Pas d'histoires

une nymphe. On est dans la beauté idéalisée, un canon de proportion (déf.). C’est une beauté figée qui a l’air d’une statue figée. On est dans l’idéalisation avec cette femme qui marche sur l’eau. La peinture allégorique s’inscrit dans la peinture d’histoire. Courbet traite le sujet complètement différent. Ce n’est pas du tout une allégorie de la source. C’est une femme bien réelle. C’est une scène de genre. Cette femme a les pieds dans l’eau. Tout ceci contredit les codes de la représentation d’Ingres

par André Félibien, secrétaire de l’Académie, la Hiérarchie des genres consacrait la première place à l’invention dans la représentation d’une scène d’histoire religieuse, mythologique ou profane, aux dépens de l’imitation dont se contentaient portraitistes, peintres de paysages ou de natures mortes. • Au sommet se trouvait la peinture d’histoire, appelée «le grand genre» : tableaux souvent de grande taille, à sujets mythologiques, religieux ou historiques. Ils avaient pour fonction d’instruire

Jean Siméon Chardin Jean Siméon Chardin naît à Paris le 2 novembre 1699, d'un père artisan, fabricant de billards. Mis à part le fait qu'il a été l'élève de Cazes (peintre d'Histoire) et qu'il a peut-être été conseillé par Noël Nicolas Coypel, on n'a aucune certitude à propos de sa formation avant le 6 février 1724, date à laquelle il est reçu à l'Académie de Saint-Luc avec le titre de maître — titre auquel il renonça en 1729. Il est probable que deux de ses tableaux, la Raie et le Buffet aient

de Poussin pour le paysage a la fin de sa vie a suscité de nombreuse interrogations : on a attribué cela a l’age et a la maladie ( sa main tremblait ) qui l’empechait de definir les formes avec sureté et donc d’etre assez precis pour la peinture d’histoire alors que dans la peinture de paysage une touche un divisé et meme un peu heurté peut rendre lee grain des chose. On a aussi raproché ces derniers œuvres de Corot et même des impressioniste en y voyant une liberation de toute contrainte mais ca

(schéma) visée esthétique: l'artiste cherche à atteindre le Beau idéal visée émotive: amuser, émouvoir (registre pathétique), exprimer une émotion (registre lyrique) Déterminer le genre de l'image - Genres picturaux: peinture d'Histoire (scène historique ou mythologique), portrait, paysage, scène de genre (scène de la vie quotidienne), nature morte (objets, fleurs, fruits) - Genres photographiques: photoreportage (presse), photographie d'art, photographie publicitaire.

sublime du tableau : le naufrage représente des cadavres et des hommes qui souffrent. Comme dit précédemment, c’était seulement des anonymes, ce qui bouleverse la hiérarchie des genres, même si le format de tableau correspond au format d’un tableau d’histoire. Géricault reprend un motif universel, tout le monde peut comprendre la scène qui est peinte, le thème du déluge sécularisé est reprit. C’est un sujet qui a étonné lors du Salon, et les critiques et les visiteurs. Le choix du moment représenté

théâtre ; il joue de la viole de gambe et se lie à des musiciens et à des acteurs dont il donnera de nombreux portraits. Les écrivains et la littérature, en revanche, l'attirent peu, ce qui est à rapprocher de son indifférence à l'égard de la peinture d'histoire et de la peinture narrative. C’est un homme toujours à l'affût de nouveaux moyens d'expression, le peintre se passionne pour les effets de lumière et de mouvement obtenus par Loutherbourg dans son Eidophusicon. Concernant le portrait son exigence

Le sujet : ici les deux titres nous indique le sujet; un portrait de la famille Bellelli. Ce sujet, il faut le préciser en indiquant sa signification plus profonde. De manière générale, ce qu'on nous demande c'est s'il s'agit d'une peinture d'histoire, de quel siècle. Restituer l'action, les personnage, les lieux, les dates. Si y a des symboles, des attributs et des allégories, il faut les identifier. On en a jusqu'au XIXe. Il faut également préciser si c'est un thème nouveau même si c'est

David mêle ici représentation naturaliste d’un événement (lettre de Charlotte Corday, bain dans lequel se trouvait Marat pour le soulager de sa maladie, couteau taché de sang3, etc.) mais aussi l’idéalisation et la dramatisation d’une peinture d’histoire : grande diagonale de la lumière,BAIGNOIRE sabot en cuivre cachée sous l'horizontalité d'une draperie, coffre avec une dédicace, tel l’épitaphe d’une tombe, le corps nu héroïque et idéalisé coincé dans la baignoire, l’attitude de Marat qui rappelle

sombre et le lumineux, la foule et l’unité et encore le réel et l’irréel. Rubrique b : On comprend que le peuple recherche la liberté, c’est pour cela qu’il suit cette femme qui lui donne un espoir. Ce tableau n’est pas une vraie peinture d’histoire car la femme n’est pas réelle, c’est une allégorie de la liberté ; elle est surréaliste. La liberté emprunte ses traits à une déesse grecque et porte un bonnet phrygien, symbole de la république en Grèce Antique. Le peuple suit cette femme, il