Pension Vauquer Rastignac

négociant, ouvrier vermicellier, a fait fortune sous la Révolution. il a pu vendre ses farines en décuplant leur prix. Resté veuf avec deux filles qu’il idolâtre, il dote chacune d’elles de la moitié de sa fortune. * Eugène de Rastignac : Fils du baron de Rastignac, venu de Charente pour étudier le droit à Paris. Il est tout d''abord seul, mais il se trouve des alliés : Mme de Beauséant et Mme de Nucingen. il aime cette dernière. Ambitieux mais humain, ne suit pas jusqu’au bout les conseils

Balzac n’est pas tout à fait romantique, nous pensons que son œuvre peut être qualifiée de réaliste ! Résumé Le roman débute à Paris, en automne 1819, dans une pension minable de la rue Neuve-Sainte Geneviève où se côtoient plusieurs résidents dont le jeune Eugène de Rastignac, Vautrin et le père Goriot. Rastignac est un jeune étudiant en droit, venant d’une famille provinciale modeste, qui s’émerveille devant la vie parisienne. Eugène préfère rejoindre la haute société à l’aide de

un amour incomparable pour ses deux filles tout en vivant à la pension Vauquer où il fera la rencontre d'un jeune homme ; Rastignac auquel il enseignera la société pour ne pas finir comme lui. L’extrait étudié est la première rencontre entre Rastignac et Vautrin. L'extrait se structure en 3 mouvements. Premièrement une présentation du présent puis un rappel du passé. Deuxièmement le thème de l'argent et de la génération de Rastignac est abordé. Troisièmement un nouveau chemin pour arriver à ses fins

2000, une véritable fresque d’une société hantée par le pouvoir de l’argent et livrée à des passions dévorantes. Il décède, en 1850, après la visite de Victor Hugo. Personnages et contexte spatio-temporel : Au début de l'année 1819, la maison Vauquer, près du Panthéon, à Paris, abrite plusieurs pensionnaires de caractères très différents : - Vautrin, un sombre individu plein de roueries, prêt à tout pour de l'argent, - le père Goriot, un vieillard quelque peu démuni, qui a fait fortune sous

celui-ci met en avant un protagoniste nommé Eugène de Rastignac. Ce jeune adulte cherche à entrer dans la « cour des grands », c’est-à-dire la bonne société, l’aristocratie. Cependant, cela ne se fait pas du jour au lendemain et surtout cela ne se fait pas sans risque et sans perte d’argent. Plusieurs éléments sont requis comme la richesse personnelle, la tenue vestimentaire, les relations, les études. A partir de cette base-là, Rastignac découvrira le vrai visage des aristocrates parisiens avec

Latin Angoulême Houmeau/Bas Angoulême Mais aussi les petits détails: Par exemple, la présence de vitres à guillotines dans La maison du chat qui Pelotte (il aurait pu se contenter de parler de vitres tout court), la façon de dire "tilleul" de Mme Vauquer... De plus il parle de choses qu'il connaît, comme du milieu de l'imprimerie (il a été imprimeur), il en parle avec précision (donner des exemples). De plus, observation des choses secrètes: "Il ne fallait pas un médiocre coup d'œil pour aller chercher

Cette histoire est datée en automne 1819 à Paris. Les personnages de ce roman sont très cosmopolites. Ils viennent de partout et de presque toutes les couches sociales, en plus que toutes les ambitions s’y expriment. Dans la pension de cette douteuse tenancière qu’est Madame Vauquer, se côtoient des pensionnaires et des habitués du quartier qui ne viennent y prendre que le dîner. L’étude des personnages dans Le Père Goriot doit permettre donc de comprendre non seulement l’œuvre mais aussi les mentalités

Saint-Estève, Carlos Herrera puis William Barker afin de se cacher des forces de l’ordre. En premier lieu, il s'installe à la pension de Mme.Vauquer et se présente en tant que commerçant alors qu'il venait de s'échapper du bagne de Toulon. Il aime les jeunes hommes ambitieux tant au niveau amical que sentimentalet fait tout pour les aider, c'est ainsi qu'il dira à Rastignac dans le père Goriot qu'il est prêt à tuer pour l'aider à faire sa fortune et devenir quelqu'un d'important. Il doit son surnom

elles. Pour elles, il a perdu tout l’argent qu’il avait accumulé pendant la Révolution et elles n’en sont même pas reconnaissantes. Son train de vie diminue peu à peu. Sa déclin social est marqué par la place qu’il occupe dans la Pension Vauquer : à son arrivée à la pension, en 1813, il logeait au 1er étage, puis est passé au 2e et se trouve désormais au 3e, où il vit dans une mansarde (= petite pièce aménagée dans les combles d'une maison). Il a 69 ans, et est atteint d’un amour paternel excessif

premère semaine de décembre, Rastignac reçu deux lettres, l'une de sa mère et l'autre de sa soeur aînée. A la fin de cette lettre, Eugène était en pleurs car il repensait au père Goriot et se dit qu'il voulait renoncer au monde et ne voulait pas prendre cet argent. Puis un peu plus tard, un facteur des Messageries royales se présenta dans la salle à manger et il demanda monsieur Eugène de Rastignac auquel il tendit deux sacs à prendre et un registre à émarger. Mais Rastignac fut sanglé comme d'un coup