Parlement d'Angleterre

première révolution d’Angleterre se situe en 1642-1649 Elle fut violente et entraîna la chute puis l’exécution de Charles 1er, roi d’Angleterre, d’Ecosse et d’Irlande. Après cette révolution, Olivier Cromwell succéda à Charles 1er et instaura un nouveau régime, le «Commonwealth » qui fut la conséquence du progrès de l’absolutisme royal sous les deux premiers Stuart. Le but était simple, il fallait conserver les privilèges financiers et constitutionnels tout en opposant le Parlement. En 1660, les

« traces écrites » dés la fin du XIIe siècle dans l’essai : Le Gouvernement Civil de John LOCKE. Mais c’est évidemment à MONTESQUIEU avec L’Esprit des Lois, paru à la moitié du XVIIIe siècle, avec le célèbre « chapitre 6 du livre 11, de la constitution d’Angleterre » qui l’expose de manière plus explicite et beaucoup plus développer. La théorie de la séparation des pouvoirs vise à séparer les différentes fonctions de l'Etat afin de limiter l'arbitraire et d'empêcher les abus liés à l'exercice de missions

monarchie absolue dans laquelle rien ne se fait sans le "consentement" du souverain, qui, en théorie, est toujours titulaire des mêmes prérogatives qu'au XVIIIème siècle : les ministres, sur le papier, sont des commis de la Reine, elle "dissout" le parlement et "choisit" le premier ministre, tirant apparemment les conséquences des élections. Or chacun sait qu'elle n'a plus qu'un rôle de symbole, de personnification de l'État, dont elle n'assure plus que la représentation, la continuité et le prestige

personnage le plus influent de la Nation, chef de l’exécutif et arbitre suprême de la vie politique du pays. Elle établit un pouvoir exécutif plus puissant vis-à-vis du parlement, lui accordant, en particulier, la possibilité de discipliner le travail parlementaire, mais aussi maintient la responsabilité de l’exécutif devant le parlement. De plus, elle renforce considérablement les pouvoirs du chef de l’Etat, mais elle permet également au Premier ministre et au gouvernement de garder des pouvoirs importants

effet plus. Une monarchie sans véritable constitution : Cette monarchie constitutionnelle a vu, au fil des siècles, les pouvoirs de son représentant se réduire à presque rien. Toutefois, ses pouvoirs - ainsi que ceux de son gouvernement ou du Parlement qui représente le peuple et la noblesse - ne sont pas et n'ont jamais été définis par une constitution rédigée en bonne et due forme. Ils sont le résultat de nombreux textes de loi et autres décrets ou conventions signés au cours des siècles. Certains

le régime parlementaire est à la base une vieille démocratie : D’abord, la Constitution anglaise n’est pas codifié et une partie n’est même pas écrite ; elle est basée sur la coutume. Cette démocratie s’est mise en place petit à petit. Le rôle du parlement augmente au fil des siècles face à une monarchie qui perdait de son pouvoir : Cela commença dès 1215 avec la « Magna Carta » au XIIème siècle, soit la garantie des droits élémentaires (droit d’être jugé devant un tribunal indépendant, droit de donner

monarchie absolue dans laquelle rien ne se fait sans le "consentement" du souverain, qui, en théorie, est toujours titulaire des mêmes prérogatives qu'au XVIIIème siècle : les ministres, sur le papier, sont des commis de la Reine, elle "dissout" le parlement et "choisit" le premier ministre, tirant apparemment les conséquences des élections. Or chacun sait qu'elle n'a plus qu'un rôle de symbole, de personnification de l'État, dont elle n'assure plus que la représentation, la continuité et le prestige

l’Université Paris I Panthéon-Sorbonne). Ce sujet peut permettre de constater que le président peut disposer de pouvoir comme le droit de dissolution qui peut entraîner un déséquilibre au niveau du système, mais peut être aussi irresponsable devant le parlement et également le peuple. On peut aussi constater une légitimité diviser en deux parties d’un côté celle lié à la fonction du président et celle de leader politique à la majorité. Pour cela on peut se demander quel est réellement le rôle du président

d’auto-ajustement de la monarchie, parce que le parlement lui-même est un organisme politique qui est le plus proche de la puissance royale. Pendant le 15ème et le 17ème siècle, le parlement d’Angleterre a occupé une place suprême, il décidait avec les conseillers du roi de quel dégrée et dans quel mesure les volontés royales peuvent s’accomplir1. Comme jugé l’historien britannique, E Miller, dans son livre « the origins of parliament », le parlement est à 17ème siècle presque « omni-compètent »2

souverain britannique remet la direction des affaires au Premier Ministre nommé par lui, mais soutenu par le Parlement, il vaudrait mieux parler de monarchie parlementaire. C'est la majorité au Parlement qui est à l'origine de la désignation du Premier Ministre. BILL OF RIGHTS L'expression désigne la Déclaration des Droits de 1689. Ce texte fondamental consacre la suprématie du Parlement britannique. Celui-ci émane de la volonté populaire, il est donc souverain. Cette Déclaration inspirera les