Parti de l'avant-garde démocratique et socialiste

LE DROIT CONSTITUTIONNEL ET LES INSTITUTIONS POLITIQUES FRANçAISE Introduction – l’exception française Le nombre de constitution est tel que les socialistes ne s’accorde pas sur le nombre de constitution que la France a connu depuis la révolution française. Par exemple entre 1940 et 1946 ? Certain dise 14 mais il y en a qui n’ont pas été appliqué. Ce nombre prend aussi en compte de simple modification de constitution déjà existante, en 1802 et 1804 Mais ce nombre ne prend pas en compte d’autre

président Bush ne cesse de se référé à Dieu dan ses discours et a prôné le retour des valeurs religieuses… Ex : Aux EU cet ancien pasteur ( Barak O’bama) a imprégné la campagne de ses valeurs religieuses à tel point que tous les candidats des 2 parties devaient faire un point pour savoir s’ils allaient bien à la messe, suivait bien les pratiques. Ex : Si on examine les Constitution, pour les pays européens, on constate qu’elles accordent de très larges pouvoirs aux parlements, et qq’1 qui ne

multiples origines : le complot jésuite, le complot maçonnique, le complot jacobin, etc. Dans un second temps, je dégage la structure générale des théories complotistes et quelques-unes des raisons de leur si fort impact sur la culture populaire. Partie I : La vague complotiste du début du XXe siècle au commencement du XXIe a) Dan Brown, compilateur habile et imposteur Qui ne connaît le best-seller de Dan Brown, Da Vinci Code (2003) ? L’auteur puise largement dans deux best-sellers écrits

ministres communistes) et Pierre Mendès est nommé ministre de l’économie. Deux voies  sont alors empruntées : -restauration de l’Etat par le sommet (De Gaulle) -création de nouvelles institutions issues du mouvement de résistance (CNR). Le PCF, parti puissant, actif dans la Résistance, qui contrôle le Front National (puissante organisation de résistance), les Francs-Tireurs et Partisans Français (puissante force militaire) apparaît comme la grande force politique omniprésente, participation au

même la monarchie parlementaire (1814-1848) s’efface au profit de la deuxième République (1848-1851) renversée par Louis–Napoléon Bonaparte qui impose le second Empire (1852-1870). Par contre le troisième cycle est différent : à partir de 1871, les régimes démocratiques forment un bloc homogène (troisième République de 1875 à 1940, quatrième République de 1946 à 1958, cinquième République depuis 1958) à peine entamé par l’interrègne de Vichy (1940-1944). Par delà les convulsions et l’instabilité

coupables de crimes de guerre, puis il crée des camps de « travail et de rééducation ». Il occupe ensuite plusieurs postes importants dans le gouvernement cubain qui écarte les démocrates3, réussissant à influencer le passage de Cuba à une économie socialiste du même type que celle de l'URSS, et à un rapprochement politique avec le Bloc de l'Est, mais échouant dans l'industrialisation du pays en tant que ministre. Guevara écrit pendant ce temps plusieurs ouvrages théoriques sur la révolution et la guérilla

rechercher les coupables. Elle doit également se mobiliser dans les années 1980 pour lutter contre le négationniste, courant de pensée qui amène l’État à adopter en 1990 la loi Gayssot tendant à « réprimer tout acte raciste, antisémite ou xénophobe ». À partir des années 1960, l’intérêt pour la période de l’Occupation et la Shoah est entretenu par le cinéma. Avec le film Shoah (1985), Claude Lanzmann, en pas moins de neuf heures, retrace le sort des juifs d’Europe persécutés et exterminés par les nazis

économique en rapport avec sa puissance politique et militaire : - malgré l’exploitation des économies satellites - ravages de la guerre maintenant sa production au quart de celle des Etats-Unis - rayonnement commercial limité (pays socialistes = 3,6 % des exportations mondiales en 1948) - un retard technologique considérable - Les Etats-Unis sont eux en position de force en 1945 : - monopole nucléaire, techniques de pointe, méthodes de gestion les plus efficaces - la

politique d'Amérique latine, dirigeant de la guérilla internationaliste cubaine. Alors qu'il est jeune étudiant en médecine, Guevara voyage à travers l'Amérique latine, ce qui le met en contact direct avec la pauvreté dans laquelle vit une grande partie de la population. Son expérience et ses observations l'amènent à la conclusion que les inégalités socioéconomiques ne peuvent être abolies que par la révolution. Il décide alors d'intensifier son étude du marxisme et de voyager au Guatemala afin d'apprendre

connu une évolution divergente. Les relations diplomatiques ont conservé leur rôle au prix de certaines adaptations. La guerre comme instrument de politique nationale a en revanche été progressivement condamnée , quoique non entièrement éliminée. A partir d'un cadre européen , son internationalisation a été marquée par un triple phénomène d'universalisation , d'institutionnalisation et de transnationalisation. Universalisation par la décolonisation et la multiplication du nombre des Etats extra-européens;