Pensées Pascal Injustice

Bienveillantes 2005 Mme Henriette JELINEK Le Destin de Iouri Voronine 2004 M. Bernard du BOUCHERON Court Serpent 2003 M. Jean-Noël PANCRAZI Tout est passé si vite 2002 Mme Marie FERRANTI La Princesse de Mantoue 2001 M. Éric NEUHOFF Un bien fou 2000 M. Pascal QUIGNARD Terrasse à Rome 1999 Mme Amélie NOTHOMB Stupeur et tremblements 1999 M. François TAILLANDIER Anielka 1998 Mme Anne WIAZEMSKY Une poignée de gens 1997 M. Patrick RAMBAUD La Bataille 1996 Mme Calixthe BEYALA Les Honneurs perdus 1995 M

Parler = exprimer En parlant on va donner à un contenu intérieur (pas visible si pas manifesté) une forme extérieure. Donner une forme sensible à un contenu intérieur (=sentiment, info, ordre). (Désobéissez moi → injonction paradoxale.) "La pensée est un dialogue de l'âme avec elle même." Platon, Théétète Apprendre à parler c'est apprendre à penser. Je ne peux pas penser si je ne me parle pas. Sans mots : monde sans signification. Les poétes essaient d'enlever significations aux choses

la véritable sagesse (sophia). Platon ne s’intéresse guère alors aux cités concrètes qui sont étrangères à la science et sont gouvernées par des hommes ne pratiquant guère la philosophie. Ce n’est que dans son dernier dialogue, Les Lois, que Platon pense la possibilité d’une application de ses théories dans le cadre d’une cité existante. Pour Aristote, la cité est la communauté d’hommes (de citoyens) vivant sous une certaine constitution (politeia). Selon le schéma hylémorphique

la véritable sagesse (sophia). Platon ne s’intéresse guère alors aux cités concrètes qui sont étrangères à la science et sont gouvernées par des hommes ne pratiquant guère la philosophie. Ce n’est que dans son dernier dialogue, Les Lois, que Platon pense la possibilité d’une application de ses théories dans le cadre d’une cité existante. Pour Aristote, la cité est la communauté d’hommes (de citoyens) vivant sous une certaine constitution (politeia). Selon le schéma hylémorphique (forme/matière)

décomposent ainsi : 1. Arrivé du canada d'un jeune huron, en France Basse Bretagne 2. Rencontre d'un individu et d'une société étrangère 3. Un jeune huron, vaillant et plein de bon sens naturel qui s'affronte aux conventions et aux absurdités, aux injustices religieuses, sociales et politiques du royaume Les 4 premiers chapitres ; arrivée du sauvage et premières découvertes, conversion et baptême. Chapitre 5 : le Huron tombe amoureux. C'est l'enfermement de sa bien-aimée, jusqu'au 7è chapitre Chapitre

Le principe responsabilité de Hans Jonas et la responsabilité socialeUNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL LE PRINCIPE RESPONSABILITÉ DE HANS JONAS ET LA RESPONSABILITÉ SOCIALE MÉMOIRE PRÉSENTÉ COMME EXIGENCE PARTlELLE DE LA MAÎTRlSE EN PHILOSOPHIE PAR FANCHON SOPHIE BÉRUBÉ FÉVRIER 2007 UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL Service des bibliothèques Avertissement La diffusion de ce mémoire se fait dans le respect des droits de son auteur, qui a signé le formulaire Autorisation de reproduire

entrer dans la conscience d'autrui. Dans cette perspective, il faut absolument tenir à l'écart autrui pour atteindre la connaissance de soi. Il semble donc qu'autrui empêche ma liberté, puisqu'il m'empêche d'atteindre la connaissance de moi-même. Pascal également disait qu' " on n'aime jamais personne, on n'aime que des qualités ". Autrui est donc inutile, et en me leurrant sur sa véritable personne, empêche la liberté de ma raison. A quoi sert autrui, si le véritable amour n'est pas celui que l'on

Jacob, 2001), où il nous invite par de petits exercices pratiques à voir les choses autrement : à « voir les étoiles en bas », à « disparaître à la terrasse d'un café » ou à « couper le son de la télé » - ce qui est peut-être déjà mieux vivre si l'on pense que la médiocrité de nos vies contemporaines se joue justement dans ces existences à la fois répétitives et non questionnées, qui rendent impossible cet étonnement sans lequel la philosophie ne peut naître. Tous ces travaux de philosophes ou d'écrivains

lui il n’y a pas de séparation entre la vie sexuelle et la vie psychique, car en réalité la vie psychique n’est que le prolongement de la vie sexuelle. Ca ne veut pas dire qu’on pense tout le temps au sexe, mais ça veut dire que la pulsion sexuelle ne cesse jamais d’alimenter notre psychisme, ça signifie que toutes nos pensées et tous nos désirs sont d’origine sexuelle. Mais en quoi est-ce que la religion peut-elle bien avoir une origine sexuelle ? En effet dit comme ça, cela peut paraitre assez improbable

sens du terme de « reconnaissance » qui sont restés sous-jacents au débat : La reconnaissance, au premier sens, au sens cognitif, presque neutre, c’est l’action de reconnaître un objet ou une personne, c’est-à-dire d’en saisir les attributs par la pensée, en les liant. Il s’agit, dit aussi le Robert, d’une action de la mémoire : bien souvent, on reconnaît quelque chose qu’on a connu, mais qui était sorti de notre sphère de proximité, et qui a donc changé  >< méprise Deuxièmement, dans un sens peut-être