PCR quantitative

les 12 étapes .......................................... 6 Deuxième partie : Partie expérimentale I. Méthodologie de travail ........................................................................................................ 7 1. Étude quantitative .............................................................. ………………………7 2. Étude qualitative ............................................................................................ ……8 II. Programme pré requis (PRP) : Étude de terrain

Venter se lance dans l’exploration du génome humain et applique les premières techniques permettant de lire l’ADN, qu’il décode par séquences. En 1986 : Kary Mullis en utilisant une enzyme de la bactérie Thermus aquaticus invente la technologie de PCR (Polymerase Chain Réaction). Cette technique est devenue l’outil de base de la biologie moléculaire. En 1991 : création du Généthon à Evry, Fin 1992 : Daniel Cohen et Jean Weissenbach (Généthon) publient une première carte du génome humain complétée

des acides nucléiques dans des cellules cibles afin d’obtenir un effet thérapeutique. Le concept de départ de la thérapie génique était le transfert « additif » d’une copie saine d’un gène endogène afin de restaurer l’expression qualitative ou quantitative d’une protéine déficiente dans le cadre de maladies monogéniques. Mais ces approches se sont diversifiées et concernent également le transfert de gènes codant des protéines thérapeutiques dont le but est de vacciner, ou encore de détruire sélectivement

la résurgence des souches hospitalières (K. pneumoniae, Enterobacter spp.). L’admission en provenant d’un secteur de SSR-SLD et d’établissement hébergeant des personnes âgées dépendantes (EHPAD) est un facteur de risque établi. Des méthodes rapides (PCR), permettent d’obtenir une réponse dans les heures qui suivent le dépistage. L’intérêt d’obtenir un résultat en quelques heures n’a pas été démontré pour le contrôle de la transmission croisée par rapport aux milieux chromogènes (SARM, EBLSE, ERG…)

maladie). 58 Démarche expérimentale Dans le chapitre 3, nous avons montré que l’activation de l’IDO est associée aux symptômes de type dépressif induits par le BCG. De plus, les profils d’expression cérébrale de l’IFNγ et du TNFα mesurés par PCR en temps réel et exposés dans la figure complémentaire, semblent compatibles avec un rôle de ces cytokines dans l’activation centrale de l’IDO par le BCG. Comme il a été reporté que l’IFNγ et le TNFα sont les cytokines principales mises en jeu lors

oenos from non-acidophilic species of Leuconostoc, and the identification of five strains from the American Type Culture Collection. Am J. Enol. Vitic. 31:154-157. 36. Gilis, J.-F., M.-L. Delia-Dupuy, and P. Strehaino. 1996. Étude qualitative et quantitative des interactions entre Saccharomyces cerevisiae et Leuconostoc oenos. J. Int. Sci. Vigne Vin. 3:151-157. OCTOBER 2005 37. Gindreau, E., E. Walling, and A. Lonvaud-Funel. 2001. Direct polymerase chain reaction detection of ropy Pediococcus damnosus

nature physicochimique du génome bactérien. Le %GC ou le coefficient de Chargaff L’analyse et séquençage des ARN ribosomaux L'hybridation ADN / ADN 2.1. Le GC% ou le coefficient de Chargaff La technique de Chargaff est basée sur l'évaluation quantitative des deux groupes de bases azotées (GC et AT) en spectrophotométrie à UV (260 nm). Le coefficient GC% = nombre de couples (guanine+cytosine) pour 100 couples de bases dans l'ADN de la bactérie étudiée. Chez les bactéries, le GC% varie de 30 à

INTRODUCTION – LA GENETIQUE HOMEOTIQUE considérée et la limite d’expression mésodermique est souvent décalée postérieurement par rapport à la limite ectodermique (revu par Favier et al, 1997) (figure 18). On remarque également des variations quantitatives dans l’expression génique en fonction du gène, du stade embryonnaire et de la localisation considérée. Bien que plus tardifs, le bourgeonnement et la morphogenèse des membres s’accompagnent également d’une expression transitoire de gènes Hox appartenant

nécessaire de détecter ces derniers. Mises à part la détection visuelle et la détection Gillet Steve, D.Sc. -7- La spectrométrie. photographique, quasi abandonnées à cause de l’aspect subjectif de l’une et de l’incompatibilité pour l’analyse quantitative de routine de l’autre, il existe différents types de détecteurs qui font appel à la conversion de l’énergie radiante en énergie électrique, ce sont les détecteurs électriques. Nous verrons plus en détail le fonctionnement de quelques uns de

de diamant [2]. Depuis ce temps-là, l’utilisation de la diffraction des rayons X s’est développée, elle est considérée maintenant comme une de la plus puissante et la plus souple technique analytique pour l’identification et la détermination quantitative des phases cristallines des solides et des échantillons en poudre [2]. 4 Les rayons X sont des ondes électromagnétiques (OEM), de même nature que les ondes radio, la lumière ou les micro-ondes. Ce sont des perturbations des champs électriques