Penser Sans Préjugés

bien du mal, d’en fournir des normes, de mesurer la valeur des actions, de juger de notre conduite et de celle des autres. Rousseau a pensé avec acuité le statut de la conscience morale. Il la définit comme un juge qui ne peut être trompé par les préjugés, qui demeure le même, inflexible, quelles que soient les vicissitudes de la vie. C’est un juge auquel on peut donc toujours se rapporter avec assurance. Rousseau précise que la conscience morale ne peut être le privilège de certains hommes tandis

ne consiste pas alors à tenter vaine- ment de s’affranchir de la nécessité : l’homme n’est pas « un Ŕ 12 R empire dans un empire ». Mais la liberté consiste au contraire à accomplir sa nature propre, qui est, pour l’homme, de com- prendre et de penser. « J’appelle libre un homme dans la me- sure où il vit sous la conduite de la raison, parce que, dans cette mesure même, il est déterminé à agir par des causes pouvant être connues adéquatement par sa seule nature, encore que ces causes le déterminent

2010-06-26T11:45:05.75HTML: <NOSCRIPT> CandideDans candide voltaire dénonce les maux de la société. C’est ironique que de penser que tout va bien dans le meilleur des mondes.Dans le chapitre 3, nous sommes en présence d’une description de la guerre. Regard de candide sur la guerre.(candide est naïf, il s’étonne de ce qu’il découvre à travers le monde ; il réalise que le monde va très mal)Il n’y a pas de loi pour des atrocité pareil.Il faut voir que derrière candide se cache voltaire qui

l’idée que malgré les différences entre les cultures, elles sont égales – dans le sens où elles répondent aux mêmes principes –, rationnelles et partagent de nombreux invariants. Ce qui nous amène à formuler le projet anthropologique, qui consiste à « penser le rapport de l’unité et de la diversité de l’humanité » (Kilani, Introduction à l’anthropologie, p. 21), à relier le particulier à l’universel ; le but anthropologique étant de trouver, à travers la comparaison, le fond commun, les structures semblables

en nous sans que nous les ayons vraiment mûries. Elles ne sont alors souvent dans ce cas que des préjugés non fondés (ainsi en admettant une opinion, on ne fait bien souvent que souscrire à une idée courante, sans la critiquer). Mais pourquoi faudrait-il admettre des opinions qui ne sont que préjugés ? D’un point de vue philosophique, on considère une opinion adoptée sans être analysée comme un préjugé parce qu’elle est supposée vraie avant (pré) d’avoir été jugée, c’est-à-dire évaluée de façon critique

un renoncement à penser par nous-mêmes. Or Kant nous explique que peu importe celui qui a écrit cette vérité mais que ce qui importe est ce qu’il a prononcé. Dois-je croire mon professeur de mathématiques lorsqu’il m’énonce un théorème ou dois-je faire l’effort de le reconstituer ? Si j’admets que le théorème de Pythagore est vrai juste parce que c’est Pythagore qui l’a émit et que c’est mon professeur qui me l’a enseigné, alors j’ai transformé un théorème en opinion, en préjugé. La seule façon d’admettre

a.Tout préjugé relève du mensonge à soi Tout préjugé relève de mensonge à soi . Ainsi on peut se mentir à soi-même de deux façon : soit en faussant des réalités douloureuses comme lorsqu’on prétend par exemple qu’un évènement que l’on sait devoir arrivé n’arrivera pas. Soit on fait passer pour certain quelque chose que l'on sait être subjectivement incertain, comme lorsque l'on se convînt d'avoir pour autrui un sentiment que l'on est pas sûr d `éprouver. Ainsi dans tous les cas préjuge-t-on, à

défauts de l'œuvre: elle est mal composée, souvent ennuyeuse, Rousseau se laisse emporter par son propos. Le principe fondateur de cette éducation est la pureté: l'enfant naît bon, vierge de toute idée fausse, il faut le garder de la contamination des préjugés. Rousseau est dans la vue de l'esprit, loin de toutes les conditions réelles  d'éducation. Emile sera élevé seul, sans enfant de son âge et sans famille. Le sujet de l'éducation tient Rousseau à cœur: il déplore les fantaisies et les aléas de sa

la pétanque, les poches, les cartes et les jeux vidéo. Le principal but visé par la réalisation de cet évènement était de créer un rapprochement entre les deux générations. Ces deux groupes d’âge, soit les ainés et les adolescents, subissent des préjugés quant à leur incapacité à accomplir certaines tâches et à avoir les mêmes droits sociaux. Ils se sentent du même coup rejetés par les adultes âgées de 20 à 55 ans. Je voulais ainsi créer un rapprochement entre ces personnes aux idées qui parfois

rapport aux pensées des philosophes des lumières. -Franchise/Liberté :«On m'a toujours appelé l'Ingénu, reprit le Huron[...], parce que je dis toujours naïvement ce que je pense, comme je fais tout ce que je veux »(l 104), Ingénu : libre des préjuger français. -Sociabilité :«Mademoiselle de Kerkabon étonnée et enchantée de voir un Huron qui lui avait fait des politesse »(l 72), il est capable de respecter des convenances.+ l 73 «douceur ». -Intellectuel/Moral : -Maîtrise de ses émotion «nihil