Péplos

protectrice, Athéna. Cette procession nous est bien connue grâce à la frise de Phidias (p. 21, doc. 22). Qui participe ? Des cavaliers, des éphèbes, etc. => toute la population défile. Tous les quatre ans, les grandes Panathénées: on change le péplos (tunique) de la déesse. • Le théâtre de Dionysos (p. 9, doc.2) Des fêtes, elles-mêmes naissent la tragédie et la comédie destinées à honorer le dieu. Les pièces de théâtre sont écrites et jouées pour les concours qui ont lieu chaque année aux

le dernier jour a lieu une grande procession représentée sur la frise du Parthénon (page 26). Cette procession fait le tour de L’Agora et monte ensuite vers L'Acropole. Arrivées à l’Acropole, des jeunes filles habillent la statue de la déesse d’un péplos, une nouvelle tunique qu’elles ont tissées. - Les Dionysies qui ont lieu en hiver donnent lieu à des représentations théâtrales placées sous la protection du dieu Dionysos (dieu du vin). Tous les acteurs sont des citoyens. Le théâtre est ouvert

Merhige 2003 THE HOUSE OF SAND AND FOG (id.) de Vadim Perelman 2002 TUCK EVERLASTING de Jay Russell 2001 A.I. INTELLIGENCE ARTIFICIELLE (A.I. ARTIFICAL INTELLIGENCE) de Steven Spielberg (voix) LE TRIOMPHE DE L'AMOUR (TRIUMPH OF LOVE) de Clare Peploe 2000 DE QUELLE PLANÈTE VIENS-TU ? (WHAT PLANET ARE YOU FROM ?) de Mike Nichols L'ENFER DU DEVOIR (RULES OF ENGAGEMENT) de William Friedkin SEXY BEAST (id.) de Jonathan Glazer 1999 THE CONFESSION de David Hugh Jones PARTING SHOTS de Michael

accrocher les étoffes. + Himation (manteau) pouvait être porté seul. / Clamyde (correspond à une sorte de cape – manteau plus court) Homme = barbe et cheveux long puis visage imberbe et cheveux court. Vêtement pour la femme : Chiton également puis péplos – vient recouvrir le bras pour effet sur la manche. Juste drapé différent par rapport à l’homme. S’habiller = manière d’honorer les Dieux Bleu couleur de l’aristocratie Blanc couleur de Minerve Rouge couleur du dieu Mars Femme= Chignon, nattes, coiffure

organisées tous les 4 ans au mois de juillet, duraient 6 jours. La frise décrit la procession, le défilé qui rassemblait l’essentiel de la population athénienne, depuis le quartier du Céramique au Parthénon, où la statue d’Athéna était revêtue du peplos, un vêtement en lin Les éléments de la procession des Panathénées, sculptés sur la frise du Parthénon Le théâtre : Un masque de théâtre du V ème siècle qui permet aux spectateurs d’identifier les personnages. Les acteurs sont exclusivement

tailla lui-même sa massue, son arme favorite, dans un tronc d’olivier sauvage. Les dieux lui fournirent le reste : Hermès son épée,Apollon son arc et ses flèches, Héphaïstos son armure, ses jambières en orichalque et son bouclier, Athéna sa tunique (péplos). Ecorchant plus tard le lion de Némée, Héraclès fera de la peau une armure imperméable aux flèches et de la tête un casque. Pour les exégètes interprétatifs ces armes symboliseraient les vertus de l’âme nécessaires pour triompher des vices incarnés

sexuels, notamment pour les hommes un énorme phallos et, lorsqu’ils jouent un rôle de femme, toison pubienne et seins postiches. Sur cet ensemble qui représente le corps nu s’adaptent les vêtements en usage dans la vie courante robe d’intérieur et péplos pour les femmes, tunique courte et pèlerine ou manteau pour les hommes. La particularité de ce costume comique est donc de donner lieu à des jeux de scène licencieux, dans les Thesmophories d’Aristophane on assiste au déshabillage du Parent d’Euripide

des chaussons dorés et une perruque faite de raphias tressés et poudrée d'or. Le costume comporte aussi une queue en bas du dos, des cornes sur le front, et des oreilles pointues, qui le rendent d'autant plus animal. Les nymphes portent de vastes péplos à l'antique (tuniques crétoises), recouverts de figures géométriques ou de fleurs et de feuilles stylisées, façonnées avec de la gaze plissée, des perruques faites aussi de raphias inspirées des coiffures des déesses grecques. De même, Bakst conçoit

notre mater inscrit pareillement certains épisodes de sa vie dans le mythe de la divinisation de Dionysos. La paroi de gauche illustre l’apothéose de Dionysos : la première scène correspond à une scène de pédagogie dans laquelle la domina vêtue d’un peplos préside à l’éducation de son fils assimilé à Dionysos, portant e hautes bottes, et lisant un volumen. Notre prêtresse inscrit donc ici son activité pédagogique de mère profane à l'intérieur du mythe de Dionysos, en s'identifiant cette fois-ci avec

Héphaïstos rattrapa sur l'acropole Athéna, qu'il poursuivait de ses assiduités, mais celle-ci lui résistant, le dieu laissa échapper son sperme sur la cuisse de la déesse. Athéna nettoya la souillure à l'aide d'une boule de laine qu'elle arracha à son péplos et jeta ensuite sur le sol. De cette fécondation naquit Erichtonios (ou Erechtée ou Cécrops). II en garda une double nature : la partie supérieure de son corps était humaine mais il possédait une queue de serpent, ce qui, comme tous les autres monstres