Pérégrin

l’effet des conduites ou des situations? on remarquera que pour les romains il ne suffisait point d’être un homme pour être digne : la Dignitas était une charge publique que ne pouvait recevoir les femme et les enfants , les barbares et les pérégrins , les esclaves .De cet emploi du mot nous en avons garder quelque trace. mais la doxa contemporaine veut plutôt que la dignité soit attachée à l’humanité comme telle et que tout homme ait une valeur absolue dignitas vient soi même de l’adjectif

économiques et à l'expansion de la cité, le droit civil s'appliquent uniquement aux citoyens romains , car avec l'expansion de + en + d'étrangers (Pérégrins) viennent à Rome mm s'ils sont installés ds la durée ces Pérégrins ne peuvent jamais se prévaloir du doit romain droit civil non réformé, intangible, jus gentium utilisé entre citoyens et pérégrins formalisme très lourd, progressivement la pratique va tolérer une certaine souplesse pour faciliter les échanges par ex en matière de conclusion des

citoyenneté, l’Empire fait mathématiquement augmenter les rentrées fiscales dans les caisses de l’Etat romain (on retrouve également cette idée sous la plume de Dion Cassius qui critique vertement l’édit de Caracalla, qui accorde la citoyenneté à tous les pérégrins). Ces deux documents montrent que les Romains ont cherché à intégré politiquement et culturellement – par étapes – les peuples qu’ils ont battus militairement et qu’ils ont conquis : les Romains ont fini par leur donner la citoyenneté et ont largement

l’exclusion des femmes dans la citoyenneté, ces dernières étant considérées comme inférieures de nature à l’homme que ce soit pour les grecs ou les romains (phénomène qui persiste hélas dans le monde d’aujourd’hui). Ensuite, on peut citer les métèques ou pérégrins et les esclaves. C’est par ailleurs la distinction fondamentale entre l’Empire romain et la cité athénienne. En effet du Ier au IIIème siècle ap J-C, il est largement possible d’accéder à la citoyenneté romaine que ce soit par l’intermédiaire de

trois capitales (Narbonne, Lyon, Cologne) regroupent l’administration romaine. A l’intérieur des provinces, les villes sont les chefs lieux des « cités ». Elles sont regroupées en trois groupes selon leurs statuts juridiques. Les habitants des cités pérégrines paient l’impôt et la capitation mais un homme libre ne peut pas faire du commerce, plaider en justice ou épouser une femme de droit supérieur au sien. Les habitants des cités de droit latin ont les mêmes droits que les citoyens romains : ils ont

Principat, Octave Auguste 1ier et 3ième siècle : intrusions violentes en Gaule 2ième siècle : Apogée de l’empire Romain. 212 : Edit de Caracalla (admet tous les hommes libres de l’Empire à la citoyenneté romaine) 242 : mise en place d’un préteur pérégrin 284 : Début du Dominat 4ième siècle : les Francs s’établissent sur la rive gauche du Rhin, en tant que Déditices(alliés de Rome) 312 : Culte chrétien officiellement toléré à Rome 380 : le Christianisme devient la religion officielle de Rome

exercé une magistrature dans les cités de droit latin = droit concédé par Rome à des régions entières qu’elle domine. Dans ces 2 cas, il s’agit d’une récompense qui permet de bénéficier des droits des citoyens romains. • Les étrangers ou pérégrins libres peuvent devenir citoyens sur décision impériale pour service rendu ou à l’issue de leur service militaire. • Les esclaves de citoyens romains et leurs enfants deviennent citoyens quand ils sont affranchis par leur maître. C’est donc

cités ont des statuts juridiques différents. Il y a des cités de droit romain où tous les hommes sont citoyens, des cités de droit latin où seul les personnes importante appartenant à l'élite comme le maire est citoyen, puis il y a des cités de droit pérégrin où personne n'est citoyen sauf quelques exceptions qui ont rendu service a l'empereur ou a Rome. Cependant les cités peuvent changer des statuts juridiques. Lors de la conquête de la gaule, elle a été divisé en plusieurs parties. La gaule narbonnaise

l’époque archaïque, 2 termes qui désignent l’étranger : « pérégrin » et « hotis » (à la fois l’étranger et l’hôte). Du point de vue du droit romain il s’agit ici des citoyens d’un état étranger avec lequel Rome a signé un traité. En dehors de ces traités, les autres étrangers n’existent pas. C’est plus le terme « hotis » qui est utilisé jusqu’à ce que Rome se mette a conquérir des territoires plus éloignés, outre-mer. On va alors plus utiliser « pérégrin » et « hotis » sera l’ennemi. Il y aura des traités

adoptèrent vite le latin et obtinrent la citoyenneté romaine ou le droit latin. De nombreuses colonies de vétérans et de prolétaires furent implantatrices de culture romaine dans les provinces. César n’avait pas non plus hésité à décerner à des cités pérégrines le droit latin et même parfois le titre de cité romaine (Gadès,Tarraco) lorsqu’il les jugeait suffisamment romanisées. De ce fait, il créa des centres de rayonnement politique et culturel au service de la romanisation; Procédé que ses successeur