Parodie Tartuffe

dénoncant les violences faites au juifs et demandant l’égalité dans le monde. IV– La comédie dans le film Le film est une comédie • Les parodies C’est une imitation sarcastique d’une œuvre, d’un sujet, d’une personne, d’une expression … Exemple du film : le premier discoure du dictateur est une parodie d’un discoure de Hitler .c’est un mélange de plusieurs langues de bruits et de sons animaux. • Les caricatures C’est une reproduction

comme souvent le font les auteurs réalistes. Pourtant, nous allons voir que cet incipit vaut surtout par l’humour grinçant et distancié qu’il manifeste. 2 parties seront étudiées : → La double entrée en scène des personnages. → L’humour et la parodie. Il est important de tenir compte du fait que l’écriture du roman fut interrompue par la mort de Flaubert en 1880. L’auteur voulait rédiger une sorte de dictionnaire des idées reçues en marquant son pessimisme sur leur temps et sur la nature humaine

Giovanni en 1787. La parodie est également une réécriture fréquentes notamment à notre époque, la parodie est une imitation souvent moqueuse, les premières parodies étaient des parodies grecques qui consistaient à rendre un passage tragique plus comique. Le but de la parodie est tout simplement d'imiter ou de ridiculiser de façon moqueuse, on peut donc parler de caricature. Picasso parodie Edouart Manet, avec le déjeuner sur l'herbe, d'après Manet par exemple. De jour les parodies se trouves principalement

pathétique 2. Le changement de rythme : une scène accélérée et qui dure. Presque un tableau. 3. le changement de personnages : les réactions/réponses du Huron sont absentes III Une satire [texte qui décrit pour se moquer, afin de dénoncer] 1. La parodie de la scène de reconnaissance, cliché des tragédies [Voltaire en a écrit au début de sa carrière] et des romans sentimentaux. Ex : les K. agissent en parallèle, mécaniquement, et leurs réactions sont outrées. 2. La critique de l’oisiveté : une pique

Le rire peut être presque primaire lorsqu’il s’appuie sur des aspects physiques comme les bosses ou la voix de polichinelle (2), voire le corps lourd et essoufflé de R.Devos (3). Il peut se rapprocher de la moquerie ou de la parodie sociale : caricature des vedettes de l’actualité dans leur tics de langage ou d’attitudes (1), mise en scène de l’homme moyen aux prises avec les aléas de la vie comme celle de F.Raynaud (4), critique des politiques et du pouvoir comme celle des chansonniers ou plus tard

cercle, triangle et croix. Parodie La parodie est une forme d'humour qui utilise le cadre, les personnages, les expressions et le fonctionnement d'une œuvre pour s'en moquer. Elle se base entre autres sur l'inversion et l'exagération des caractéristiques appartenant au sujet parodié. → Imitation caricaturale d'une oeuvre connue. Le parodiste amuse ses lecteurs en se moquant des tics stylistiques, des faiblesses de l'œuvre célèbre prise pour cible. On peut parodier un genre, un style ou une oeuvre

l’auteur fait tout pour que cela ne se produise pas. Grenouille est "génial", peut-être, mais déshumanisé, laid, pathologique. La fin est magnifique, elle oscille entre le grandiose et le dérisoire, parodie étrange de l’eucharistie. Ce livre est un chef d’oeuvre, qui fonctionne sur le principe de la PARODIE, de l’IRONIE, de la SATIRE et de la DENONCIATION - ainsi que sur une utilisation brillantissime du langage, basée sur le principe des correspondances de Baudelaire. Il est juste... savoureux et

enseigne l’art d’aimer. Ainsi il parodie les traités à Rome et se démarque de ses contemporains. L’amour est réduit à une technique et perd la notion des sentiments. L’art d’aimer compte trois livres et part des idées de bases. Les deux premiers livres s’adressent aux homes et le troisième aux femmes. Ce passage est situé au début du 1er livre et commence à partir du vers 25. Ovide s’interroge sur tous les endroits propices à l’amour. A travers l’élaboration d’une parodie d’ « ars », comment Ovide nous

» reflète parfaitement l’idée générale qui se dégage du corpus des six poèmes étudiés. En effet, j’ai analysé six poèmes, trois considérés comme « classiques » c’est-à-dire reconnus et ayant marqués l’histoire de la poésie et trois pastiches, ou parodies, bref les termes signifiant une imitation de textes d’un écrivain célèbre qui peuvent être à valeurs ludique, satirique, comique ou alors un parfait exercice de style ne cherchant pas forcement le « rire » mais bien au contraire l’hommage. Cette

cherche à fonder en théorie les différentes formes de relation par lesquelles « l’œuvre littéraire peut se construire en se référant à d’autres œuvres, en les imitant comme dans le pastiche, ou en les transformant comme dans la parodie » ; ces deux formes, pastiche et parodie, étant les manifestations les plus visibles de ce vaste phénomène. Le corpus d’étude est constitué de sept textes et d’un document iconographique : La cigale et les fourmis de Esope (VIe siècle avant JC), La cigale et la fourmi