Pension Vauquer Rastignac

ci-dessous). ☛Le roman de formation est alors le cadre privilégié du réalisme. En effet, un personnage jeune et naïf est confronté à la réalité du monde. Julien Sorel (Stendhal,Le Rouge et le Noir), Rubempré (Balzac, Les Illusions Perdues) échouent. Rastignac (Balzac, Le Père Goriot), Georges Duroy (Maupassant, Une Vie), eux, entrent dans la mêlée sans états d’âme. Le récit est le support d’une observation méthodique et objective de la société. ☛Le naturalisme pousse cette doctrine encore plus loin

équivalentes entre elles. Le ménage humain n'est pas systematiquement l'association de 2 especes semblables. 2Eme difference: La société humaine est faite de mouvment entre les especes, la place des uns et des autres n'est pas fixé definitivement (ex: Rastignac). L'homme et la vie: un systeme dynamique dans la société. 3Eme difference: la représentation matérielle qu'ils donnent de leur pensée. L'etre humain se caracterise par ses créations et dans les objets qui l'entourent. L'objet est un signe qui caractérise

seul côté») et parce qu'il donne à chacune de ses oeuvres une unité de coloris. Opposition sommaire:Balzac sait limiter les perspectives de son narrateur (ainsi le père Goriot est-il une énigme pour le lecteur aussi longtemps qu'il le demeure pour Rastignac). , tandis que Flaubert éclaire, jusque dans L'éducation sentimentale, des scènes qui échappent à son protagoniste. À défaut de croire qu'il existe un type unique de roman, André Gide a tenté de définir le «roman pur» directement dans son Journal

concurrence à l’état civil » L’idée de relier entre eux les récits en faisant revivre les protagonistes de chaque roman ou nouvelle ne vient à Balzac qu’en 1835 avec le Père Goriot où l’on voit reparaître pour la deuxième fois l’importantEugène de Rastignac déjà présenté en 1832 dansÉtude de femme et Autre étude de femme publié alors sous le titre Une conversation entre onze heures et minuit inséré dans les Contes bruns. Balzac se ravisait souvent dans ses classements, et ses titres. Il pouvait rattacher Le

charge par le narrateur. On recourt d'abord à la description du cadre, pour suggérer le milieu où vivent ses héros. Les détails en sont "connotateurs de mimésis" (G.Genette), devenant les signes d'une réalité profonde (v. La description de la pension Vauquer ou de la maison de Grandet). D'autres détails synthétisent la série paradigmatique des phénomènes similaires (la description de la vie de Saumur renvoie à l'aspect de toute ville de province). On remarque une approche par couches successives:

aussi doté d’une individualité propre, de passions, d’une vie intime et spirituelle (influence du romantisme), qui en fait un être idéaliste, de la volonté et de l’énergie, qui s’affronte avec le monde auquel il se heurte (voir le personnage de Rastignac). - 27 - Histoire de la littérature française XIXe-XXIe siècles • Le réalisme de Balzac est avant tout social : il décrit une société neuve, où la bourgeoisie s’impose en modifiant les codes et règles de vie (nouveaux types sociaux : notables

humaine rend compte de la société françaises dans ses moindres détails. L'observation remplace donc l'imagination et c'est pourquoi les descriptions balzaciennes sont toujours très fouillées ( Père Goriot où est très exactement représenté la pension Vauquer et ses pensionnaires ). Quand à Flaubert, il s'est appuyé sur ses propres recherches médicales pour décrire l'empoisonnement d'Emma dans Madame Bovary qui se suicide faute d'avoir vécu la vie romanesque dont elle rêvait. Le naturalisme rejoint

David Copperfield est un roman écrit par Charles Dickens nous décrivant un jeune garçon David Copperfield qui voit sa mère se remarier avec un homme méchant qu'il n'aime pas et qui ne l'aime pas.  Peu après la mort de sa mère alors qu'il est en pension sur ordre de son beau-père après qu'il lui ait mordu le doigt, il retourne vivre avec son beau-père et sa tante. Après il ira travailler à Londres. Il s'enfuira et se réfugiera chez une de ses tantes qui l'aimera. Quelques années plus tard, il se

jeune homme auquel il crut pouvoir parler à cœur ouvert. - Eh! bien, Rastignac, avez-vous vu Lucien? Il a fait peau neuve. - Si j'étais aussi joli garçon que lui, je serais encore plus riche que lui, répondit le jeune élégant d'un ton léger mais fin qui exprimait une raillerie attique. - Non, lui dit à l'oreille le gros masque en lui rendant mille railleries pour une par la manière dont il accentua le monosyllabe. Rastignac, qui n'était pas homme à dévorer une insulte, resta comme frappé de

et que Balzac a incité la jeune fille a prendre en main son destin et non à se le laisser dicter par la tradition, la volonté paternelle ou le régime communiste. La Petite Tailleuse part à la conquête de la grande ville en somme, comme le jeune Rastignac à la fin du Père Goriot : À nous deux Pékin ? Vers l’oral du Bac p. 162-163 Analyse des pages 147 à 148, lignes 1463 à 1508 ☛ Montrer comment ce texte mêle pathétique et humour grinçant © Éditions Belin/Éditions Gallimard, 2009. Analyse