Parti du peuple algérien

anti-impérialistes, ils ne reconnaissent pas l’expansion d’Empires coloniaux quels qu’ils soient. C’est dans ce contexte que l’Algérie française demande son indépendance en 1954 mais en manque d’écoute et de reconnaissance, le Front de Libération National algérien finit par prendre les armes et s’oppose à l’Armée Française. S’en suit une guerre meurtrière, idéologique mais aussi une guerre civile entre les communautés installées en Algérie. Après plus de sept ans de conflit, un cessez-le-feu est décrété en

révolution (L’an V de la révolution algérienne), 1959. Fiche de lecture Matière: Communication Politique M2 recherce, Sciences d’information et de communication 2013-2014 Ce document représente une fiche de lecture concernant le chapitre 2 “Ici la voix de l’Algérie…” du livre “Sociologie d’une révolution (L’an V de la révolution algérienne)” de Frantz Fanon. Autour du livre Titre du livre : Socioogie d’une révolution (L’an V de la révolution algérienne) Chapitres du livre : Chapitre

le président algérien Bouteflika fait un discours relatant les exploits et la fierté du peuple algérien qui s’est opposé au peuple français et à l’Algérie française. Dans un premier temps, nous verrons ce en quoi cette commémoration recèle beaucoup de fierté et de joie, puis dans un deuxième temps ce qui caractérise cette sorte de rengaine que l’on voit à travers le texte. En quoi ce document est-il représentatif de l’utilisation de la mémoire de la guerre d’Algérie par l’Etat Algérien ? I) Une commémoration

à travers tout le pays. Ferhat Abbas publie aussi en 1926/1927 dans l’hebdomadaire Ettakadoum une série d’articles sous le pseudonyme de Kamel Abencerage, anagramme formé à partir des noms du fondateur des Jeunes Turc et du dernier roi andalou. Ces articles seront rassemblés et publiés sous le titre Le Jeune Algérien en 1930, année du centenaire de la colonisation de l’Algérie. C’est dans ce livre – dont le titre évoque franchement la filiation moderniste et nationaliste avec les mouvements

fonder une nouvelle province française : l’Algérie. Le peuple algérien est alors composé de nombreux étrangers provenant de pays européens voisins (Espagne, Etats italiens, Malte). La naturalisation automatique des français nés sur le territoire algérien, face à la multitude des « Arabes », interdisait de penser un jour que l’Algérie puisse se séparer de la France. La population européenne en Algérie n’a jamais représenté plus de 14% du peuple. C’est la Seconde guerre mondiale qui marque un tournant

Introduction L'ère de la colonisation française des pays du Maghreb (1830-1962) 1est sans doute la phase où l'ossature de l'identité collective des peuples de ces pays s'est violemment ébranlée pour donner lieu à des métamorphoses qui sillonnèrent profondément les représentations de toute une génération sur les questions majeures et alors actuelles d'une existence humaine sous l’étau de l'oppression. Le présent travail se veut pour objectif de traiter de la question de l'identité, caractérisée

et déclare que le Maroc est devient à la fois un Protectorat français et un Protectorat espagnol. Dans les années 1950, les nationalistes sont de plus en plus nombreux au sein du peuple tunisien. Le gouvernement français décide de répondre à cette montée par la repression : le Roi Mohamed V, accusé de soutenir le parti indépendantiste Istiqlal, est exilé à Madagascar en 1954. Suite à son exil, d'importantes émeutes ont lieux aux quatre coins du territoire. Edgar Faure, successeur de Pierre Mendès-France

La guerre d’Algérie ou Révolution algérienne (mais aussi guerre d'indépendance algérienne ou guerre de libération nationale), est un conflit qui se déroule de 1954 à 1962 en Algérie, colonie française depuis 1830 et divisee en départements depuis 1848, et dont l'aboutissement est l'indépendance du territoire le 5 juillet 1962. En tant que guerre d'indépendance et de décolonisation, elle oppose des nationalistes algériens, principalement réunis sous la bannière du Front de libération nationale (FLN)

compter de la fin des années 1920. De plus, l’auteur évoque les aspects oubliés et cachés du conflit franco-algérien ; algério-algérien et franco-français. L’ouvrage explique aussi la manière dont différentes instances ont su manipulé l’histoire dans leur propre intérêt. Benjamin Stora insiste particulièrement sur la sensibilité de l’évocation du conflit des années après l’indépendance algérienne. Enfin, l’auteur pointe du doigt le comportement de l’État français durant la période 1926-2001. Dans cet

je veux aller plus loin et présenter l’un des vecteurs communs, c’est-à-dire, les mémoires des conflits passés, dans le cas particulier d’Algérie. J’ai choisi ce pays parce qu’il avait un statut spécial dans l’empire français, étant considéré comme partie effective de la France. Cela nous aide aussi à mettre en rapport de voisinage les deux sociétés au-dessus invoquées car la relation entre les pays membres du Pacte de Varsovie et Moscou n’était pas aussi rigide que la relation entre la France et ses