Paul Valery Variete

ennemi mais un autre moi qui devient très important dans le processus de développement spirituel de l’individu. La différence est un miroir de l’être, avec ses défauts et ses qualités, la manière de voir que le monde est beau seulement � cause de sa variété infinie. 3. La musique a toujours été une partie très importante de la vie des gens. Dès l’aube des temps, elle a accompagné l’homme dans les moments d’extrême joie ou dans la plus accablante tristesse. Elle a toujours été influencée par les préoccupations

maintenant que nous sommes mortelles ». Introduction : « Nous autres civilisations, nous savons maintenant que nous sommes mortelles ». Cette phrase célèbre, rédigée par Paul Valéry en 1919 figure dans un essai, publié à la NFR, étant intitulé La crise de L’Esprit, qui par ailleurs sert de début de phrase à son texte philosophique Variété I. La date indiquée nous indique déjà le contexte histoire, nous sommes à un an de la Grande Guerre, traditionnellement appelée Première Guerre Mondiale et qui durera

écriture de l’existence 5 Chapitre 3 surgissement du langage chez l’écrivain et chez les élèves : existence de l’écriture « - Je m’appelle Paul. Paul Honfleur. - Honfleur, comme la ville ? demanda l’homme derrière son ordinateur. - Non, Honfleur comme mon père, répondit l’enfant qui se trouvait de l’autre côté du bureau en métal. » C’est le début de Paul Honfleur, une nouvelle que Rascal a écrite pour les enfants à partir de neuf ans.1 À sa lecture, comme c’est le cas pour bien des textes littéraires

pourquoi on peut penser que la poésie, en quelque sorte, nous éloigne du réel. En effet, la langue du poète, considérée à l'antiquité d'origine divine, est très travaillée et ne reflète donc pas la réalité. Selon le poète Paul Valéry, comme il l'énonce dans son recueil Variétés, « il faut que, dans un poème, le sens ne puisse l'emporter sur la forme ». Certains poètes se plient donc à de rigoureuses lois, comme celles du sonnet par exemple, quitte à ce que le poème soit incompris, voire quasiment

Proust la rejette au contraire dans un article publié dans La Revue Blanche du 15 juillet 1896, sous le titre explicite de « Contre l’obscurité ». Le dernier texte enfin, écrit par Paul Valéry, relève quant à lui du genre de l’étude, comme l’indique le titre de l’ouvrage datant de 1933 dont il est tiré : Variété, Études Littéraires, « Stéphane Mallarmé ». Rédigée à la fin de sa vie, cette réflexion s’appuie sur des confidences et sur le souvenir du jeune bachelier qu’il était, découvrant ébloui

ils semblent dire à Dieu, petits comme nous sommes, notre père voyez ce que nous font les hommes. » (Melancholia, les Contemplations). Telle une arme, la poésie permet d’exprimer des idées avec plus de force et d’intensité. Maniable, elle allie la variété et la multiplicité des formes : poème en vers réguliers, en vers libres, sonnet, ballade, poème en proses, calligramme. De plus, c’est un genre protéiforme qui joue de tous les registres : poésie lyrique, bien-entendu, mais aussi pathétique comme

vis atomica pour « puissance nucléaire », res inexplicata volans pour « objet volant non identifié », etc. Une wikipédia existe en latin : Wikipedia, libera encyclopaedia. Le grec ancien est sans doute un peu moins vivant. Il s'estompa, d'après Paul Valéry, peu après la Première Guerre mondiale ; voir un homme lire Thucydide dans le texte n'étonnait personne dans sa jeunesse. Si le statut de langue morte peut évoluer, cela suppose qu'une langue morte peut éventuellement revenir à la vie. L'hébreu

Renaissance italienne. Au premier rang, celle de Francesco Pétrarque (1304-1374), qui devint célèbre principalement pour son recueil de sonnetti, le Canzoniere. Pétrarquisme = manière de mêler virtuosité de la langue, préciosité du vocabulaire et variété des tonalités lyriques ou élégiaque (=Tirant son nom des élégies, poèmes au ton plaintif particulièrement adapté à l'évocation d'un mort ou à l'expression de souffrances amoureuses, elle est une tonalité lyrique fortement empreinte de mélancolie)

pluie fraîche » (Julien Gracq) « Vieil Océan, ô grand célibataire » (Comte de Lautréamont, Les Chants de Maldoror, Chant I) ex.2, métaphore directe : « Ce toit tranquille, où marchent des colombes, Entre les pins palpite, entre les tombes » — Paul Valéry, Charmes, Le Cimetière marin le contexte permet de comprendre que « toit » renvoie à « mer » et « colombes » à « voiles de bateaux ». Substitution la personnification ou l'animation évocation d'une chose ou d'une idée sous les traits d'un être

|Entre les pins palpite, entre les tombes » | | | | |— Paul Valéry, Charmes, Le Cimetière marin le contexte permet de comprendre que « toit » renvoie| | | | |à « mer » et « colombes » à « voiles de bateaux »