Parodie Et Réécriture

chandelle verte ») qui ont contribué à sa célébrité. On mentionnera le fameux « merdre » accommodé de diverses façons (« Bougre de merdre », « Vrout, merdre »), « jarnicotonbleu », et un certain nombre de néologismes, entre référence intertextuelle, parodie étymologique et création plus ou moins fantaisiste : « bouzine », « boudouille, « giborgne » ou « gidouille », pour ne citer que le champ sémantique du ventre du Père Ubu. D’une certaine manière, on peut dire que Jarry a inventé une phraséologie ubuesque

bûcheron accablé appelle la mort mais se rétracte en voyant son appel pris au sérieux. Fable qui a une longue histoire, une genèse complexe. En fait, « La Mort et le Bûcheron » est le résultat d’une double réécriture : - réécriture de la fable d’Esope : « Le Vieillard et la Mort » ; - réécriture de la fable de La Fontaine lui-même : « La Mort et le Malheureux » (critiquée par Boileau, elle figure cependant dans le livre I des Fables, juste avant « La Mort et le Bûcheron » (I-15) Donc fable tributaire

il détient une fonction cathartique qui s’associe avec la fonction symbolique. En effet, si les sirènes sont l’incarnation d’un déséquilibre ou d’un excès, elles ont donc bien valeur de contre-exemple et d’étape purgatoire pour Ulysse. LES REECRITURES DE L’ODYSEE 1) En Littérature Ulysses est un roman de James JOYCE (1882-1941), romancier et poète irlandais. Il est publié en 1922. C’est un roman phare pour le XXe siècle que l’on qualifie de « cathédrale de prose ». L’action se déroule en

désir de mort (Eros / Thanatos) Texte 12 Hérodias de G. Flaubert Flaubert : écrivain du XVX°, mvt réaliste Texte narratif, omniscient Registres : réalisme à la parodie I. Salomé , la séductrice qui envoute son public a. La réaction du public/ la montée du désir b. Salomé femme fatale II. Désacralisation du mythe et « parodie » de Salomé a. Salomé, la danseuse acrobate b. Une femme encore enfant Hors texte bac (bonus) : Variation sur le mythe de Salomé • Hérodiade de Stephane Mallarmée

de fleurs, mais quelquefois aussi commune, fausse ou mal déduite. Il peut encore arriver que la fable ne soit pas correctement décodée par le lecteur. Ainsi la fable de Jean Anouilh le Chêne et le roseau, parodie celle de la Fontaine, qu’il faut connaître pour déceler l’ironie de la réécriture. Anouilh montre surtout comment une même histoire peut finalement illustrer deux morales différentes : là où La Fontaine fait l’éloge de l’humble roseau, à qui son habileté permet de résister à la tempête quand

personnages antagonistes prennent la parole avant que le premier ne dévore le second. Encore le dialogue qui précède l’action est-il artificiel, le loup n’ayant au fond guère besoin de raisons pour dévorer sa proie naturelle, l’agneau. C’est bien une parodie de procès qui a eu lieu, pour montrer que la justice est illusoire et que seule y triomphe « la raison du plus fort ». L’apologue nécessite que le récit enrobant la morale soit aussi plaisant que possible, car « une morale nue apporte de l’ennui »

épreuves initiatiques. Nous pouvons retrouver des clins d'œil à d'autres contes, comme Cendrillon puisque la petite Carmen est maltraitée par sa belle-mère. Nous retrouvons enfin des parodies, qui détournent l'histoire originale du conte afin de donner une modernisation, ou de ridiculiser le héros. Les parodies apparaissent surtout au XXème siècle, les auteurs s’inspirent des contes classiques de Grimm ou Perrault pour les transformer. Les changements peuvent intervenir dans le cadre spatio-temporel

remaniées et sélectionnées suivant les instructions de Mme de Simiane : toutes celles touchant de trop près à la famille, ou celles dont le niveau littéraire paraissait médiocre, furent supprimées. Les lettres restantes ont souvent fait l’objet de réécritures pour suivre le goût du jour. La question de l’authenticité se pose donc de manière cruciale pour ces lettres. Sur les 1 120 connues, seules 15 % proviennent des autographes, lesquels ont été presque totalement détruits après usage. Néanmoins

provoquer le rire. L’écriture parodique Quand on parle d’écart par rapport à une forme d’écriture, en fait on évoque l’écriture parodique qui peut-être reprise d’un style ou d’un genre. Nous en distinguerons quatre aspects : la parodie, le pastiche, l'héroï-comique et le burlesque. Le pastiche consiste à imiter, dans une intention ludique, un texte tiré de l’œuvre d'un écrivain reconnu. On parle de pastiche lorsque l'imitation, aisément identifiable, porte sur le style

un château mais pas d’indices temporels. « En Vestphalie » lieu clos coupé du monde réel. Action a l’imparfait => durée indeterminée Heros doté de qualitée physique et morale l. 3, l. 5 b. Détournement des codes du comptes pour les parodier Actualisation des propos, simple réalité car la Vestphalie existe vraiment en All. Perso avec des noms qui exprime une particularité, Candide = naif, Pangloss = bavard en grec. Allitération en t avec le nom du baron ( bruyante et pas esthetique)