Paul et Virginie

COMMENTAIRE : “ETUDES DE LA NATURE” Bernardin de Saint-Pierre Jacques Henri Bernardin de Saint-Pierre, (1737-1814), écrivain français, disciple de Rousseau et précurseur du romantisme, célèbre surtout pour son roman Paul et Virginie (1787). Dans son texte Etudes de la Nature, Bernardin eloge en quelque sorte l’ignorance, en montrant la vie et les croyances avant les sciences et apres le sciences. Il oppose ses deux termes tout le long de cet extrait se qui met en valeur se qu’il pense de l’ignorance

plus décevante est la confrontation avec la réalité de l’existence. En outre Gustave Flaubert se moque de la littérature dont Emma se gorge. En effet les romans que Emma a lu au couvant sont extrêmement émouvants et irréalistes c’est le cas de Paul et virginie dans lesquels après la mort de l’un, l’autre amant se suicide. C’est cette collision qui a poussé Emma de rechercher du romantisme et de la passion qui va l’entrainer à nouer des liaisons amants-amante avec deux hommes qui la conduit finalement

Hugo, Paul Verlaine fait la connaissance de Léo Ferré et Gérard de Nerval croise Jacques Brel. Ces “mariages”, chers lecteurs, peuvent vous sembler incongrus, mais cette association est naturelle. J’ai regroupé ces différentes oeuvres autour de deux thèmes bien connus : l’Amour et la Mort. Mon choix était de rassembler des textes sur l’amour éternel, celui qui perdure jusqu’après la mort... comme Tristan et Iseut ou Marc et Nathalie dans l’Eternel Retour, Roméo et Juliette, Paul et Virginie ou même

lecture devient ainsi une sorte de divertissement. Et parfois, le roman nous donne vraiment l'impression qu'on a affaire à la réalité. C'est d'ailleurs l'une des caractéristiques du roman. Dans le roman de Jacques-Henri Bernardin de Saint-Pierre, Paul et Virginie (1788) l'histoire se passe à l'époque des colonies sur l'Île de France, l'actuelle Île Maurice. L'intrigue est donc vraisemblable, et l'espace crée en plus un effet de réel mais les personnages n'ont pourtant pas existé. L'auteur manifeste sans

sans scrupules et on peut qu’admirer sa détermination et volonté. Cette catégorie de personnage nous amène donc à rêver, à s’évader. Les romans ont pour principal objectif l’évasion et ceci est possible grâce au héro qui le compose. Dans Paul et Virginie de Bernarbin de Saint Pierre l’auteur nous fait voyager dans le temps et nous libère de nos problèmes quotidiens pour nous plonger dans une tout autre atmosphère. Ceci permet aux lecteurs de s’évader de la réalité et de rêver d’un bonheur (bien

à savoir d’ordre géologique : La ferme de Geffoses, Pont-l’évêque. Tout cela se trouve en Normandie car on sait qu’il s’agit du pays natal de Flaubert. La ferme dans laquelle se rend le petit groupe. De surcroît les prénoms donnés aux enfants Paul et Virginie sont tirés du célèbre roman à la mode de Bernardin Saint-Pierre (1830) donnant ainsi une réalité aux enfants .Le vocabulaire est précis, orienté vers le domaine agricole (herbage, gazon, prairie..) de même, on peut noter la précision vestimentaire

deux amoureux. La sobriété du récit Comparé à la mort des héroïnes de Julie ou la nouvelle Héloïse (Rousseau), Paul et Virginie (Bernardin de Saint-Pierre), Atala (Chateaubriand), ce récit d’agonie se distingue par son économie. Pas de longues scènes coupées de narration, pas de débats religieux, ni révélations, ni révoltes (Julie, Atala), pas de postures mélodramatiques (Virginie se jetant de la proue du navire face à la foule). Certes, Des Grieux prépare l’événement, notamment par les hyperboles

par dire – Soit, je vous accepte ! Félicité, un quart d’heure après, était installée chez elle. D’abord, elle y vécut dans une sorte de tremblement, que lui causaient « le genre de la maison » et le souvenir de « Monsieur », planant sur tout ! Paul et Virginie, l’un âgé de sept an, l’autre de quatre à peine, lui semblaient formés d’une matière précieuse ; elle les portait sur son dos comme un cheval ; et Mme Aubain lui défendit de les baiser à chaque minute, ce qui la mortifia. Cependant elle se trouvait

désir. La soirée du réveillon, si fraîche à ses débuts, simple et grave badinage de deux enfants amoureux, tourne à l’équipée nocturne quand Paloma et Pierre prennent la mer pour une île indistincte. En voulant recréer l’utopie romantique de Paul et Virginie, ils ne font que mettre en scène la vie au lieu de la vivre. La jeunesse est fascinée par ce qui brille et surtout par les étoiles noires. Paloma entretient une fascination vaguement amoureuse pour Peter Doherty. Peter/Pierre, le parallèle

janvier 1737. Il eut une jeunesse pauvre et aventureuse, voyagea, fut au service de la Russie ; de retour en France, il fréquenta les salons philosophiques, notamment ceux de Mlle de Lespinasse et de Mme Necker. L'insuccès de la lecture de Paul et Virginie chez cette dernière jeta l'auteur dans un tel doute sur la valeur de son ouvrage qu'il faillit le détruire ; ce fut Joseph Verret qui le sauva du feu. Les Études de la nature, ouvrage inspiré par Jean-Jacques Rousseau, dont Bernardin de Saint-Pierre