Parti de la révolution démocratique

constitutionnelle. En effet, elle est, entre autre, l’un des enjeux majeurs de la fin du 19ème siècle, c'est-à-dire, de la révolution française. A la veille de cette révolution, la souveraineté appartenait à la personne royale, qui la détenait de Dieu, son détenteur originaire. Cette idée que l’origine du pouvoir souverain est divine se rapporte à des théories dites théocratiques. Lorsque la révolution éclate, le Roi est fortement contesté. En effet, le peuple français veut que la souveraineté soit fondée sur

Tocqueville 2019 La lecture porte sur la Partie IV du Tome II Voici la structure de l’œuvre : ATTENTION : il faut bien définir chaque termeDans ce premier chapitre, Tocqueville va expliquer dans les grandes lignes les conséquences de l’égalité des conditions. L’égalité mène à 2 tendances : Première tendance : l’égalité mène les hommes vers l’indépendance. Tocqueville prévient le lecteur : il va reprendre des éléments qu’il a déjà développés dans les parties précédentes, mais cette fois-ci, dans

aux flots d’informations délivrés par les medias pour les analyser. Irak : o comment les US, régime démocratique, peuvent-ils prendre l’initiative de déclarer à la guerre à un pays qui ne l’a pas agressé militairement ? o Quels sont les critères que pouvaient appliquer les US/ONU pour définir qu’un pays est devenu démocratique ? o Est-il possible de construire par l’extérieur un régime démocratique, de l’imposer, de le construire ?  Loi fédérale allemande de 49 : imposée par les Alliés. Processus

socialisme. A) Les premiers pas avant 1850. * Ligue des justes créé en 1836 à Paris par des ouvriers allemands, ils ont immigré en France à cause de la politique en Allemagne. (=Régime autoritaire) Il y avait donc un désir d’une politique démocratique. Cette ligue était une société secrète, leur rêve était celui d’une société égalitaire où il y aurait communauté des biens et pas de propriétés privées. Au départ ce sont des artisans qui intègrent cette ligue (tailleurs…), ils entreront ensuite

nécessairement consécutivement à une révolution. Elle permet de légitimer les gouvernants arrivés au pouvoir suite à une révolution. Elle n’est donc pas nécessairement démocratique.la deuxième est celle des gouvernants arrivés au pouvoir suite à une élection (élection libre, bien entendu). La légitimité électorale n’est jamais absolue, elle est limitée dans le temps. En effet, la légitimité électorale ne dure que le temps du mandat électoral. En Tunisie et après la Révolution du 14 janvier 2011, et depuis

semble etre un monde près à durer. Mais une poussée réformatrice (pas partout), qu’on ne voit pas comme autre chose qu’un moment ou un réformateur est au pouvoir en urss. Contraste qui va justifier ma problématique Le cœur de l’année 89 c’est la révolution allemande (chute du mur de berlin = 9 novembre) qui commence en aout Gorbatchev fout le bordel. I) Gorbatchev prend une position réformatrice plus radicale qui déstabilise le Bloc A) Gorbatchev * La question des PECO est centrale

1871. La révolution ouvre donc un siècle d'une extrême instabilité qui alterne révolution et contre révolution, régime autoritaire et régime libéral. Cette alternance entre les régimes autoritaires (consulat, empire, restauration...) et les régimes libéraux (monarchie de juillet, république...) a stimulé des courants d'idées extrêmement divers et a permis aux idées politiques de se développer. Le 19ès démarre avec la révolution et est inspiré par les théories révolutionnaires issues en partie des doctrines

système a évolué dans le temps. I) Un système économique original 1. Le pays du « socialisme réel » - Fondements idéologiques (texte1): le Marxisme créé par Karl Marx. Le Marxisme apparait dès 1948 avec le manifeste parti du communisme qui fait le bilan de l’échec des révolutions de 1848 et dresse un plan d’action pour la réussite des suivantes. L’internationalisme prolétarien. Création de l’AIT en 1864. Le Marxisme est aussi une analyse du système économique libéral. Le Capital donne au marxisme

sont les bienvenues. Il vous suffit d’écrire à tinhinane[at]gmail[point]com Antoine Mercier : « D’autres regards sur la crise » dans le cadre, cette semaine, des XXIVème Rencontres de Pétrarque. Le thème général, c’est : « Après la crise quelle(s) révolution(s) ? ». Nous sommes en compagnie, et en direct de la cour du musée Fabre, de Laurence Fontaine, historienne, directrice de recherche au CNRS. Bonjour Madame. Laurence Fontaine : Bonjour. Antoine Mercier : En tant qu’historienne, vous voyez dans

une science sociale qui a un objet et des méthodes. SCIENCE : C’est la connaissance que l’on a sur les choses. Elle fait partie des sciences sociales (scientia scire). A l’aide de méthode et de technique. Elle est apparue au États-unis au XIXé dans les études. En France, elle est apparue plus tard. Ces connaissances sont acquises à partir de méthodes. Ces méthodes orientent la démarche du savant. Les scientifiques utilisent aussi des techniques : instrument qui