Paul Klee Le Chemin

aucune place sur cette terre, il ne parle de rien qui nous intéresse directement. (...) C'est tout un monde désincarné " La Bruyère : Caractères, XIV, "De quelques usages" (1688) "L'étude des textes ne peut être jamais assez recommandée ; c'est le chemin le plus court, le plus sûr et le plus agréable pour tout genre d'érudition. (...)" A propos du roman Hugo : Les Rayons et les Ombres (1840) ; préface "Le roman n'est autre chose que le drame développé‚ en dehors des proportions du théâtre, tantôt

avant-garde fermée sur le passé et ouverte sur l’avenir Diffusion du futurisme en Europe Peinture du mouvement et culte de la vitesse Le Bauhaus de Weimar à Dessau Entre école d’architecture et école d’art L’enseignement des « maîtres » : Kandinsky, Paul Klee, Gropius, etc. La nouvelle esthétique du Bauhaus : un design entre artisanat et industrie Un peintre français, une artiste américaine Pierre Soulages (1919) : le noir dans l’art moderne, une palette subtile Louise Bourgeois (1911-2010) : rejet du

le concept de beauté et d’expérience pouvant être remis en question et cette entreprise permettant plus à l’homme de s’éloigner des choses que de les connaitre. Enfin, nous observerons l’expérience de la beauté comme dépassement de ces choses et chemin vers l’universalité, le sublime. Tout d’abord, l’expérience de la beauté peut apparaître comme nécessaire à l’homme pour atteindre la compréhension des choses, leur intelligence. Ceci s’expliquant par le fait que l’expérience est ce qui enseigne

l’occasion de se visiter les uns les autres ; et il conclut : « C'est cette animation interne, ce rayonnement du visible que le peintre cherche sous les noms de profondeur, d'espace, de couleur. » (L'œil et l'esprit, p.71) 1 2 Expression de P. Klee dans son Journal (1959). Expressions du théoricien Ch. P. Bru dans Esthétique de l'abstraction (1959). 3 Expression d’Henri Michaux dans Aventures de lignes. 7 Centre Pompidou / Dossiers pédagogiques / Art et philosophie : LA PERCEPTION, UN

précisément une manière de ne pas quitter la réalité. Grâce à l’art, il échappe à la folie. C’est en ce sens que Freud établit les limites de la comparaison entre le névropathe et l’artiste : « A l’inverse du névropathe, l’artiste s’entendait à trouver le chemin du retour et à reprendre pied dans la réalité » dit-il dans Ma vie et la psychanalyse. Ainsi, la création artistique trouve sa source dans la sublimation, c’est-à-dire dans la satisfaction substitutive indirecte (sur un autre mode) de désirs inconscients

Paul McCarthy Nous allons nous intéresser au sujet d’un artiste américain encore actif, Paul Mccarthy, né après guerre en 1947 dans l’Utah, qui s’investit particulièrement dans les domaines de Performance, Vidéos et Installations Plastiques. Issu de formation artistique telle que le San Francisco Art Institute et l’University of Southern California, il donna même des cours à l’Université de Californie à Los Angeles dans les domaines qu'’il pratique. En l’occurrence, l’artiste très critiqué du

séparation a réduit la plupart des plaisirs à des rôles d’intermédiaires, elle en fait des véhicules vers autre chose. Quand la danse, au lieu d’exprimer la joie du corps, sert à séduire et fasciner une proie, quand les caresses subordonnent leur jeu au chemin programmé de l’accouplement, la diversité du vivant s’effrite en produits répertoriés selon les normes du rendement. Je ne ferai pas des plaisirs une voie vers la révolution, je ne prendrai pas le contrepied de cette impatience qui vous a fourni

intellectuel qui se développe entre 1916-1925 et, connaît une rapide expansion au niveau international malgré la Première Guerre Mondiale. Breton fonde avec deux amis (Louis Aragon et Philippe Soupault), une revue appelée « Littérature » que rejoint plus tard Paul Eluard. Ce groupe devient surréaliste et en 1922, il rompt avec les dadaïstes. C’est alors que naît le surréalisme. Ce groupe crée des liens plus étroits avec les créateurs. A l’origine du mouvement, les écrivains jouent, comme pour le mouvement dada

interprétation toute singulière. Chez Hegel, en effet, si l’art est idée rendue sensible, alors que a philosophie donne accès à l’idée pure, débarrassée du sensible, il y a donc une hiérarchie. L’art serait une façon nécessaire mais imparfaite encore de cheminer vers la pure pensée que seule la philosophie est capable d’atteindre. Nietzsche rejette cette hiérarchie. Il ne s’agit pas pour lui de s’élever peu à peu vers les idées pures, en passant de l’art à la philosophie, comme du moins vers le parfaitement

acclimater une collection à un nouveau site ? C’est à ces questions que répondent respectivement les études sur l’Historial de la Grande Guerre de Péronne, la salle des États au Louvre, la réhabilitation du musée André-Malraux au Havre, Le Zentrum Paul Klee à Berne, de Renzo Piano, le musée du Quai Branly à Paris, de Jean Nouvel et Gilles Clément. Architecture française : mémoire et modernité ou de la difficulté de faire preuve d’originalité dans l’expression du présent. [Exposition] / Le Dantec