Pcs Chômage

principales (PCS) qui sont : les ouvriers (un quart de la population active), les employés (un tiers de la population active), professions intermédiaires (30% de la population active ; cette proportion observée à Auxerre est toutefois supérieure à la moyenne nationale), les cadres, ingénieurs (12 à 15% de la population active) et les artisans, commerçants, professions libérales, patrons et agriculteurs (5% environ de la population active). Les professions et catégories socioprofessionnelles (PCS) permettent

types d’inégalités, niveaux différents 1. Les inégalités les plus apparentes : les inégalités économiques  -Inégalités de revenu : écarts de salaires -> PCS / sexe et âge -Inégalités liée au patrimoine : (avoirs financier :titres/ non fiancier immo. Terrains). Moins facile à évaluer -Inégalité face à l’emploi : Selon la PCS d’appartenance, le sexe l’age et le niveau de qualification. 2. Le constat des inégalités en France : Les inégalités se réduisent depuis 1970 entre les sexes

inégalités culturelles. Celles-ci se caractérisent par différentes formes. Dans ces inégalités culturelles il existe les inégalités liées à l’origine et à l’appartenance ethnique et raciale. Par exemple le taux de chômage des immigrés (hors Union Européenne) est deux fois plus élevé que le taux de chômage moyen soit 20.2% pour les immigrés et 9.2% pour l’ensemble de la population, ce qui illustre clairement des inégalités sociales. Les inégalités culturelles s’expliquent aussi par la place qu’occupent les

d’affaiblissement des syndicats. Le poids numérique, social et politique des ouvriers est en déclin depuis la fin des années 70. La tertiairisation des emplois, la désindustrialisation et la disparition de « bastions » ouvriers ont contribué au gonflement d’autres PCS et à la perte d’importance de la classe ouvrière devenue elle-même plus hétérogène. Les transformations du mode de vie, l`avènement d’une consommation et d’une culture de masse, l’affaiblissement des organisations ouvrières ont contribué à l’effacement

égalitaire qui caractérise les sociétés démocratiques, celles-ci restent marquées par d’importantes inégalités économiques et sociales, malgré leur nette diminution depuis la fin de la seconde guerre mondiale. Mais le début des années 80, avec le chômage de masse et le développement des emplois précaires a favorisé le renouvellement des inégalités. Une inégalité doit être vue comme une différence d’accès à des ressources sociales rares valorisées dans une société. Elle peut alors prendre diverses

résultent de recherche économiques sérieuses. La disposition du carré est donc réfléchie. Il est une représentation graphique des quatre grands objectifs de la politique économique conjoncturelle d'un pays que sont : - la croissance, - le taux de chômage - l'équilibre extérieur de la balance commerciale - la stabilité des prix C'est en rejoignant les quatre points, qu'on obtient un quadrilatère, Nicolas Kaldor donnera pour objectif aux politiques eco conjoncturelles d'élargir au maximum la surface

crise de 1929. Ainsi, la France voit le rôle de l’Etat prendre de l’ampleur dans le cadre de la mise en place d’un Etat-Providence. Elle met alors en place un système de prestation sociale qui couvre les risques de la vie qui sont la maladie, le chômage, la famille et la vieillesse (et depuis peu, avec le gouvernement Sarkozy, il y a une volonté d’ajouter un cinquième risque qui est la dépendance) qui vont considérablement atténuer les pertes de revenu liés aux aléas de la vie. Chaque ménage cotise

l’intégration dans l’emploi. De nos jours, la forte progression des emplois qualifiés et la montée du chômage ont rendu indispensable l’obtention d’un diplôme. L’école a donc pour tâche de faciliter l’insertion professionnelle qui est fondamentale pour être intégré dans la société car elle va déterminer la position sociale que l’on occupe dans la société. En 1975, la probabilité de connaître le chômage après la sortie de l’Ecole était 3 fois plus élevé pour les non diplômés que pour les diplômés du supérieur

supprime des emplois + pollue. Effets positifs : augmentation de la productivité (nouvelles machines, procédés de production), de la consommation (nvx produits), des revenus (profits, salaires, impôts), des emplois (long terme) Effets négatifs : chômage (court terme), pollution Croissance intensive : produits toujours plus par unité de travail et de capital. La variation du PIB est plus rapide que la variation de la quantité de facteurs capital et travail utilisés b) Définition + mesure

n’étaient pas comptabilisées. Aujourd’hui, une femme sur deux est dans la catégorie « employés » (infirmière, aide à domicile… dans la prolongation du travail domestique). Difficile émancipation économique et sociale des femmes. b. Emploi, chômage, inactivité. L’emploi : Un actif a un travail ou est la recherche active d’un travail, donc un chômeur est un actif. Population active occupée : personnes exerçant une activité rémunérée. Population active inoccupée : personnes qui n’occupent