Paul de Musset

ce dont il parle »7. Centré sur l'expression de l'émetteur, le lyrisme privilégie l'utilisation du « je » : c'est le cas de la poésie lyrique où le poète exprime sa sensibilité et sa subjectivité que symbolise le Pélican (Nuit de mai) d’Alfred de Musset. Mais cette poésie va au-delà de la confidence pour exprimer l’humaine condition et Victor Hugo proclame dans la Préface des Contemplations : « Quand je parle de moi, je vous parle de vous ! ». La poésie lyrique présente d'ailleurs parfois une forme

de Beaumarchais en 1785 Le théâtre est un genre littéraire particulier qui concilie à la fois littérature et spectacle, avec des cas limites puisque certaines pièces ont été destinées à la lecture, par exemple Spectacle dans un fauteuil d'Alfred de Musset. Le mot théâtre garde la marque de sa racine grecque qui signifie « regarder » et se définit par le fait de « montrer » un monde de conventions dans lequel des comédiens interprètent des personnages et prêtent leurs voix et leurs gestes pour donner

la mélancolie (Mœsta et errabunda) et l'envie d'ailleurs (L'Invitation au voyage). Il a aussi extrait la beauté de l'horreur (Une charogne). Paul Verlaine Paul Marie Verlaine est un poète français, né à Metz le 30 mars 1844 et mort à Paris le 8 janvier 1896. Après la démission de l'armée de son père, capitaine du génie, la famille Verlaine s'installe à Paris en 1851. Paul Verlaine suit des études secondaires en pension et devient bachelier en 1862, il renonce par la suite à des études de droit et entre

;  A la vie, au soleil, ce sont là mes adieux ;  Moi, je meurs et mon âme au moment qu'elle expire,  S'exhale comme un son triste et mélodieux. Ce huitième poème intitulé « Chanson d'automne », tiré du recueil Poèmes saturniens a été écrit par Paul Verlaine,  poète français. Dans ce poème, Verlaine utilise la saison de l’automne pour la mélancolie des jours anciens. Les sanglots longs Des violons De l'automne Blessent mon cœur D'une langueur Monotone. Tout suffocant Et blême, quand

de canal à Aix-en-Provence qui pourra ravitailler la ville en eau potable. C’est pendant ce chantier qu’il trouve la mort le 27 mars 1847. Zola passe son enfance et son adolescence à Aix-en-Provence. Au collège Bourbon, il a pour meilleur camarade Paul Cézanne. La mort de Francesco Zola laisse la mère d’Emile dans une situation très difficile. Elle va donc aller habiter chez ses parents en 1858. Emile Zola qui a dix huit ans entre au lycée Saint-Louis en tant que boursier. Après avoir passé les

"Je n'imitais plus personne, je m'exprimais moi-même pour moi-même. Ce n'étais pas un art, c'était un soulagement de mon propre cœur qui se berçait de ses propres sanglots." (Lamartine, à propos de ses Méditations) Dans Les Nuits d'Alfred de Musset, (1835-37), il s’agit d’une chronique sentimentale qui s’étend sur trois ans. Elle est constituée de quatre poèmes : Nuit de mai, composé au plus fort de la crise avec sa maîtresse George Sand ; Nuit de décembre, qui évoque la solitude de l’amant

d’autres grands mouvements de ce siècle, il prend une importance particulière et se démarque grâce à la révolution culturelle qu’il engendre. Il change littéralement la vue de la société. Certains grands auteurs tels qu’Honoré de Balzac, Alfred de Musset, Alphonse de Lamartine ou encore René Chateaubriand font la renommée du romantisme. On voit aussi apparaître de nouveaux genres comme le fantastique, ou le réalisme ; mêlés à merveille dans le roman de Balzac «La peau de chagrin». Aujourd'hui, le

l'émotion et de la sensibilité : il considère l'être humain dans l'expression de ses sentiments personnels, en privilégiant sa relation. *Ecrivains représentatifs : Chateaubriand (1768-1848) Lamartine (1790-1869) Vigny (1797-1863) Hugo (1802-1885) Musset (1810-1857) Nerval (1808-1855) -Le réalisme : il a pour objectif de décrire la société dans sa dimension historique et sociale. *Ecrivains représentatifs : Stendhal (1783-1842) Balzac (1799-1850) Flaubert (1821-1880) les frères Goncourt

poésie que j’ai pu apprendre durant mon enfance (« Pour ma mère » et « Ce qui ne peut s’user » de Maurice CAREME,  « A notre mère »  de Victor HUGO, « Maman c’est toi » de François BONIFAY, « A ma mère » d’Alfred de MUSSET, « Maman je te donne » d’Edgar Allan POE, « Je t’ai imaginée » de Paul ELUARD) et d’autre que j’ai entendu « mes plus petits » réciter, (« A ma mère » de Max ESLKAMP, « L’agneau nourri par une Chèvre fable de Jean Antoine » de CERCEAU). Je me suis dirigée sur ce thème d’un premier temps

voyage en Inde pour rappoter un colier de corail à sa cousine Caroline dont il était amoureux. Il se fera tancé par son père, qui le récupèrera in extremis à Paimboeuf. De 1944 à 1946 il fréquente le lycée Royal (actuellement lycée Clemenceau) avec Paul et fréquente avec ses camarades le «Cercle des externes du collège Royal qui se tient dans la libraire du père Bodin. Il passe son baccalauréat à Rennes et reçoit la mention «assez bien». En 1847 il est envoyé à Paris pas son père pour suivre ses