou, pour mieux dire, il y oppose un moralisme chrétien, dolent et sentimental

nuit. Ah! je voudrais rester dans les bons usages; je voudrais, je voudrais nier ce que j'ai dit. Mais, adieu, les cérémonies! M'aimes-tu? Je suis que tu vas dire oui, et je te croirai sur parole. Ne le jure pas: tu pourrais trahir ton serment: les parjures des amoureux font, dit-on rire Jupiter... Oh! gentil Roméo, si tu m'aimes, proclame-le royalement: et si tu crois que je me laisse trop vite gagner, je froncerai le sourcil, et je serai cruelle, et je te dirai non, pour que tu me fasses la cour:

Hermione charge Oreste de tué Pyrrhus, puis lui reproche ce crime et se suicide. Oreste devient fou. Synthèse : Hermione laisse éclater sa colère car elle réalise que Pyrrhus ne l’aime plus, elle l’accuse en le tutoyant, le traite de cruel, de parjure puis d’inconstant. Pour lui, elle a refusé d’autre prince, elle à accepter de vivre en province, elle a supporté ses infidélité. Elle désigne sa rivale Andromaque par un périphrase raciste : « ta troyenne ». Finalement, excéder, elle le menace. Britannicus

Cromwell, alors le plus puissant des conseillers du roi, demanda au Solicitor General, Richard Rich, de témoigner que More avait, en sa présence, nié que le roi était le légitime dirigeant de l'Église. Ce témoignage était presque certainement un parjure (Richard Southwell et Mr Palmer, témoins de l'entretien, ont nié avoir entendu les détails de cette conversation), mais le jury décida néanmoins de déclarer More coupable de trahison (Treason Act 1534). Avant l'énoncé de sa sentence, More parla