Paul Valéry Et Son Art Poétique

Originalité Thèmes et positions Rapports avec l'histoire et avec la philosophie Les romantiques, êtres insatisfaits et déchirés Le tourment du passé et de l'ailleurs Descente aux enfers et élan vers l'empyrée Bilan et survie du romantisme III. Art Diffusion des idées romantiques Problème de l'art romantique en France La révolution du sujet et les genres L'allégorie Les sujets littéraires Le paysage L'art animalier Prise de vue Le vaste mouvement de sensibilité et d'idées appelé «

LANGAGE DANS “EUPALINOS” DE P. VALERY1 Aboutir malgré le langage ; aboutir par un langage ; P.V. 1. Préalables Avant d'aborder la problématique elle-même, nous situerons succinctement le texte lui-même. D'un point de vue strictement anecdotique, P. Valéry accepta non seulement la commande d'un groupe d'architectes soucieux de publier un Album de gravures et de plans «contribuant depuis mil neuf cent quatorze à former le style français», mais encore ce qu'il appelle, dans une lettre à P. Souday en date

exercer de nombreux petits boulots et écrire de la poésie, une première quinzaine d'années, sans éclats. À noter tout de même la création d'une revue poétique en 1946, La Coquille (huit volumes seulement), et l'obtention du prix Apollinaire pour Jour, son premier recueil de poèmes, suivi d'À la poursuite d'Iris en 1948. Sur le conseil de Paul Valéry, il se détourne de la poésie pour se consacrer à la prose. Les rapports conflictuels qu'il a eus avec sa mère pendant son enfance lui inspirent le roman

une tonalité, une musicalité quand on le lit. De l'aède Homère, au poétique Pierre de Ronsard, avec le cornélien Pierre Racine, au politique Derjavine, à l'immense Hugo ou bien le maître Charles Baudelaire, voilà les figures ayant façonnées la poésie et tel est l'héritage légué par ces personnages. Je ne peux rester imperméable face à cette mélodie, que poètes de tout temps ont essayé de s'approprier. Et comme l'eût dit Paul Valéry ; « le poème, cette hésitation prolongée entre le son et le sens »

Collot écrit: “L’écriture poétique, loin de se replier sur elle-même, vise constamment un dehors”. Expliquez et discutez cette affirmation en fondant votre réflexion sur des exemples précis et d’époques diverses. Note: 15/20 Commentaires du prof: “On ne peut qu’apprécier un tel devoir qui, dans une belle écriture, une composition juste, illustre avec pertinence le sujet proposé, et témoigne d’une culture très bien dominée. Quelques remarques: “L’écriture poétique” est plus restreinte que

choses sur le mode du grand refus. Recréation du monde factuel. Le salon, le théâtre, le cinéma … son-là pour crée et évoquer une autre dimension de la réalité. On considère que l’art à un pouvoir de négation. PAUL VALERIE insistait sur l’engagement de la poésie dans le langage poétique et sévère ne parle que de chose absente, il hante le monde du comportement et du discourt établit comme son projet le plus tabou. L’art de la poésie parle de ce qui est tangible, audible, visible mais également

d'un texte. Pas d'autorité de l'auteur. Quoi qu'il ait voulu dire, il a écrit ce qu'il a écrit. Une fois publié, un texte est comme un appareil dont chacun peut se servir à sa guise et selon ses moyens.»   Comment comprenez-vous cette opinion de Paul Valéry ? 7  A La Rochefoucauld qui déclare  : «Il est plus nécessaire d'étudier les hommes que les livres», George Sand semble répliquer lorsque, dans son romanMauprat, elle recommande comme moyen de formation «l'étude des lettres, qui n'est autre que

Atelier de théorie littéraire : Les relations transtextuelles selon G. Genette Extraits de G. Genette, Palimpsestes, Le Seuil, coll. « Poétique », 1982. • L'objet de la poétique : la transtextualité ou transcendance textuelle (= « tout ce qui met le texte en relation, manifeste ou secrète, avec d'autres textes »). • Les cinq types de relations transtextuelles : 1. L'intertextualité = « relation de coprésence entre deux ou plusieurs textes, c'est-à-dire éidétiquement et le plus souvent

pages blanches qui s’appellerait : Piero Manzoni , sa vie son œuvre. Il va mourir jeune, en 1963 à l’âge de 30ans d’un infarctus, dans son atelier à Milan. Nous allons donc voir, comment à travers une partie des ses œuvres, il met en scène son art ? Pour se faire nous verrons dans une première partie le parcours de l’artiste, puis La désacralisation de l’Art par Manzoni puis dans une troisième partie, le sens théâtral et magique des œuvres. I Le parcours de l’artiste a) De la mise à zéro

| | |— Châteaubriand,Mémoires d'Outre-tombe , 1er partie Livre 8 Chapitre 4 | | | |[Poétique] répétition de mesures sur plusieurs |« Quatre bœufs attelés, d'un pas tranquille et lent, | | | |vers, généralement par des tétramètres |Promenaient dans