Paul Verlaine Clair De Lune

voiture qu’ils affublent. Aucune exception à cette règle. Comme son nom ne l’indique peut-être pas sans équivoque, l’enjoliveur enlaidit. François Nourrissier, Autos Graphie, 1990 3. Le texte explicatif : Il cherche à informer et à rendre plus clair un sujet que le lecteur ou l’interlocuteur est censé ignorer. Il a une fonction pédagogique. Caractéristiques : le présent de l’indicatif ; des termes d’articulation du discours pour marquer les étapes de l’explication (d’abord, ensuite…). Exemple :

dire donc que Baudelaire était le père fondateur de la poésie moderne. La poésie baudelairienne est une musique des sentiments et de la liberté parce que l’artiste aux yeux de Baudelaire est au-delà. Le changement dans la poésie baudelairienne est clair car il est suffisant de lire les Fleurs du Mal pour toucher les diverses créations poétiques. Baudelaire a mélangé le classique et le moderne pour créer un nouveau genre littéraire. Autrement dit, Baudelaire a créé son propre style, sa vision littéraire

--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- ‘’Angus ou la lune vampire’’ Nouvelle de quatre pages Le narrateur se souvient d'Angus dont il est le seul à connaître les vrais yeux. Angus ne résistait pas à la lune et, pour lui échapper, venait se réfugier chez lui qui vit ainsi ses deux longs crocs. Et, quand la lune fut là, le narrateur s'offrit à lui mais Angus, qui eut du mal à résister, refusa . Au jour, une grosse araignée entra

reposant sur un adjectif ou sur une qualité comme dans : Le jour entre par la fenêtre Clair comme la lune (Denise D.Jallais, Les couleurs de la mer.) La comparaison peut aussi parfois porter sur une qualité, elle permet alors de mettre en relief une caractéristique des deux réalités comparées sans chercher à les rapprocher sémantiquement. Dans « La Terre est bleue comme une orange », célèbre comparaison de Paul Éluard, aucun sème en commun ne permet de comparer la Terre et la couleur orange du

lisait alors Michelet, Baudelaire, Verlaine, Leconte de Lisle, Henri de Régnier, Loti, Barrès, Tolstoï, Dostoïevski et Nietzsche qui le fit rompre avec la religion et se donner une apparence de dandy ténébreux. Il suivit des cours au musée Guimet et à l'École du Louvre, rencontra des peintres : Ensor, Léger, Derain, Picasso, Chagall, Dufy, Gromaire, Vlaminck, Ensor, et des écrivains : Max Jacob, Paul Morand, André Salmon, François Mauriac, Marcel Arland, Paul Éluard, Blaise Cendrars, Raymond Radiguet

courtisanes fanées, de visages rassasiés, cette agonie de la joie, était une vivante image de sa vie. Raphaël regarda trois fois le talisman qui se jouait à l’aise dans les impitoyables lignes imprimées sur la serviette : il essayait de douter, mais un clair pressentiment anéantissait son incrédulité. Le monde lui appartenait, il pouvait tout et ne voulait plus rien. Comme un voyageur au milieu du désert, il avait un peu d’eau pour la soif et devait mesurer sa vie au nombre des gorgées. Il voyait ce que

Am7 B7 Dans la chaleur épaisse Em Des langueurs océanes 2/Dans le port d'Amsterdam Em Y a des marins qui mangent Bm Sur des nappes trop blanches C Des poissons ruisselants B7 Ils vous montrent des dents Em A croquer la fortune Bm A décroisser la lune C B7 A bouffer des haubans Em Et ça sent la morue G Jusque dans le cœur des frites D7 Que leurs grosses mains invitent B7 A revenir en plus cuit B7 Puis se lèvent en riant C Dans un bruit de tempête Bm Referment leur braguette Am7 B7 Et sortent en

____________________________________________________________ ______43 Charles Baudelaire ____________________________________________________________ _____43 Arthur Rimbaud ____________________________________________________________ _______43 Paul Verlaine ____________________________________________________________ _________44 Niet zsche ____________________________________________________________ ____________44 Lautréamont ____________________________________________________________ __________45

troupeau plaintif des paysages Les cyprès projetaient sous la lune leurs ombres J'écoutais cette nuit au déclin de l'été Un oiseau langoureux et toujours irrité Et le bruit éternel d'un fleuve large et sombre Mais tandis que mourants roulaient vers l'estuaire Tous les regards tous les regards de tous les yeux Les bords étaient déserts herbus silencieux Et la montagne à l'autre rive était très claire Alors sans bruit sans qu'on pût voir rien de vivant Contre

troupeau plaintif des paysages Les cyprès projetaient sous la lune leurs ombres J'écoutais cette nuit au déclin de l'été Un oiseau langoureux et toujours irrité Et le bruit éternel d'un fleuve large et sombre Mais tandis que mourants roulaient vers l'estuaire Tous les regards tous les regards de tous les yeux Les bords étaient déserts herbus silencieux Et la montagne à l'autre rive était très claire Alors sans bruit sans qu'on pût voir rien de vivant Contre