Pasiphaé

très présent dans Phèdre, ou la malédiction qui s’abat sur elle est liée à la honte familiale car sa mère qui fut l’amante d’un taureau et la mère d’un monstre le Minotaure, on peut le confirmer grâce à plusieurs citations « La fille de Minos et Pasiphaé », « Misérable ! Et je vis ! Et je soutiens la vue, De ce sacré soleil dont je suis descendue ! , J'ai pour aïeul le père et le maître des dieux ». Dans Andromaque, Oreste car il est le descendant des Atrides qui ont commis des crimes odieux à travers

tragédies, et les a fait directement interagir dans Phèdre. Tout d’abord, les dieux sont présents dans les deux pièces, car chaque personnage est descendant d’un dieu ou d’un personnage mythologique. Comme Phèdre qui est la fille de Minos et de Pasiphaé. Les dieux interviennent pendant l’acte IV, quand Oenone invente qu’Hippolyte a voulu tuer Phèdre, afin que Thésée bannisse son propre fils. C’est à ce moment-là que Thésée demande au dieu de la mer, Neptune, de le venger. Ce sont donc ces détails

poète médiocre, qui n'était pas médiocrement dur, nommé Iro, fit de mauvais vers à ma louange, dans lesquels il me faisait descendre de Minos en droite ligne ; mais mon père ayant été disgracié, il fit d'autres vers où je ne descendais plus que de Pasiphaé et de son amant. C'était un bien méchant homme que cet Iro, et le plus ennuyeux coquin qui fût dans l'île. Mon père m'envoya, à l'âge de quinze ans, étudier à Rome. J'arrivai dans l'espérance d'apprendre toutes les vérités ; car jusque-là on m'avait

capable d’interpréter les signes du réel grâce à son intelligence et à son expérience. « Je vous donne mon nom comme un fil d’Ariane pour entrer dans ce labyrinthe. », l. 46/47. La comparaison fait apparaître la vicomtesse en fille de Minos et de Pasiphaé : par la seule vertu de son nom, elle sert de guide à son cousin dans l’antre du Minotaure qu’est implicitement la société parisienne (se souvenir du cours sur Balzac et les métaphores employées pour décrire la société), et lui permet de triompher

Racine est un dramaturge de XVIIe siècle, né en 1639 et mort en 1699. Il est devenu célèbre en 1667 grâce à sa pièce Andromaque, une autre tragédie. La pièce étudiée est une tragédie en cinq actes qui raconte l’histoire de Phèdre, fille de Minos et de Pasiphaé, sœur d’Ariane et épouse de Thésée, éperdument éprise d’Hyppolite, son beau-fils. Apprenant la soi-disant mort de son époux et soutenue par sa très dévouée servante Oenone, Phèdre révèle son amour à Hyppolite. Ce dernier, lui-même amoureux d’Aricie

au lecteur plus de liberté en lisant la pièce. Ensuite, la lecture une pièce de théâtre concède a une meilleur compréhension de celle-ci. Dans Phèdre de Racine, le lecture offre le temps de s’attarder sur les vers comme « La fille de Minos et de Pasiphaé » alors que le théâtre ne permet pas de les savourer comme il se devrait. La lecture aide donc à mieux goûter les beautés d’un passage. De plus, la lecture laisse le temps de chercher ou offre les notes nécessaires à la compréhension. C’est le cas

sur gaïa, la terre27. Il s'enfoncer comme aux esprit à monter les monture à l'aide d'une bride. il fait sortir de la mer, à la pétition de minos, un taureau gigantesque. mais, comme le roi de Crète écarter de lui solder l'animal, il animer en pasiphaé, conjointe de celui-ci, un amour coupable pour le taureau. De leur union découler le minotaure.

terres de sel qui tient sa légitimité de Tsongor C°) Les traits communs entre Phèdre et Samilia est qu'elles sont toutes les deux des femmes aisés car elles sont toute les deux des filles de roi, Phèbre est la fille de Minos le roi de Crète et de Pasiphaé et quand a Samilia elle est la fille de Tsongor le roi de Massaba et souverain d'un immense empire. Elles doivent également se marier avec un roi, Phèbre se marie avec Thésée le roi d'Athènes et quand à Samilia elle doit se marier avec Kouame le

tragique. La fatalité est construite dans l’aveu même.  Du 32 au v 41 « O haine de Vénus […] la plus misérable », le rappel du passé rattache la passion de Phèdre à la malédiction lancée par Vénus sur sa famille et qui a déjà atteint sa mère Pasiphaë (v.33 )et sa soeur Ariane (v.36 ) celle des amours interdites et maudites.  Phèdre s’inscrit dans la lignée des victimes de la fatalité.  L’absence de responsabilité de Phèdre et met l’accent sur la responsabilité de la fatalité dans son

d’une scène de quiproquo, ou lorsque le dramaturge utilise des apartés. ____________________________________________________________________ - mais retarde encore l’aveu jusqu’au v.45 par de multiples imprécations, apostrophes au Ciel, à Pasiphaé, sa mère, à Ariane sa sœur… - l’aveu est progressif : en évoquant Vénus, Phèdre révèle indirectement que le mal qui la ronge est l’amour. - l’aveu est elliptique : jamais Phèdre ne prononce le nom de celui qu’elle aime : elle le nomme par deux