Part De Marche De Kiabi

INTRODUCTION Le comportement des consommateurs évoluent constamment et est imprévisible, il y a une saturation des marchés : accroissement de la concurrence, les offres se multiplient et sont de plus en plus agressives, raccourcissement du cycle de vie des produits, développement des NTIC. Le rapport à la marque change, le besoin de reconnaissance du consommateur augmente, internet a modifié la donne, des nouvelles segmentations apparaissent, le besoin de personnalisation et de rapidité augmente

 Revue de presse INTERSPORT Sommaire I / Le marché du sport en France 5 1) Les chiffres : 5 Le marché du sport en 2014 5 Bilan 2014 : le marché français des articles de sport en vive croissance 6 2) Les tendances : 7 Le marché français des articles de sport dopé par la zumba et le running 7 La course folle du running 8 II / Les concurrents 9 1) Décathlon : 9 Decathlon fait toujours la course en tête 9 Les ventes de Decathlon bondissent de plus de 10% en 2014 11 2) Go Sport : 12 Le challenger

approvisionnement…) et rémunérer le franchiseur sous forme de droit d’entrée et/ou avantage économique. Le taux de marque : le pourcentage dans le prix de vente Depuis décembre 1989 il existe une loi DOUBIN : -Présentation de l’état général et local du marché -Comptes annuels des 2 dernies exercices -Liste des franchisés, magasins possédés en propre -Nombre de contrats expirés ou annulés l’année précédente -Durée du contrat (en général 5 an) -Montant des dépenses et investissements spécifiques à l’enseigne

distribution comprend la vente de produits mais aussi de services (ex : banques, assurances…) mais n’inclut pas forcément de magasins (ex : vente par Internet, à domicile, distributeurs automatiques…) et il n’y a pas forcément d’intermédiaire (ex : les marchés). La distribution est l’un des 4 P du marketing mix, c’est donc une des variables stratégiques des entreprises. Canaux de distribution : ensemble des formes et des modes de distribution. Forme  super, hypermarché, discount… (type de magasin)

distribution comprend la vente de produits mais aussi de services (ex : banques, assurances…) mais n’inclut pas forcément de magasins (ex : vente par Internet, à domicile, distributeurs automatiques…) et il n’y a pas forcément d’intermédiaire (ex : les marchés). La distribution est l’un des 4 P du marketing mix, c’est donc une des variables stratégiques des entreprises. Canaux de distribution : ensemble des formes et des modes de distribution. Forme  super, hypermarché, discount… (type de magasin)

distribution comprend la vente de produits mais aussi de services (ex : banques, assurances…) mais n’inclut pas forcément de magasins (ex : vente par Internet, à domicile, distributeurs automatiques…) et il n’y a pas forcément d’intermédiaire (ex : les marchés). La distribution est l’un des 4 P du marketing mix, c’est donc une des variables stratégiques des entreprises. Canaux de distribution : ensemble des formes et des modes de distribution. Forme ( super, hypermarché, discount… (type de magasin)

publicitaire dans la presse. 1920 Naissance aux USA du marketing moderne, arrivé en France en 1950. La première révolution de la communication survient dans les années 60 : les média planning… Les média planning et la télévision font exploser le marché publicitaire. Les années 90 annoncent les limites de la communication Média car c’est un investissement très lourd pour les entreprises avec une forte déperdition d’efficacité. Réaliser une campagne de type conventionnel et son retour surinvestissement

multiplient, les outils de mesure de l'activité du marché publicitaire donnent une vue devenue incomplète de la réalité des investissements des annonceurs. La présence digitale des marques en particulier se développe au travers de sites propres, des réseaux sociaux, d'applications mobiles et d'autres outils faisant appel à des ressources internes ou externes des entreprises et dont la valeur n'est pas prise en compte dans l'évaluation actuelle du marché. Investissements en communication des annonceurs

l’Institut de Gestion de Rennes, nous avons été chargé d’étudier les comportements et attitudes des consommateurs en soldes. L’objectif étant d’établir une stratégie d’ensemble adaptée à cette période, ce rapport s’articule à l’instar d’une étude de marché. De fait, soucieux de proposer de véritables recommandations d’actions stratégiques, nous avons choisi de nous mettre dans l’optique d’un commerçant. Tentant de répondre aux interrogations des entreprises de prêt à porter ciblant les hommes âgés de

|(jusqu’à plusieurs années) | |Réversibilité forte de la décision, |Réversibilité faible | |changer d’avis, faire marche arrière facilement en limitant les | | |coûts. |