Patrice de Mac Mahon

République, le maréchal Patrice de Mac Mahon, monarchiste, à la Chambre des députés élue en 1876, à majorité républicaine, et à leur chef, Léon Gambetta. Jules Simon donne des gages à la gauche en épurant la haute administration (préfets et magistrats), ce qui lui vaut l'hostilité de Mac Mahon. Malgré cela, les républicains menés par Léon Gambetta formulent des exigences accrues. Gambetta souhaite une réunion plénière des gauches et veut éviter toute politique de hasard . Mac Mahon, reproche au président

chute de l’Empire marque la naissance de la IIIe République en France. Après un grand débat entre les monarchistes orléanistes et les monarchistes légitimistes pour savoir qui du comte de Paris ou du comte de Chambord devait monter sur le trône, Mac-Mahon est placé au pouvoir pendant sept ans en tant que Président de la République à titre personnel. Les 24 et 25 février 1875 et le 16 juillet 1875, trois lois constitutionnelles sont adoptées afin d’organiser le régime politique de la France. Ces lois

Paradoxalement pour une République, ce sont les monarchistes qui remportent les élections de Février 1871 et créent un gouvernement provisoire. Ils nomment alors Adolphe Thiers, républicain modéré à sa tête qui laissera sa place au monarchiste Patrice de Mac Mahon en 1873. Celui-ci, en tant que Président de la République va voir ses pouvoirs reconnus par la loi de Broglie du 13 Mars 1873. Le septennat du Président de la République est mis en place par la loi du 20 Novembre 1873. Cette loi prévoit également

Nationale Constituante le 8 avril 1871. Ces difficultés contribuent à expliquer l’hésitation de l’Assemblée Nationale, qui va mettre huit ans, de 1871 à 1879, pour trouver la voie du nouveau régime. Après avoir choisi Adolphe Thiers en 1871 et Patrice MacMahon en 1873, et après de nombreuses crises liées à ces choix, nottament la fameuse crise du 16 mai 1877, l’Assemblée nomme Jules Grévy à la tête du pouvoir exécutif en 1879. Celui-ci, croyant avoir tiré lesson des erreurs de ses prédescesseurs

Ainsi, Thiers étant désapprouvé, il démissionna le 24 mai 1873. Suite à la démission de Thiers et à l'échec de rétablissement de la monarchie, le maréchal de Mac-Mahon fut élu Président de la République par les Chambres. Cette présidence renforça donc à nouveau l'exécutif. En effet, la loi du 20 novembre 1873 confia au maréchal Mac-Mahon le Pouvoir exécutif pour sept ans. Celui-ci était encore provisoire mais il bénéficiait désormais d'un mandat avec une durée fixée. Cependant, l’amendement Wallon

gouvernement contre une insurrection issue de l’Assemblée Nationale nommée « Commune de Paris » en 1871, créée en réaction à la capitulation de Paris lors de la guerre franco-prussienne. Suite à cette démission, c’est un monarchiste d’origine irlandaise, Mac Mahon, Comte, Duc et Maréchal de France qui n’avait pour unique ambition politique de voir le retour d’un roi à la tête de la France. Elu pour sept années au poste de Président, les échecs issus des tentatives de restauration de la monarchie ne font qu’affaiblir

Pendant ce siège, les adversaires s’affrontèrent dans les batailles de Balaklava - 25 octobre - et d’Inkerman - 5 novembre. Le 8 septembre 1855, la tour Malakoff, position clé de la ville, tombe aux mains des Français, dirigés par le maréchal Patrice de Mac-Mahon, devenu célèbre notamment pour cette victoire au cours de laquelle il prononça son fameux « J’y suis ! J’y reste ! », Entraînant la chute de la ville. Avec l’accession d’Alexandre II les pourparlers de paix commencèrent. Le traité de Paris

1871, par la capitulation de Louis-Napoléon Bonaparte et la signature de l’armistice peu de temps après, l’invasion prussienne est stoppée et Adolphe Thiers est nommé par les Assemblées alors réunies. Succède ensuite à cet homme le maréchal Patrice de Mac Mahon en 1875 pour 7 ans ; il s’agit d’un septennat personnel à l’initiative des monarchistes, en attendant la mort du comte de Chambord, légitime héritier du trône français mais impossible à hisser au pouvoir. La promulgation des 3 lois constitutionnelles

Mais qui ne peut, dans les faits, durer : la IIIème république doit trouver sa majorité : A. La crise du 16 mai 1877 : La crise dite du 16 mai 1877 est une crise institutionnelle qui a opposé le Président de la République, Monarchiste, Patrice de Mac Mahon, à la chambre des députés élue en 1876, c’est-à-dire une moitié du parlement, à majorité républicaine. Si elle s’étend sur en fait plusieurs années, la date du 16 mai est la date à laquelle le président nomma à la tête du gouvernement une personnalité

http://www.herodote.net/30_janvier_1879-evenement-18790130.php Ce quatrième président de la République française- convictions républicaines, qui a été précédé par Louis-Napoléon Bonaparte (bonapartiste), Adolphe Thiers (monarchiste/opportuniste), et Patrice de Mac-Mahon (monarchiste résolu). La présidence de Jules Grévy se signale quant à elle par l'affirmation sans ambiguïté du caractère républicain du régime. On adopte la Marseillaise comme hymne national, 14 juillet fête nationale et l'on accorde une amnistie