Patronat

direction fait la sourde oreille. ANNEXE 3 Question 4 Le syndicat a obtenu pour les salariés 20 000€ de primes de départ et 1 000€ supplémentaires par année d'ancienneté, un budget de 4 000€ par salariés. Question 5 Ils dénonce que le patronat local et le groupe Mulliez d'avoir attendu longtemps pour appeler à la négociation afin de pouvoir sortir rapidement le plus de salariés possible de cette épreuves de force. PARAGRAPHE L'origine du conflit

le monde ouvrier commence à réagir et forme des syndicat pour lutter contre l’État et le patronat . Une vague de grèves va apparaitre en juin 1936 après la victoire du front populaire . Une première dans le monde ouvrier , les usine sont bloquer il n’y a plus aucune production dans le pays . Le monde ouvriers en s’invitant en politique va faire prêt de 2.5 millions de greviste cela oblige au patronat et a l’état a accorder des avancées sociales considérables . Mais , cela n’a pas suffi

d’idées ne donnant pas nécessairement lieu à un résultat abouti, mais ayant leur finalité, et dont la rétribution, s’il y en a une peut être morale ou matérielle. Dans un premier temps nous verrons le travail dans cette mine puis le travail des patronats. Dans Germinal, Zola nous décrit les conditions de travail qui sont détestables et difficiles. Les accidents et maladies professionnelles sont fréquents, les salaires sont dérisoires. Les ouvriers sont payés à la semaine, à la journée

pour pouvoir se nourrir. Quelle idéologie, chère au patronat, la loi de 1874 contrarie-t-elle ? Le travail des enfants était mal rémunéré. Ils œuvraient souvent dans le même atelier que leurs parents, auxquels ils remettaient leur salaire (entre le quart et la moitié de celui d'un adulte).. Suite à ces lois les enfants n’ont plus le droit de travailler plus de 6 heures par jour. Cette loi contrarie donc plusieurs idéologies du patronat : - Le coût du travail : les enfants étaient moins

contexte économique et social du pays. Le dialogue social s’étend dès lors à tous les secteurs d’activité, revêtant plusieurs formes. Selon qu’il est bipartie (c’est-à-dire réglant les relations entre l’état et le patronat ou entre l’Etat et les syndicats), ou tripartie (entre l’Etat, les patronats et les partenaires sociaux), le dialogue social présente plusieurs facettes, il peut aller du simple échange d’informations jusqu’aux formes de concertation les plus abouties comme la consultation, la concertation

Cet te victoire déclenche une grève sans suite. La classe ouvrière occupent les usines dans une ambiance de fête B) De grandes reformes sociales En juin 1936, pour mettre fin a la grève des négociations s’engage entre gouvernement, le patronat, et les syndicats. Par les accords Matignon d’importants avantages sont obtenus par les ouvriers: hausse des salaires, semaine de 40 heures de travail, 15 jours de congés payé, des conventions collectives et des nouveaux droits syndicaux.

la protection contre le chômage depuis 1958 Le régime d'assurance chômage est créé le 31 décembre 1958 pour les salariés de l'industrie et du commerce, sous l'impulsion du Général De Gaulle, par les partenaires sociaux avec la signature par le patronat (CNPF) et les syndicats (FO, CFTC et CGC) de la Convention nationale interprofessionnelle. Le système d'indemnisation est établi en dehors du cadre de la Sécurité sociale, contre le souhait de la CGT qui refuse initialement de prendre part aux négociations[1]

Ce sont des usines textiles de filature de laine. Il y a dans cette ville, une vingtaine de filatures de laine. Il y a 19% de belges. Les belges sont une nationalité bien représentée dans l’immigration française. La municipalité est tenue par le patronat local. Ce sont des républicains modérés, opportunistes et des gens de droite. Il existe un seul syndicat. C’est un syndicat mixte qui réunit patrons et ouvriers. De nouveaux courants politiques se développe dans le monde ouvrier de Fourmies : le

force colossale qui attire toutes les autres couches (opprimées) de la société. Déjà au cours des mois précédents la conscience de soi de la classe ouvrière avait eu des effets dans les autres groupes sociaux, dégonflant la baudruche fasciste. Le patronat panique, mais il n'est pas le seul. Léon Blum déclarera plus tard que ces grèves,au moment précis où il devenait chef du gouvernement, constituaient pour lui une gifle. Il veut mettre en place ses réformes progressivement mais il est victime de

joyeuse du lieu de travail (grèves sur le tas). Il s'agit de fêter la victoire, mais aussi de faire pression sur le patronat et le gouvernement pour qu'ils engagent rapidement des réformes sociales et n’oublie pas ses promesses électorales. Pour répondre à ces attentes et permettre la reprise du travail, Léon Blum organise alors des négociations entre les représentants du patronat et les syndicat, à Matignon, sous l’arbitrage de l’État. Le 7 juin 1936, les accords Matignon sont signés ils prévoient