Penser Est Ce Dire Non

 Sujet : peut-on vivre heureux sans penser ? Les animaux semblent vivre heureux sans penser car ils ne se soucient de rien, ils paraissent n'avoir aucune contrainte, ils font ce qu'ils veulent. On pourrait donc dire qu'être heureux, c'est être libre et que pour être libres, les animaux n'ont pas besoin de penser. Le bonheur pour eux consiste à répondre à leurs besoins naturels. S'ils ont faim, ils mangent et ils sont fatigués, ils dorment. Donc ils n'ont pas besoin réfléchir pour ça. Mais devoir

surtout au tournant du XVIIe, les contestations des catégories aristotéliciennes deviennent systématiques, notamment bien sûr avec la nouvelle physique de Galilée. Ce que le christianisme a ajouté au monde grec, c'est l'idée d'intériorité, c'est-à-dire l'idée d'une âme qui est en même temps toute intérieure et toute entière dans l'infini de Dieu. Descartes est catholique et il connaît d’une part l’influence de Saint Augustin qui pense cette intériorité de l’âme comme présence à soi et à Dieu et

partir de notre réflexion sur l’inconnu. L’inconnu présuppose la connaissance. La première fois. Ma réflexion au brouillon : Qu’est ce que c’est ? Comment la comprendre ? ==>La première fois, c'est qqchose de nouveau, c'est-à-dire ce qui ne s'est pas encore répété, qui n'a pas déjà été vécu, pensé, expérimenté. ==>Valeur de cette première fois. Quelles connaissances nous permet-elle d’établir ? Suffit-il d’une fois ? ==>Théorie est vraie que si vérifiée à chaque fois ;

problématique de ce sujet (qui ne doit pas apparaître dans le devoir qu’intégrée à l’intro cf ci-dessous): D’un côté, nous savons bien que la liberté d’expression est un droit fondamental de l’être humain, qu’interdire à quelqu’un de s’exprimer, de dire son opinion, c’est en quelque sorte lui refuser le droit d’avoir un statut dans le monde, c’est quasiment lui refuser le droit d’être. Bref, nous savons qu’il est de notre devoir d’être tolérant. D’un autre côté pourtant, il y des opinions que nous

projet d’humanisation qui lui est propre. Etre cultivé c’est aussi comprendre et participer à cet ordre symbolique en inventant de nouvelles règles ou bien en composant avec celles déjà existantes, en jouant avec elles. Exemple : les musiciens ont non seulement toujours su jouer avec des règles existantes (Beethoven et Bach), ou du jazz. Kant définit le génie « comme le don ou le talent de donner de nouvelles règles à l’art ». (Invention du clair/obscur par De Vinci) Une règle n’entrave pas la liberté

ce sens qu'elle est mon avis qui n'est pas valable pour tout le monde. En reprenant son origine, on s'aperçoit que l'étymologie renvoie au terme doxa, qui lui-même renvoie à l'apparence. L'opinion serait alors un avis qui juge selon l'apparence et non sur la vérité ou l'essence d'une chose. Les philosophes l'ont ainsi souvent rejetée. En effet, l'interrogation sur la nature de la vérité et les moyens pour l'atteindre a conduit nombre de philosophes à distinguer entre les différents types de connaissance

en mouvement, rien n’est en mouvement. C'est-à-dire que pour penser ce devenir j’ai besoin de passer par une référence qui serait la stabilité. Mais cette stabilité, je ne peux le trouver dans le monde sensible (qui par définition est en devenir). Elle se trouve donc dans le monde intelligible (univers des concepts). Ce qui est stable ce n’est pas la pomme mais la définition ; le concept de pomme et cette définition j’en ai besoin pour pouvoir dire « la pomme a pourrie ». Il faut bien que je présuppose

I/ Penser peut surtout être un obstacle à l'expression ou à la réalisation de notre identité. → penser = réfléchir = prendre conscience de soi, peut empêcher, entraver la spontanéité, le « naturel », or être soi-même c'est bien être naturel. Penser = inhibition des actes → lorsque l'on pense, on anticipe, on prémédite, on calcule sa conduite, on joue un rôle, ce qui va à contre sens de la sincérité : hypocrisie, calcul. Réf: Sartre&Diderot → On peut tous observer que notre pensée

même domaine, celui de la fabrication ou du savoir-faire. Dans chacune de ces langues anciennes, il y avait un même terme pour parler du maçon, du médecin, du danseur, de l’architecte, du coiffeur, du peintre, du cuisinier, etc. Ce qui ne veut pas dire qu’il n’y avait aucune distinction entre ces différentes activités. Actuellement, le mot art désigne certaines productions que l’on nommait jusqu’au xviii° siècle, les beaux-arts qui comprenaient notamment, l’architecture, la sculpture, la peinture

primordiales de cette non utilisation de conscience ainsi que pour causes de la facilité par laquelle des hommes se laisse diriger et renoncent à utiliser cette faculté. Nous allons donc nous pencher en premier lieu sur la réflexion proposé par Kant pour qui les raisons qui poussent l'homme à ne pas utiliser sa conscience et par la suite l'analyse de la manière et des raisons par lesquelles des hommes arrivent à disposer et diriger d'autres hommes dont le choix et de ne pas penser par eux même.