PCR quantitative

La neutralité de la monnaie affirmée Introduction Le retour de l’inflation au début des années 1970 a exhumé une théorie que Keynes avait contribué à discréditer suite à la crise des années 1930 : la théorie quantitative. Avec une inflation à deux chiffres, la monnaie était de nouveau regardée sous l’angle de la quantité. Il reviendra à Milton Friedman et au courant monétariste de réhabiliter cette théorie vieille de plus de deux siècles, une théorie qui met la monnaie en quarantaine de l’économie

acheter pour un niveau de prix donné. Nous utiliserons la théorie de la monnaie pour étudier la demande agrégée. 1) équation quantitative en tant que demande agrégée Dans ce chapitre nous supposerons que la demande agrégée découle de la théorie quantitative de la monnaie : Equation quantitative de la monnaie : offre de la monnaie : vitesse de circulation de la monnaie( considéré comme constant) : niveau des prix

Problématique En cette période de récession est-il plus judicieux d’utiliser la politique monétaire et d’évincer la politique budgétaire ? Question : comment la monnaie s’intègre-t-elle au système économique => Théorie quantitative de la monnaie I. La théorie quantitative de la monnaie intégration au système économique MV = PT M = masse monétaire V = vitesse de circulation de la monnaie P = Niveau général des prix T = volume de transaction 1) Les versions classiques de a TQ CANTILLION

des liquidités en attente de cours favorables des mêmes titres. C – Approche monétariste :  Pour les monétaristes, il faut passer d’une vision de neutralité à une vision en terme de neutralisation de la monnaie. En effet, si pour la théorie quantitative de la monnaie, la variation du stock de monnaie n’agit que sur le niveau général des prix. Pour M. Friedman, elle a une incidence forte et immédiate à court terme sur la production, le revenu et l’emploi, mais il s’agit d’effet éphémère et perturbateur

comprendre le fonctionnement des marchés. « Insignifiante » pour John Start Mill, simple « voile » flottant pour dessus l’économie réelle pour Jean-Baptiste Say, la monnaie est vue par les tenants de l’école classique et par ceux de la théorie quantitative de la monnaie comme un bien économique comme un autre, dont la valeur est déterminée par le pouvoir d’achat et sur lequel les agents ajustent leurs décisions en fonction de leurs attentes : la monnaie a alors un caractère instrumental mais pas

existe diverses théories et explications à la hausse des prix. 1) INFLATION PAR LA DEMANDE Cette explication est celle des économistes de l’école Keynésienne L’inflation est due à un excès de demande par rapport à l’offre. Afin de rétablir l’équilibre les prix augmentent (Cela augmente le nombre d’offreurs et diminue le n de demandeurs) 2) INFLATION PAR LES COÛTS Le prix d’un produit peut augmenter parce que son coût de fabrication augmente ou parce que les produits qui le composent augmentent

sans jamais utiliser le terme de mercantilisme (ex: " Histoire de la pensée économique " de Schumpeter). L'expression mercantilisme vient d'un ouvrage du Marquis de Mirabeau en 1763. I. Les idées des mercantilistes (cœur du chapitre) : théorie quantitative de la monnaie Le mercantilisme est sans doute davantage un ensemble de pratiques et de politiques économiques plutôt qu'une théorie. Ce courant a été définit par ses détracteurs a postériori comme Adam Smith où l'on accentue l'aspect commercial

une loi selon laquelle le pouvoir d’achat des monnaies est inversement proportionnel à la quantité d’or et d’argent existant dans un pays. Cette loi, reformulée par RICARDO (1817) puis par Irving FISHER (1911), est connue sous le nom de théorie quantitative de la monnaie : M.V = P.Y M : masse monétaire V :  vitesse de circulation de la monnaie P : niveau général des prix Y : niveau de la production   3 - Les variantes nationales Le mercantilisme espagnol (bullionisme / de bullion : lingot)

l’évidence par leurs niveau de revenu, mais aussi par leurs comportements face aux risques, et par d’autres variables comme la qualité des moyens de paiements à leurs dispositions. A)La relation entre richesse et masse monnaie : La théorie quantitative de la monnaie (TQM) : Irving Fisher 1928, elle a été réhabilitée dans les années 50 et 60 par les économistes monétaristes : Milton Friedman, école de Chicago. Au niveau d’un pays, la quantité de monnaie utilisée sur une année dépend de l’intensité

phénomène inflationniste, mais c'est aux classiques que revient la paternité de la théorie quantitative de la monnaie. Ricardo commence par poser la valeur réelle d'un bien qui est fonction de la quantité de travail nécessaire à sa production : c'est le coût relatif. Si la quantité de monnaie en circulation détermine le niveau général des prix, le prix relatif ne se trouve pas modifié. La théorie quantitative de la monnaie est reprise par Fisher et Pigou et s'énonce sous la forme : MV = PT (avec