Passé Simple Cm1

déchéance : il a découvert qu'il ne pourrait sauver l'humanité des tyrans car, déçu, il pense que l'humanité entière est tyrannique. Lecture. Annonce des axes Etude I. Les désillusions L'innocente jeunesse : Lorenzo parle du passé, présence du passé composé, répétition de « voir » (4 fois) -> conception du monde selon sa propre expérience. Les désillusions : évocation des larmes : « j'aurais pleuré […] si elle ne s’était mise à rire.». Le reste de son sens moral face a une fille qui

dans le passé, le présent on le futur, mais aussi à situer les actions les unes par rapport aux antres : c'est ce qu'on appelle le système des temps. Le système du présent Lorsque le temps de référence est le présent de l'écriture, on dit que le récit est ancré dans la situation d'énonciation. Les temps utilisés sont alors le présent. le futur simple et antérieur, le passé composé et l'imparfait. Passé composé et imparfait J'ai obtenu une permission hier. Présent Futur simple et futur

qui débute par une interjection («Zut») .ce qui produit une envie d'en savoir plus et donc l'auteur produit un effet d'attente. Ensuite l'auteur fait une narration de la scène et décrit l' action. L'auteur utilise les temps du passé surtout le passé simple puis dans les dialogues le présent d'action « ça ne mord pas» 2)La disposition typographique du texte met en valeur les paroles des personnages . Les paragraphes sont court au maximum 6 lignes . Les alinéas sont nombreux .Ce qui

caractéristiques suivantes : • présence d'une suite d'événements qui font partie d'une action. • présence d'indications temporelles (ensuite, le lendemain...). • présence de temps du récit (en général le passé simple et l'imparfait mais on peut aussi y trouver le présent de narration ou du passé composé) • Des verbes d'action. Descriptif Forme de discours qui a pour but de produire une image de ce que le lecteur ne voit pas mais qu'il peut imaginer. Le texte descriptif permet au lecteur d'imaginer

les baraques foraines du champ des Manoeuvres ou encore Marengo. Pas plus de précisions en ce qui concerne l’année. L’action dure à peu près un an, de juin à juin. Importance de la chaleur. Le style Camus utilise le passé composé et non le passé simple, écrivant comme Meursault parle. Les phrases sont courtes, sans connecteurs logiques. S’inspire du procès à la fin du roman Le Rouge et le noir. Le titre peut avoir été inspiré du poème de Baudelaire « L’Etranger ». Référence

regard de Fabrice, qui est brouillé. Il ne parvient pas a saisir correctement les détails de la scène : « il avait eau regarder » Il a un regard limité. Son regard n'a pas l'ampleur épique d'un militaire Le temps du regard brouillé est le passé simple : le survol des actions sans attention. Les hommes sans grandeur. Les hommes dans ce teste sont désacralisé, même le maréchal Ney par l'adjectif « gros » et par son niveau de langue ( récurrence : il « jurait », imparfait : habitude

lapins s’étaient assis, immobiles ……«  L’auteur utilise aussi le présent pour décrire la scène les feuilles retiennent .. Et les branche marbrées s’allongent et forme une voute au bord de l’eau . Ce texte décris précisément l’endroit ou se passe la scène en insistant sur les détails et donne à ce lieu un calme poétique et très champêtre La fonction de ce texte est de décrire précisément l’endroit ou les personnages principaux arrivent et où ils finissent ce texte décrit l’endroit du commencement

longtemps pour que leurs conflits paraissent menaçants comme jadis. Le présent du couple, serein, apaisé, - « déchire » (v.34), « protégeons » (v.35)- s'oppose très clairement à un autrefois douloureux marqué par le passé simple - « pris » (v.19)-, l'imparfait « ressemblait » (v.8) et le passé composé - « ai perdue » (v.18)-. La lenteur impose même son empreinte, ralentit la consistance de cet affrontement, lorsqu'il advient. C'est ce que suggèrent les comparatifs dans les expressions « moins tôt » (v

qu’il s’agit d’une jeune fille en particulier, qu’elle l’a particulièrement marquée et dont le souvenir est plutôt vif. | Périphrase « la jeune fille » (v.1) | Vient renforcer son importance car il aurait pu se contenter d’écrire « elle a passé », ce qui met en valeur son sexe, son jeune âge, la posant comme l’objet de fantasme amoureux. | La comparaison « vive et preste comme un oiseau » (v.2) | L’assimile à un volatile pour mieux monter son côté furtif, comme si sa marche était

l’arme car « l’égalisateur se soulevait à chaque pulsation ». L’état de stress du personnage accélère son rythme cardiaque, l’adrénaline le pousse à l’acte final. Enfin, les discours narratifs et descriptifs sont présents en alternance, le passé simple succède à l’imparfait et inversement. Tantôt « le poids tirait », tantôt « il tira ». Ainsi est racontée la marche de Claude, telle qu’il la vit quand tout à coup il commet un meurtre. Il n’y a eu aucune préméditation, le lecteur ne s’attend pas