Patinoire Charlemagne

Saint : A l’époque carolingienne et mérovingienne les hagiographies sont des sources historiques. Sulpice Sévère – Vie de saint Martin – IVe s. Liber pontificalis (liste des papes) Gesta episcorum (liste des évêques) Eginhard – Vie de Charlemagne – vers 830 Lettres de Loup de Ferrières à Charles le Chauve – vers 850 On parle parmi les sources narratives, les lettres correspondantes. Les lettres relèvent des archives personnelles, on garde seulement les lettres de haut personnages, ce

tigres et les ours. — Plus tard, vers des climats plus rudes, en des ères Barbares, chez les Francs tumultueux, nos pères, Est-ce que le Trouvère héroïque n’eut pas Comme le Preux sa part auguste des combats ? Est-ce que, Théroldus ayant dit Charlemagne, Et son neveu Roland resté dans la montagne, Et le bon Olivier et Turpin au grand cœur, En beaux couplets et sur un rythme âpre et vainqueur, Est-ce que, cinquante ans après, dans les batailles, Les durs Leudes perdant leur sang par vingt

1. La chute de la royauté carolingienne Introduction : a) Le texte propose est un récit écrit par un historien au service des carolingiens, Higina. Ce dernier est un auteur du VIIIème IXème s. et a entretenu des relations très étroites avec charlemagne qui l’a notamment choisi pour effectuer des missions diplomatiques importantes. b) Au VIII s le trône royal est vacant de points le dernier roi Thierry IV est mort. Les deux fils de Charles Martel installent un cousin du roi, Childéric III, mais

terminer, il faut remarquer que l’on trouve durant cette période des tentatives d’unification européenne. 1e tentative : L’empire carolingien, pendant environ 1 siècle. L’empire franc s’est consacré à l’unification politique de l’occident. 3 Charlemagne est très souvent considéré comme le père de l’Europe. Mais Europe fragile car l’empire carolingien s’est effondré. 2e tentative : le saint empire romain germanique, il est né au Xe siècle avec Otton Ier (roi de germanie). Au 12e siècle ca se transformer

environ. Il s’agit de la première œuvre de la littérature française : c’est-à-dire écrite en ancien français (diffèrent de notre français moderne), et non en latin comme l’était une grande partie de la littérature de l’époque. Les 12 pairs : Charlemagne est entouré de douze pairs comme Jésus et ses apôtres. Ce sont les grands du royaume, égaux entre eux par les titres de noblesse. Chacun était censé servir l'empereur un mois par an avec ses troupes. Ganelon est l’un des douze pairs, celui

dernier fils vivant de Charlemagne, il lui succède à sa mort en 814 à l’âge de 36 ans. Son règne en tant qu’empereur d’occident s’étale alors de 814 à 840. Deux ans après son avènement, il se fit couronner par le pape Etienne IV, complétant par cette cérémonie religieuse le sacre du couronnement laïc déjà effectué par son père. Dès le début de son règne il marqua les esprits par une série de mesures radicales, comme l’éloignement des principaux collaborateurs de Charlemagne. Son règne fut aussi marqué

sur le trône impérial», 1806, Huile sur toile 2,59 ×1,62 m, Paris, musée de l'Armée. L'Empereur est représenté de face, assis sur son trône, vêtu de la tunique et du grand manteau du sacre, portant les regalia : le sceptre de Charles V, dit de Charlemagne, et la main de justice, restaurés pour la circonstance par Martin-Guillaume Biennais (1764-1843, orfèvre au service de l’emprereur), la couronne de lauriers, à feuilles d'or, de Biennais. Il porte également le grand collier de la Légion d'honneur

Pépin le bref est incontestablement un roi important, il se fait d’ailleurs couronné avec ses fils ce qui fait de lui un roi novateur. Le texte qu’il faut ici étudié porte le titre de « clausule du sacre de pépin ». le texte dégage en effet les modalités du sacre de pépin le bref. Il est alors possible de se poser la question suivante : qu’a apporté a pépin le bref la cérémonie du sacre ? En premier lieu, il sera abordé que la cérémonie du sacre permet la reconnaissance des différents pouvoirs

fonction, les regalia, conservés par l’abbaye royale de Saint-Denis : - l’anneau que l’archevêque lui passe au doigt (comme pour un évêque), gage et signe de l’alliance du souverain avec son peuple. - le glaive ou épée (“Joyeuse”, épée dite de Charlemagne) symbole du combat que doit mener le roi pour la paix et contre les ennemis de la foi. Le roi reçoit l’arme et la pose sur l’autel ; on la lui redonne avec cette formule : « Sire, prenez cette épée qui vous est donnée par la bénédiction de Dieu

possibles, il est hissé au plus haut rang existant grâce à cette cérémonie. Comme nous l’avons dit précédemment, la Sainte Ampoule aurait servi au baptême de Clovis. Puis, la couronne qui sert au sacre était celle de Charlemagne : « Il posa aussi sur sa tête la couronne de Charlemagne » ligne quarante. Cela montre que Louis XIV s’inscrit dans une lignée importante de monarque, et qu’il est donc de prestige égal voir supérieur. En insérant des symboles tels que ceux-là dans la cérémonie, on souhaite