Pensées 294

Voltaire dénonce-t-il dans son apologue la société de son temps ? Quelle fonction remplit cet incipit ? Candide, un héros paradoxal ambigu : Le héros. -Il donne son nom à l'oeuvre -C'est le 1er décrit -le seul dont on connait les pensées Un personnage de conte de fée ? -Univers du conte : formule d'ouverture, nom du personnage=trait de caractère, le lieu, série de superlatif=perfection Simple, qualité ou défaut ? -Personnage faible : le personnage subit l'action

le discours indirect libre « Quels étaient son nom, sa demeure, sa vie, son passé ? » à la ligne 20-21. Et c’est à ce moment-là que le narrateur indique au lecteur la perception des émotions de l’homme, de ses sentiments puisqu’en rapportant les pensées du personnage, le lecteur peut s’intégrer aux paroles et à l’esprit du personnage. Flaubert insiste donc sur la valeur du jeu des regards dans la rencontre. Après la mise en place d’un coup de foudre, Flaubert va mener un portrait valorisant de la

révélation qu’il existe une échelle de la croyance dans un discours le conduit à représenter ces différentes positions dans Les Pensées : d’après le fragment « gradation » (Laf 90), il y a celui qui croit au discours qu’on lui tient sur la justice instituée (le peuple), celui qui, démystifiant les apparences, a des velléités de révolte (le demi-habile), celui qui possède « la pensée de derrière » sans avoir la lumière supérieure qui lui permettrait de saisir la raison de la raison des effets (« l’habile »)

régit : c'est un vrai témoignage de l'humaine imbécillité, tant il y a de contradiction et d'erreur». En effet, dans le propos à analyser, le philosophe français pointe la justice comme pratique irraisonnable et absurde. A l’aune de notre lecture des pensées de Pascal (1669), on précisera dans quelle mesure la justice d’après Montaigne déroge à la rationalité et échappe au bon sens. Pour ce faire, on analysera d’abord l’idée qu’elle est imparfaite, pour montrer ensuite qu’elle est malgré ses insuffisances

sphères de la société québécoise ont un besoin plus urgent de financement, notamment l'éducation et le système de santé. Les sondages l'ont démontré: une majorité de la population était favorable au projet du colisé. L'utilitarisme, est un courant de pensé qui appuie qu'une décision doit aller en faveur de la majorité afin d'être considérée comme morale. En effet, cette décision se doit de faire le bonheur du plus grand nombre sinon elle n'a pas lieu d'être. Pour ma part, je crois que ces députés ont

policé, il devient feinte, subtilité exquise. Et c’est la confiance de l’autre qui se trouve ainsi piégée par une parole qui change complètement l’ordre discursif. La parole n’est plus dévoilement des vraies intentions, mais voilement de ce qu’on pense réellement. Elle devient une sorte de brouillard entre l’émetteur et le récepteur. Le menteur avance masqué ! Le mensonge devient alors une affaire de toutes les catégories sociales, pour ne pas dire un phénomène social. Le grand schisme: L’art de

l’expérience.  Expliquons-nous : Nous avons dans notre esprit des formes pures a priori qui nous permettent d’avoir une expérience, et qui sont même l’origine des lois de la nature. Mais ces formes pures a priori ne sont que les formes de toute pensée, elles ne sont que la possibilité de l’expérience, pas la réalité ! On peut bien par elles penser (puisqu’elles sont des connaissances possibles), mais ce n’est pas encore connaître. Pour qu’il y ait connaissance, il faut toujours une intuition, une

mise en équation, ils en concluaient qu'elle n'existe pas. Ces théories matérialistes sont dites "réductionnistes" parce qu'elles réduisent l'homme à des quantités, des calculs, des réactions chimiques, des schémas physiologiques. La pensée, l'amour, la vie sont réduits à être seulement la "superstructure" de réactions psysico-chimiques. Avec cela, les scientistes n'étaient pas moins que les autres susceptibles de préjugés "anti scientifiques" pour sauvegarder leurs théories

pour déterminer mon action dans le présent. Ma conscience rassemble et organise mon expérience passée pour me préparer au futur et résoudre les problèmes qui surgissent. Citation : La conscience est un pont jeté entre le passé et l’avenir. La pensée c’est le ciment. C’est ce qui va forger ma personnalité a partir de lemprise qu’a sur moi le monde extérieur. II) La prise de conscience de soi A) Qui suis-je ? (le cogito DESCARTES) 1) La Révolution Cartésienne. * Contexte :

demander si ce sera la même chose demain… » Ces phrases n’apportent strictement rien à la réflexion et pourraient s’appliquer à n’importe quel sujet : essayez toujours de penser en fonction du sujet précis qui vous est soumis. Fuyez les phrases et les pensées toutes faites (ce que Baudelaire appelle « les poncifs » !). 5. Enfin, je vous demanderais de bien vouloir prêter une attention particulière à l’expression : la dissertation est un exercice qui nécessite de s’exprimer correctement, élégamment. Il