Péplos

siècle, conçu par Phidias, à l’initiative de Périclès (vers 495-429) 1) la communauté civique regroupe les citoyens, leurs femmes et leurs enfants. Les femmes jouent un rôle important dans le cadre des fêtes religieuses (les ergastines, cérémonies du péplos, mystères d’Eleusis …), elles sont représentées sur les céramiques dans les actes de la vie quotidienne … mais elles sont considérées comme mineures sur le plan politique et juridique (successions). 2) -Une communauté politique restreinte 30 à 40

frise des Panathénée qui décoraient le Parthénnon. Cette cérémonie religieuse débute par une procession qui traverse les quartiers les plus important d'Athènes : Le céramique l'Agora et elle s’achève sur l'acropole. Les jeunes filles remettent le péplos (manteau) un prètre en l'honneur. Une fois la procession terminée il y a un sacrifice lors des grandes Panathénées on peut sacrifier jusqu'à 100 bœufs ( la viandes sera répartis entre les citoyen ) C'est la partie religieuse de ces cérémonies après

Après une veillée nocturne avec des chants et des danses, le cortège s'organise dès le lever du soleil et voit l'ensemble des habitants, organisés selon un ordre bien précis, se rendre sur l'Acropole. Des jeunes filles, en tête du cortège, portent le peplos, voile tissé depuis plusieurs mois pour en orner la statue d'Athéna. 2) citoyens et non-citoyens Vers 430 av. J.-C., Athènes compte selon les historiens environ 500 000 habitants. Sur cette population, on ne compte que 40 à 45 000 citoyens, soit

juillet-août le fête de Panathénées. tout la population défile en procession à travers le ville jusqu’au Parthénon pour rendre hommage à la déesse protectrice. Voir le trajet final en 2, page 19. Tous les quatre ans, les grandes Panathénées : on change le péplos de la déesse. Cette procession nous est bien connue grâce à la frise de Phidias. Voir 6, page 20. Tout cela entraîne la fierté du citoyen. C’est pourquoi le devenir nécessite un rite de passage : l’éphébie. Lire le texte 3, page 17 : devenir citoyen

manière dont on souhaite draper le corps, on faisait soit des tuniques, soit des manteaux. Les teintes de l'écru au blanc ou dans des teintes foncées: du brun au noir. On nomme le manteau: Himation, Khlaine, et chlamyde et la tunique féminine: le Péplos. Ensuite viendra le lin très apprécié pour ca finesse et sa légèreté. Il sera utilisé essentiellement pour les tuniques des deux sexes. Puis par intermédiaire des conquêtes d'Alexandre Le Grand de nouveaux tissus sont introduis, venu d'Asie. Les cotonnades

Célébrées tous les ans, les Panathénées prenaient un éclat particulier tous les quatre ans. Le dernier jour de ces Grandes Panathénées, le peuple athénien se rendait en procession sur l’Acropole pour offrir à la déesse Athéna un riche vêtement brodé (un péplos) dont on parait sa statue. Cette procession est représentée sur la frise longue de 160 m que Phidias et son atelier ont sculpté sur le mur extérieur du sanctuaire. En queue du cortège caracolaient des jeunes gens à cheval. L’Erechthéion C’est un

par le don de vêtements votifs, et encourage la qualité des productions, Athéna possède un rapport fort au savoir-faire artisanal, elle est l'inventrice par excellence de nouveaux procédés. On honore Athéna au moment des Grandes Panathénées, avec un péplos géant, sorte de tissu multicolore aux motifs divers et variés, de la taille d'une voile de navire. Confection menée par des éléments exclusivement féminins : prêtresse d'Athéna met en chantier l'ouvrage. les arréphores, très jeunes filles

sont célébrées les Panathénées ? Pourquoi ? Qui organise cette fête et qui rassemble-t-elle ? La fête des Panathénées était organisée en l’honneur d’Athéna, la déesse protectrice d’Athènes. Il s’agissait de remettre à la prêtresse d’Athéna le peplos brodé par de jeunes Athéniennes pour revêtir la vieille statue en bois de la déesse. Célébrées au nom du peuple athénien (doc 1), les Panathénées constituent un temps fort de la vie publique. A ce titre, c’est la cité qui est chargée de son organisation

est la victoire de la civilisation sur la barbarie). Apollon, d’une hauteur de 3,15 mètres et au milieu du fronton (L), est l’arbitre du combat. À sa gauche, Thésée (M) tient une hache qu’il va abattre sur un centaure qui s’en prend à une femme. Les péplos portés par les femmes sont très archaïsants dans leurs drapés. La nudité héroïque des hommes, montrant des muscles saillants et très prononcés, et la sévérité de leurs regards sont aussi des caractéristiques doriques (selon Vitruve, auteur romain

Lysistrata d’Aristophane, le poète fait mention de vieilles femmes qui énumèrent les taches effectuer pour la religion durant leur enfance qui sont toutes des fonctions officielles : LesArrhéphores , fillettes choisi pour le tissage du peplos d’Athéna ainsi que d’autre mission. LesAlétride, les deux autres fillettes qui sont chargées de moudre le grain le réduire en farine pour faire les galettes sacrificielles offerte à Athéna. Plyntrides