Peintres Humaniste

manière négative en l’associant directement à la vulgarité. Il décrit par la modernité un domaine qui échappe aux règles esthétiques et il oppose la Nature et la Modernité. Baudelaire, lui, se fait le théoricien du concept à travers le Peintre de la vie Moderne. Dans cette partie des Curiosité esthétiques, Baudelaire rend les axes du temps dynamiques et la temporalité n’apparaît plus comme figée. Baudelaire dans un cadre purement esthétique et le détache de la notion de progrès. Si pour

I De ce terrible paysage, Tel que jamais mortel n'en vit, Ce matin encore l'image, Vague et lointaine, me ravit. Le sommeil est plein de miracles! Par un caprice singulier J'avais banni de ces spectacles Le végétal irrégulier, Et, peintre fier de mon génie, Je savourais dans mon tableau L'enivrante monotonie Du métal, du marbre et de l'eau. Babel d'escaliers et d'arcades, C'était un palais infini Plein de bassins et de cascades Tombant dans l'or mat ou bruni; Et des cataractes

: 1828 remariage de sa mère 1841 île Bourbon (= île de La Réunion) retour 1842 vie de bohème – dandy critique d'art 1857 condamnation des Fleurs du Mal Bibliographie : Critique d'art : Salon de 1845 et Salon de 1846 + L'Art romantique (1852) + Le Peintre de la vie moderne (1863) ... Poésie : Le Spleen de Paris ou Les Petits poèmes en prose (posth. 1869) Journal intime : Mon cœurs mis à nu (1864) Traduction des Histoires extraordinaires d'E. POE Mouvement / Ecole/ tendance : héritier du romantisme

aussi traducteur d’Edgar Poe, est l’un des plus grands critiques d’art français de son siècle. Il tient de son père une véritable passion pour la peinture, et publie en 1845 un premier compte-rendu du Salon. Le salon de 1846, celui de 1859 et Le peintre de la vie moderne (1963) sont ses œuvres critiques les plus importantes. Publiées dans de petites revues, elles sont peu lues de son vivant. Mais Baudelaire y construite une sorte d’esthétique qui nourrit son œuvre poétique. Des années 40 aux années

les petits poèmes en prose que j’ai mentionnés et auquel vous rajouterez l’éclairate préface du recueil, il faut connaître l’article sur Les Misérables (OC, II, 217-224), où Baudelaire développe une réflexion capitale sur la charité, et relire Le Peintre de la vie moderne, en particulier le chapitre IV, pour voir comment ce poème s’inscrit dans la poétique et l’esthétique de la modernité qui s’invente chez Baudelaire à la fin des années 1850.] Publié en septembre 1859 en préoriginale dans la Revue

enchante le monde est suscite une nouvelle vision du monde bien superieure a la simple evocation du reel. Dans le Poeme lu au Mariage d'Andre Salmon, le poete affirme "Tous les mots que j'avais a dire se sont changes en etoiles" et Baudelaire dans Le peintre de la vie moderne definit une modernite qui pourrait definir celle d'Apollinaire : "Ainsi il va, il court, il cherche. Que cherche-t-il? A coup sur, cet homme, tel que je l'ai depeint, ce solitaire doue d'une imagination active, toujours voyagent

tel qu’on le perçoit nous-mêmes) avec un détachement. Ce n’est pas nier la vérité, c’est la présenter d’une autre manière. Le peintre ne représente plus uniquement la vérité telle qu’elle est. Cela signifie que la valeur a priori et absolue de la nature, considérée comme le model de toute entreprise artistique, cède la place à la représentation mentale de ce que le peintre voudrait qu’elle soit. * Stéphane Mallarmé : « Peindre non la chose mais l’effet qu’elle produit. » Remise en cause du cadre

f f f f f f f f f f fe f e f e fe f weverini est un peintre italien né en 1883 à Cortone, en Italie, et mort en 1996 à Paris, faisant partie du mouvement artistique du futurisme. Ses œuvresles plus connues sont la « Synthèse plastique de l’idée de guerre », et le « Train blindé en action », qu’il a réalisé en 1915. Gino Severini débute comme élève de Giacomo Balla, peintre etsculpteur italien, puis s’installe à Paris en 1906. Il s’intéresse à la chronographie

des voyages en Europe, elle est présentement conservée à la Gemäl de galerie Alte Meister de Dresde (Allemagne). « Cette formidable représentation de la Vierge et de l'Enfant Jésus a fait de Raphaël, à l'égal de Michel-Ange et de Vinci, l'un des peintres italiens les plus célèbres de la Renaissance. Dans l'ensemble de son œuvre, les formes s'assemblent et donnent des compositions claires, symétriques, d'une grande force, comme ici avec la Madone de Saint-Sixte. (1512 – 1513) »

« L’Albatros » ou encore « L’Invitation au voyage ». Véritable maître, il traduisit notamment les œuvres de Poe (1809-1849) et les fit connaître au grand public. Il considère le beau comme l’alliance du beau et du passager et il l’explique dans Le Peintre de la vie moderne (1863). Véritable orchestre des sensations (synesthésies), ses Petits poèmes en prose (1869) ainsi que les autres recueils cités précédemment demeurent parmi les œuvres les plus unanimement appréciées de notre littérature.