Paronymes

ces notions (Aphrodite est née dans l'eau). Les sonorités se rajoutent aux ressemblances présentent entre les deux thèmes principaux, avec des figure de style comme les suivante : -Les homonymes ou homophones : la mer/l'amer/la mère -Les paronymes (sens différents mais formes voisines) : la mer/l'amour ; eaux/maux ; armes/larmes(rimes riches) « Amoureux » / « douloureux » (v.12-13)= rimes riches aussi ; « amer » / « l'amer » (v.2-3) = plus que riches. -Allitération en « m » et assonance

mettre en œuvre une définition du cageot sans être lassant ? mvnt 1 ( l.1 à 3 )  : la définition du dictionnaire « cage » l.1, « cachot » l.1, « cageot » l.1, « caissette » l.1champ lexical de la cage+ paronyme= + allitération son « c »Francis Ponge cherche dans le dictionnaire un mot ici un objet dans la section qui commence par la lettre « c », on peut même l’entendre le chercher, et qui possède des caractéristiques similaires avec le mot cage.« simple

Poésie = alchimie, transformation de la boue en or, métamorphose de la laideur du monde en beauté idéale. Correspondances : Cadavre = Spectacle visuel et olfactif : vocabulaire de l’odorat. Hyperbole : « puanteur si forte ». Rime équivoque (paronymes) : « s’épanouir » / « évanouir » >>> Antithèse beauté / laideur. Strophe 5 (V. 17-20) : réalisme macabre - Multiplication des détails réalistes pour décrire le cadavre en putréfaction : Les insectes : « mouches », « larves » au

également des répétitions. Figure de style Le sonnet reste lyrique par rapport à sa musicalité malgré l’époque baroque . Les assonances Strophe 1 ; vers 2 , le sonnet est écrit en rimes embrassées, avec le thème de la mer il utilise des homonymes et paronymes, il juxtapose des vers ensemble avec le parallélisme et contredit avec des antonymes. -C’est un sonnet lyrique tournant autour un amour malheureux, avec une constitution varié et expressive envers ses sentiments de plainte venant donc d’un registre

utilisent la même structure syntaxique; proche du parallélisme | « Veni, vidi, vici »— Jules César | | la palilogie | répétition d'un mot pour l'accentuer | « Oh! le long, long cou »— Molière | | la paronomase | répétition visant à rapprocher des paronymes au sein du même énoncé | « Qui se ressemble s'assemble »— Proverbe | | la polyptote | répétition de plusieurs termes de même racine, ou encore un même verbe sous différentes formes. Le mot subit des variations morpho-syntaxiques | « Rome vous

particulier dans les trois premières strophes, et, généralement, les termes employés sont mis en avant de par leur disposition : « Amer » est placé en tête de vers, l'expression « monotone et petit » se trouve au centre. De plus, le premier terme est un paronyme de « monde » qui se situe juste avant. L'expression marque également la déception et l'évolution des idées du poète car dans la partie I du poème, vers 3, Baudelaire s'exclamait que « le monde est grand à la clarté des lampes ! ». Nous retrouvons

tiers, connivence, complot Effraction / infraction : forcer une serrure/ violer une loi Éruption/ Irruption : Projection / entrée rapide, brusque = surgir Mise au jour/ mise à jour : découvrir / renouveler, remettre à niveau Trouver un paronyme et donner leur signification : Affluence : rassemblement d'un grand nombre de personnes / influence : action exercées sur quelqu'un Étanché : absorber , assouvir ses besoins /(s')épancher : épanchement : quelque chose qui se repend, s'épancher :

d’où l’importance de bien formuler ses phrases de transition et de choisir des marqueurs de relation appropriés. ● La clarté du texte dépend de la précision du vocabulaire: il faut donc éviter les impropriétés des termes, la confusion des paronymes, les expressions du registre de langue parlée. ● Il faut employer les mots dans leur sens propre, dénotatif: ce qui intéresse le lecteur, ce sont d’abord les idées exprimées dans la dissertation. ●Il faut éviter les répétitions

et la violence a) La vulgarité * « Par ma chandelle verte » => connotation phallique. * scatologie avec les jeux de mots « merdre / vrout », qui relève de néologismes =(créations verbales) merdre = construit sur le juron « merde » vrout = paronyme de « prout », le pet. * emploi de mot familier au lieu du registre soutenu -« gueux » l. 32 => ici le mot est familier. - « votre fiole » = terme populaire pour désigner la tête - « ces gredins » l. 25 - « bougre de merdre » => c’est un

se construit aussi au fil des anaphores et parallélismes de construction qui rythment le texte et président à son écriture : « quand ils… c’était » jeu sur les homonymes : sans devient sang -> et voilà l’univers inquiétant qui apparaît sur les paronymes : sanglant/chantant ; vent/vivant sur les collages : sanglant+ chantant= sanglotant (mot valise) la logique du langage préside à l’élaboration du poème les rimes privilégient des sons désagréables, des sonorités nasales plaintives : « in »/ »en »/ »on »