Parti des travailleurs hongrois

Résumé de la biographie de Léo Bergoffen Léo, né le 30 Octobre 1922 de parents Austro-hongrois, vient se réfugier lui et sa famille à ANGERS pour fuir l’arrivée d’Hitler et de son armée. Seulement la France finit également par être occupés par les Allemands. Léo décide alors de passer, seul, en zone libre. C’est là bas que le jeune homme se fit arrêté (le 26 Août 1942) suite à un contrôle d’identité : c’est le début du cauchemar. Il voyage dans des conditions déplorables, dans des camions ou

les noms et les actions menées par dix résistants du groupe Manouchian : « Grzywacz – Juif polonais, 2 attentats », « Elek – Juif hongrois, 8 déraillements », « Wasjbrot (Wajsbrot) – Juif polonais, 1 attentat, 3 déraillements », « Witchitz – Juif polonais, 15 attentats », « Fingerweig – Juif polonais, 3 attentats, 5 déraillements », « Boczov – Juif hongrois, chef dérailleur, 20 attentats », « Fontanot (Fontano) – Communiste italien, 12 attentats », « Alfonso – Espagnol rouge, 7 attentats »

triomphe de la race aryenne, la soumission intellectuelle au déterminisme biologique et l'expansionnisme (conquête de l'espace vital : Lebensraum). Le but subliminal du totalitarisme consisterait peut-être à «inculquer à l'individu la conviction que le parti (…) est tout, que rien ne saurait exister sans lui» Tout d'abord le stalinisme est issu d'une idéologie préexistante, le socialisme de Marx. Elle s'applique ainsi avec Marx et Lénine avant Staline, mais aussi après lui avec ses successeurs. Le but

divise l’Europe : Le terme « rideau de fer » est utilisé par l’ex-premier ministre du royaume uni, Winston Churchill, lors d’un discours prononcé en 1946. Par ce terme, il veut évoquer la séparation entre l’URSS et le monde capitaliste. Voici une partie de ce discours qui, selon moi, est pertinente et introduit bien le sujet que je vais aborder. « […] Une ombre est tombée sur les scènes qui avaient été si clairement illuminées récemment par la victoire des Alliés. Personne ne sait ce que la Russie

1938 Hitler attaque l’Autriche puis les Sudètes (partie de la Tchécoslovaquie qui parle allemand) * Importance des troupes mécanisées, avions, chars nouveaux par rapport à la première guerre 1939 1er septembre Hitler attaque la Pologne-> guerre de 4 semaines * Les Polonais sont à cheval * On voit un nouvel élément côté allemand : Les parachutistes 3 septembre C’est la Guerre !! La France et le Royaume-Uni entrent en guerre (Alliance faite avant avec la Pologne)

30 avril 1945 à Berlin, est un homme politique allemand, fondateur et figure centrale du nazisme, instaurateur de la dictature totalitaire désignée sous le nom de Troisième Reich (1933-1945). Porté à la tête de l’Allemagne par le Parti national-socialiste des travailleurs allemands (NSDAP) qu’il reprend en 1921, il devient chancelier du Reich le 30 janvier 1933, puis se fait plébisciter en 1934 comme président, titre qu’il délaisse pour celui de Führer (« guide »). Sa politique expansionniste est

I) Niassance et stalinisation des démocraties populaires. a. Satellisation. i. Entre 1945 et 1947, Yougoslavie et Albanie sont dirigées par des partis communistes. Communistes y détiennent la totalité des pouvoirs. La libération du joug nazi leur confère une légitimité du pouvoir. Dans les autres pays (Hongrie, Pologne et Tchécoslovaquie, occupés par l’armée rouge, les communistes contrôlent les ministères clés. Une conception se développe, la démocratie populaire. En Pologne, l’alliance avec l’URSS

les principaux partis d'extrême droite Européens, nous allons nous appuyer sur une étude du politologue Jean-Yves Camus différenciant trois grands courants d'extrêmes droites en Europe ayant pour chacune d'entre elles une idéologie distincte. Il sera donc ici présenté trois régions Européennes : L'Europe de l'est, les pays Baltes et Bénélux, ainsi que les pays traversés par les Alpes, constituant une culture commune a ces nations. Ce n'est qu'après l'analyse de ces derniers partis qu'une cartographie

les soldats allemands ont raconté leur vie quotidienne dans les lettres qu’ils envoyaient à leur famille, dans les journaux qu’ils tenaient sur le front ou dans des récits après la guerre. Mitraillés, bombardés, attaqués avec des gaz, obligés de partir à l’assaut des tranchées ennemies, ils voyaient leurs camarades mourir et vivaient constamment dans l’horreur et la peur. Ils souffraient de boue, de l’humidité, du froid. Parfois ils rentraient chez eux en permission, mais ils se sentaient alors

et capable de la protéger, constituée d’une ceinture d’États allant de la Baltique (Pologne, future RDA) à l’Adriatique (Yougoslavie, Albanie) et à la mer Noire (Bulgarie, Roumanie) en passant par l’Europe centrale (Tchécoslovaquie, Hongrie). À partir de 1948, l’URSS prend en charge le destin politique et économique de ces pays, à l’est du « rideau de fer », devenus « démocraties populaires » par opposition aux démocraties libérales occidentales, dans un contexte de bipolarisation du monde.