Pasiphaé

j’étais idolâtre ». Et de fait, Phèdre voit dans son amour pour le jeune homme une malédiction de Vénus qui, surprise un jour dans son amour illégitime pour Mars par le Soleil, poursuit depuis de son ressentiment celui-ci et ses descendants, dont Pasiphaé et Phèdre, sa petite-fille. Phèdre a beau se sentir faible (sa passion aliène sa liberté) et coupable (la violence sacrilège qu’elle attribue à sa faute va au-delà de la peur de l’adultère), elle n’en est pas moins la victime des dieux, comme l’explique

à la fin Changement corps de position -Phèdre n' pas la force de pronocer cet aveu elle s'en remet donc au ciel comme nous le montre Ciel que vais je lui dire et par où commencer. Puis elle se reconnaît dans sa lignée. Elle parle de sa mere Pasiphaé qui a subi un sort d'amour malheureux où il tombe en amour pour un taureau. Puis de sa sœur qui fut abandonnée par Thésée sur l'île de Naxos après qu'elle l'ai aidé à sortir du l'abyrinthe. Elle s'adresse à des mortes « dans quels égarements l'amour

plus simple vers le plus compliqué, du physique vers le psychologique • Le Minotaure, le narrateur est bien un monstre puisqu’il est mi-homme, mi-taureau. Le monstre est un être hybride, issu d’une union contre nature, celle de sa mère Pasiphaé avec un taureau blanc envoyé par Poséidon. • • Puisqu’il est un être hybride, il est unique, il n’a aucun équivalent dans l’espèce humaine. Ce côté unique souvent martelé par le narrateur dont il semble de façon ambivalente à

Mythologie[modifier | modifier le code] Phèdre, fille de Minos et de Pasiphaé et épouse de Thésée. Personnalités[modifier | modifier le code] Phèdre, philosophe grec, disciple d’Épicure et contemporain de Cicéron (ier siècle av. J.-C.). Phèdre, auteur latin de fables (14 av.-50 ap. J.-C.). Titres[modifier | modifier le code] Littérature[modifier | modifier le code] Phèdre, tragédie grecque d'Euripide. Phèdre, dialogue de Platon. Phèdre, tragédie de Sénèque. Phèdre, tragédie de Jean

sert. » « Ni grilles ni verrous ne tiennent contre moi. » « Laisse-moi le bonheur d’expirer à ta vue. » /opt/scribd/conversion/tmp/scratch6295/85085947.doc 10/47 Mais on est loin de « Phèdre, fille de Minos et de Pasiphaé. » C’est alors qu’on a changé d’auteur à cemoment-là.Dr Jacques COULARDEAU

Phèdre laisse éclater son désarroi. Lorsque Œnone essaie de lui fournir des justifications, Phèdre la maudit et la chesse de sa présence. III/Personnages * Thésée, fils d’Égée, roi d’Athènes * Phèdre, femme de Thésée, fille de Minos et de Pasiphaé * Hippolyte, fils de Thésée et d’Antiope * Aricie, princesse du sang royal d'Athènes, sœur des Pallantides (en) * Œnone, nourrice et confidente de Phèdre * Théramène, gouverneur d'Hippolyte * Ismène, confidente d'Aricie *

elles sont très proche de l'oral et nous pouvons facilement rentrer dans l'histoire de cette pièce. De plus, certains auteur comme Racine souhaite que la parole soit au centre du théâtre avec la beauté de ses alexandrins « la fille de Minos et de Pasiphaé ». Puis, nous allons voir les didascalies qui sont des notes ou des paragraphes rédigées par l' auteur pour le lecteur ou le metteur en scène. Elles peuvent nous apporter des renseignements sur le décor et la présence d'objet. Elles orientent

prédestination et qui se nomme le Jansénisme. Les auteurs du classicisme s'inspire des œuvres de l'antiquité et vont instaurer des règles strictes notamment pour les tragédies. Les trois personnages principaux son Phère, épouse de Thésée, fille de Pasiphaé, amoureuse de son beau-fils Hippolyte. Thésée roi d’Athènes et Hippolyte et d'une amazone Antiope, et amoureux de Aricie qui est la dernière survivante de la famille ennemie de Thésée qui garde prisonnière afin d'éviter qu'elle ait une descendance

lyrique et une série d'antithèses entre l'action et son inefficacité. C - Une hérédité fatale Phèdre met au compte d'une filiation maudite l'échec de son appel à Vénus -> "Je reconnus Vénus " + " d'un sang qu'elle poursuit " référence à sa mère, Pasiphaë, qui s'unit à un taureau (union monstrueuse que lui évoque son amour incestueux pour le fils de son mari) + référence à Ariane, sa sœur, délaissée par Thésée (amour forcément malheureux). Sentiment de la fatalité liée traditionnellement au ressentiment

coupable ». Elle essaie pourtant de le faire comprendre à Oenone aux vers 4-5 « Grâce au ciel, mes mains ne sont pas criminelles. / Plût aux Dieux que mon cœur fût innocent comme elles ! ». Phèdre se présente comme une criminelle car elle est la fille de Pasiphaé, qu'elle cite au vers 33 « ma mère ». Elle et sa sœur Ariane paient pour le crime de leur mère, « Ô haine de Vénus ! Ô fatale colère ! » au vers 32 et « Puisque Vénus le veut » au vers 40. 2 - Les tentatives successives d'Oenone Ensuite