Particule élémentaire

Quel est l'effet de la pollution atmosphérique sur la santé ? La dégradation de la qualité de l'air induit des effets sur la santé des populations, même pour de faibles quantités de polluants. Les gaz (dioxyde d'azote et de soufre, ozone,…) et les particules fines entrent dans l'organisme principalement par les voies respiratoires. Ils peuvent provoquer ou aggraver certaines maladies, notamment respiratoires et cardio-vasculaires. Les plus sensibles sont les enfants et les personnes âgées. Comment

augmentent ce qui entraîne une pollution atmosphérique importante    support: metropole.rennes.fr  Dans l'agglomération rennaise la principale source de polution est le trafic routier, soit les  déplacements, qui est responsable de 40% de la pollution par particules en suspension, de 70%  des émissions d’oxydes d’azote, de 60% de monoxyde de carbone. (sources Air Breizh).   De plus, la capitale bretonne est en forte croissance démographique donc la croissance  du trafic routier est à prévoir et par conséquent la hausse de la pollution aussi

-gratuits-pendant-trois-jours.php La pollution parisienne est une pollution aux PM10 (particules inférieur à 10 micromètres), ces poussières sont d’origines diverses : chauffage au bois et au fioul, industrie, moteurs (surtout diesel). Elle est favorisée par des conditions anticycloniques et des nuits froides suivies de journées bien plus chaudes, ne permettant pas la dispersion des polluants. Ces particules peuvent provoquer de l'asthme, des allergies, des maladies respiratoires ou cardiovasculaires

poussière des sols polluées dans l'atmosphère ). La pollution contenue dans les sols affecteront les aliment qui y seront cultivés. Quatre polluants atmosphériques sont particulièrement mesurés en raison de leur dangerosité pour la santé : les particules fines , le dioxyde d'azote (NO2), le monoxyde de carbone (CO) et l'ozone (O3). Oxydes d'azotes (NOx) Puissant irritant des voies respiratoires en s'infiltrant jusque dans les alvéoles. Au niveau des bronches, il favorise les infections bactériennes

qu’ils sont nocifs pour la santé des êtres vivants. Les principales substances polluant l'atmosphère peuvent se répartir schématiquement en deux groupes : les gaz et les particules solides (poussières, fumées). On estime que les gaz représentent 90 % des masses globales de polluants rejetées dans l'air et les particules les 10% restants. La pollution de l'air est la résultante de multiples facteurs : production d'énergie, agriculture intensive, industries extractives, métallurgiques et chimiques

    Ozone  O​ 3  Gaz agressif, fortement irritant pour les yeux  et les voies respiratoires. Il peut atteindre  aisément jusqu'aux voies respiratoires les  plus fines. Il peut aussi entraîner des  essoufflements et des toux.    Particules en  suspension  PM  Provient des maisons, de la terre, de  l’agriculture, et des transports.    Monoxyde de carbone  CO  Provoque des intoxications      NO​ =Dioxyde d’azote, gaz irritant pouvant pénétrer profondément dans les poumons

niveau national sur la base de seuils réglementaires : arrêté du 22 juillet 2004 relatif aux indices de qualité de l'air. À compter de 2012, le calcul de l’indice de qualité de l’air a évolué pour prendre en compte la nouvelle réglementation sur les particules en suspension inférieures à 10 microns (les PM10). Cette réglementation (décret ministériel du 21 octobre 2010) abaisse les seuils d’information et d’alerte respectivement à 50 et à 80 microgrammes par mètre cube sur 24 heures (au lieu de 80 et

donnés, la correction relativiste ne modifie pas la valeur de la durée mesurée. Les 4 premières situations seront donc aussi bien décrites par la physique de Newton que par celle d’Einstein. Par contre, on voit, par les deux dernières lignes, qu’une particule accélérée est très influencée par la correction relativiste : son comportement sort du champ de validité de la physique de Newton. (a) À l’aide d’un tableur, tracer la courbe représentant en fonction de v, pour des valeurs de v comprises entre 0

nanostructurés  en  surface  (assemblages  multicouches,  revêtements  nanostructurés  sur  un substrat) et matériaux nanostructurés en volume (nanocomposites, matériaux nanoporeux…).  Les « nano‐objets » se présentent sous des formes très diverses : particules (nanoparticules  métalliques,  d’oxydes,  de  céramiques,  de  terres  rares,  cermets,  dendrimères…),  capsules  (sphères  creuses :  liposomes,  fullerènes…),  fibres/fils  (nanofils  semi‐conducteurs,  métalliques,  d’oxydes  métalliques…), 

scientifiques ont mis en évidence trois cibles principales pour une réduction des émissions de suie : l’ensemble de machines composées de diesel dépourvus de filtres à particules, les industries et les chauffages domestiques. La suie n’est pas un danger que pour le climat, mais également pour l’homme. En effet, les particules fines provoquent des maladies respiratoires et accidents cardio-vasculaire. Source : Y. Sciama, « Et si on commençait par la suie», dans Sciences et vie, n°1118, novembre