Peinture non figurative

est curviligne plutôt que rectiligne, décorative plutôt que structurale et romantique plutôt que classique dans son exaltation du mystique du spontané et de l’irrationnel, la plaçant dans la tradition non géométrique de Gauguin et de l’Expressionnisme. ». Le courant principal de l’art moderne étant non figuratif et ne prêtant que peu d’attention à la nature, les historiens d’art considèrent en un sens comme une anomalie l’inspiration organique de certains artistes d’avant garde comme les sculpteurs

SOMMAIRE 1. Introduction 2. La France de la Belle Époque 3. La peinture de la Belle Époque 4. Conclusion 5. Sources utilisées INTRODUCTION Les années entre 1871 et 1914 représentent une des époques les plus fascinantes sous l'aspect culturel dans l'histoire européenne. Tant que nous en savons, il n'y a eu d'autre époque pendant laquelle tant d'artistes et de savants étaient des contemporains. Les arts et les sciences se développaient avec une vitesse

et sera pour les grecs un dieu très important et très puissant. La mer est principalement le domaine de Poséidon. C’est lui qui, fermant à Ulysse le chemin du retour, en fait un "prisonnier" de la mer. Seule une décision des dieux unanimes pourra, non pas fléchir sa colère, mais finir par avoir plus de force que sa propre volonté. Il est présenté encore comme "le grand Poséidon qui met en branle la terre et la mer sans moissons, celui à qui les dieux ont attribué le double privilège d’être dompteur

guernica-Picasso Présentation de l’œuvre Titre de l’œuvre : « Guernica » Genre de L’œuvre : Peinture historique et engagée Artiste : Pablo Picasso 1881 – 1973 Date de création : 1937 Catégorie (domaine / thématiques possibles) : Arts du visuel Arts, Etats et pouvoir Arts, techniques, expressions Arts, ruptures, continuités 0ù trouver l’œuvre : Guernica a été exposée pour la 1ère fois dans le pavillon espagnol de l’Exposition Universelle de Paris en juillet 1937. Longtemps

de dire que l’homme cherche à utiliser non pas pour se libérer mais pour s’approprier la nature et de s’y cantonner. Nous verrons ensuite si finalement son rôle ne va pas au-delà, si la dimension que nous lui donnons n’est pas finalement dérisoire comparée à sa force réelle, grâce à un dépassement de la nature. Dans une seconde partie nous tenterons d’expliquer que l’art n’a pas seulement une visée d’affranchissement mais aussi une dimension esthétique, non seulement pour l’artiste qui peindrait

XXème siècle des genres nouveaux voient le jour, et le titre commence à acquérir une certaine importance dans l’œuvre. Ainsi,  la part de figuration se fait de moins en moins forte et se dirige vers l’abstraction totale. Dans les arts-plastiques, la peinture est généralement descriptif mais ont peut espérer qu'avec l'art abstrait, il perd de l'importance mais ce ne fut pas le cas. Sans le titre, l’observateur se perd et peut ne plus comprendre ce qu’il voit, de cette façon, le titre guide celui-ci dans

de l'homme. « Tu ne feras pas d'image taillées » → recommandation biblique. L'Eglise condamne le portrait par crainte d'idolâtrie. Théodose et ses fils Honorius et Arcadius → destruction des statues antiques. Légende autour du portrait du Christ non-fait de main d'homme : le Saint-Suaire Le Mandylion (Image d'Edesse) : le roi d'Edesse Abgar V Ukomo demande au Christ, au cours d'une conversation épistolaire, prie Jésus de venir le guérir d'une maladie réputée incurable. Jésus lui répond qu'il

théoricien de l’art. Considéré comme l’un des artistes les plus importants du XXe siècle aux côtés notamment de Picasso et de Matisse, il est un des fondateurs de l'art abstrait : il est généralement considéré comme étant l’auteur de la première œuvre non figurative de l’histoire de l’art moderne, une aquarelle de 1910 qui sera dite « abstraite »2. Certains historiens ou critiques d'art ont soupçonné Kandinsky d'avoir antidaté cette aquarelle pour s'assurer la paternité de l'abstraction sous prétexte qu'elle

ces trois termes se subdivise à son tour selon les trois catégories. A partir de là, et en tenant compte de la hiérarchie des catégories, on peut répertorier dix modes de fonctionnement de la signification. Ce texte peut être reproduit à des fins non commerciales, en autant que la référence complète est donnée : Nicole Everaert-Desmedt (2011), « La sémiotique de Peirce », dans Louis Hébert (dir.), Signo [en ligne], Rimouski (Québec), http://www.signosemio.com/peirce/semiotique.asp. 2. THÉORIE

manque de », « privation de », « simple trace marquée par la déception ou le regret »[3] , comme s’il suffisait d’énumérer les critères du laid pour le renvoyer au non-être ou au domaine négatif du beau[4]. Pourtant, si pour Passeron « il n’est pas sûr, que la chose laide soit seulement l’échec d’une chose de beauté, ni le laid un non-être du beau »[5], que pour Adorno « le laid doit constituer ou pouvoir constituer un moment de l’art »[6], alors n’est-ce pas en envisageant une possible autonomie