Pensées

Je pense à toi tout le temps. Je pense à toi le matin, en marchant dans le froid. Je fais exprès de marcher lentement pour pouvoir penser à toi plus longtemps. Je pense à toi le soir, quand tu me manques au milieu des fêtes, où je me saoule pour penser à autre chose qu’à toi, avec l’effet contraire. Je pense à toi quand je te vois et aussi quand je ne te vois pas. J’aimerais tant faire autre chose que penser à toi mais je n’y arrive pas. Si tu connais un truc pour t’oublier, fais le moi savoir

est agréable, nous regrettons de le voir échapper. Nous tâchons de le soutenir par l'avenir, et pensons à disposer les choses qui ne sont pas en notre puissance, pour un temps où nous n'avons aucune assurance d'arriver. Que chacun examine ses pensées, il les trouvera toutes occupées au passé et à l'avenir. Nous ne pensons point au présent ; et, nous y pensons, ce n'est que pour en prendre la lumière pour disposer de l'avenir. Le présent n'est jamais notre fin : le passé et le présent sont nos

Pensées, Section V, n°323, Qu'est-ce que le Moi ? (Pascal) Nous sommes ici face à un texte de Blaise PASCAL (1623 - 1662), Section V n°323 des Pensées. Il semble que ce dernier ne soit autre qu’une réflexion portant sur la question « qu’est-ce que le moi ? » mais aussi « peut-on aimer une personne », de façon liée et logique. Pascal procède par examen successif d'hypothèses qu'il élimine. Il s'agit d'une approche négative de la question. La réflexion porte essentiellement sur des exemples et

à d’autres endroits des Pensées. Vous trouverez souvent dans vos notes le lien transversal. Ainsi, II, 16, 17, 18 trouvent leur explication dans d’autres fragments, ce qui est à nouveau la preuve du travail de l’écrivain qui cherche des cas pratiques pour étayer sa théorie. On remarque cependant que ces morceaux souvent de simples phrases nominales sont des exemples. En outre, les interrogations nombreuses qui se font échos dans l’œuvre révèlent le cheminement d’une pensée en quête de réponses qui

le voit, j'ai mal, qu'il fait toujours battre mon coeur comme au premier jours.Que malgré tout je l'ai aimé, je l'aime et je l'aimerais... Cette fille est belle parce qu'elle se fiche de savoir si ce qu'elle porte plaît ou non, parce qu'elle ne pense pas si ce qu'elle dit est intéressant, parce qu'elle n'essaie pas d'être quelqu'un d'autre quand son regard croise celui des autres. Cette fille est belle car quand elle se regarde dans le miroir en se préparant le matin elle se dit : "Je suis fière

LES PENSEES, Pascal. Etude du texte Liasse II. Vanité = Fragments 11 à 48. La dénonciation des apparences Vanité du rire et des apparences. Antithèse : ne fait pas rire >< font rire. Répétition de la racine « semble » D’après St Thomas, il faut préférer les riches aux pauvres.  Les vrais chrétiens respectent les folies (les conventions sociales) par respect pour la volonté de Dieu. Ex de la folie : la préférence des riches s’expliquent par le respect

.   La pensée, la conscience et l’inconscient            La psychanalyse freudienne a fini par imposer l’idée que chaque être humain porte en lui un double obscur, une sorte de réplique vitale du sujet conscient. A quoi bon chercher un équilibre de l’intériorité ? Le terrain est occupé par une entité trouble, quasi-animale, au surcroît dotée de pensées et de désirs analogues à la pensée et aux désirs du mental conscient.  Il est assez commun aujourd’hui de se ranger  à l’opinion selon laquelle la

t’obliger à ne dépenser que ce que tu auras et non ce que papa et maman te donneront par gentillesse ! Le fils (soufflant) : Mais c’est trop nul !! Et vous comptez me donner combien pour le mois ?? Le père : Je ne sais pas encore exactement , mais je pense que les 40 euros par mois seront les bienvenue ! Le fils : Quoiiiiiii ? Quarante euros par mois ? c’est tout ! Mais tu te rends pas compte tu veux m’affamer ? Si tu veux plus de moi faut me le dire parce que quarante euros c’est du suicide papa

J’y ai pensé et repensé. Que voulait elle dire au fond ? Que pouvait on en déduire ? Quelle analyse pouvait on en faire ? Ce jour ou nous montrons au paradis, que nous verrons ces images, que dirons nous à ce moment ? Nous reconnaîtrons nous même? Eprouvera-t-on des regrets? Etre impuissant devant une réalité passée. Ne plus pouvoir la changer, se rattraper. C'est une manière de comprendre l'autorité de la chose jugée. Le caractère irrévocable. Quand on relit des textes, des pensées. Que l'on

Commentaire de texte Hegel, La Raison dans l’Histoire Niveau Terminale ES Passage étudié : de « Lorsque nous considérons ce spectacle des passions et les conséquences… » à « de savoir pour qui, à quelle fin ces immenses sacrifices ont été accomplis ». INTRODUCTION L’Histoire est matière à débat, on le voit presque quotidiennement. La Mémoire de la Déportation, le rôle positif de la Colonisation ou encore, plus proche, les événements de Mai 1968, sont autant de sujets « sensibles » dont l’évocation