Périandre

cultuel de prestige TRAVAUX D’ADDUCTION D’EAU ET FONTAINES Théogénès de Mégare « Ce Théogénès, quand il devint tyran, construisit une fontaine remarquable par ses dimensions, sa décoration et le nombre de ses colonnes » (Pausanias, I, 40, 1) Périandre de Corinthe ; fontaine Pirène Pisistrate d’Athènes : fontaine aux 9 bouches (enneacrounos), captation de l’eau du Pentélique et canalisations vers Athènes Système d’égouts au nord de l’acropole Polycrate de Samos : travaux d’Eupalinos de Mégare

affectés» (vers 368) I) «Ces gens là, dis-je, qu’on voit d’une ardeur non commune» (vers 369) J) «De ce faux caractère on en voit trop paraitre» (vers 381) K) «Notre siècle, mon frère, en expose à nos yeux» (vers 383) L) «Regardez Ariston, regardez Périandre» (vers 385) M) «On ne voit point en eux ce faste insupportable» (vers 389) N) «On les voit, pour tous soins, se mêler de bien vivre» (vers 398) O) «Mais par un faux éclat je vous crois ébloui» (vers 406) 3. Pourquoi Orgon reste-t-il évasif

sociale, moeurs du temps Clitiphon fait l’important en se comportant comme un ours, en ne recevant personne et en restant inaccessible Dénonciation de la vanité Rq 21 Livre VI « Des biens de fortune » Comédie sociale, moeurs du temps Périandre « On implore sa protection, il a commencé à dire de soi- même un homme de ma sorte, il passe à dire un homme de ma qualité » Stigmatisation du règne de l’argent, en particulier l’ascension sociale des partisansLivre VII « De la ville » Comédie

Bacchiade) et dynastie des Kypsélides (protocorinthien à figures noires) même politique pour l'artisanat et la colonisation-(Corinthe:attiré par péninsule balkanique (ressource économique, agricole, les mines...dont l' iris pour parfum) -625-585 Périandre lui succède mais dans excès (apogée poterie= transition) puis renversé après son neveu (corinthien même) et impérialisme d'Athènes les remplace sur l'exportation et la production. 2-Argile -Reconnaissance de poterie corinthienne=elle est sans

Œdipe sa souveraineté et la légitime. Ainsi, la relation infirmitéroyauté permet un renversement des rapports normaux en ce qui concerne les tares physiques. Le 12 Sur la boiterie d’Œdipe, cf. J.-P. Vernant, « Le Tyran boiteux : d’Œdipe à Périandre », in Le temps de la réflexion, 2 (1981), p. 235-255. 7 nom, « toujours un sur-nom »13, devient alors synonyme de mutilation. Mieux encore, la déformation physique laisse place à la formation identitaire du héros. Lorsqu’Œdipe quitte Corinthe

assassiner avec un fer sacré. De ce faux caractère on en voit trop paraître : Mais les dévots de cœur sont aisés à connaître. Notre siècle, mon frère, en expose à nos yeux Qui peuvent nous servir d’exemples glorieux. 385Regardez Ariston, regardez Périandre, Oronte, Alcidamas, Polydore, Clitandre : Ce titre par aucun ne leur est débattu : Ce ne sont point du tout fanfarons de vertu, On ne voit point en eux ce faste insupportable, 390Et leur dévotion est humaine, est traitable, Ils ne censurent

veulent tuer l’enfant. Sa mère le protège de la famille en le cachant ds un coffre : Cypsélos. Il s’empare plus tard du pouvoir grâce à un coup d’état et monopolise ce pouvoir (monarque : arc+monos) si bien qu’il parvient à le transmettre à son fils (périandre) . Il prend un nouveau titre, celui de tyranos, tyran. Le modèle de cypselos va se repanre dans le monde grec pendant le 6eme siècle, qu’on appelera l’âge des tyrans. Au vers 47 , il parle des cités et en parlant de Mégare , et evoque ce désorde

qui détournent le peuple et font faire place ; il ne lui manque que des licteurs ; il entre à Rome avec ce cortège, où il semble triompher de la bassesse et de la pauvreté de son père Sanga. 2I (V) On ne peut mieux user de sa fortune que fait Périandre : elle lui donne du rang, du crédit, de l’autorité ; déjà on ne le prie plus d’accorder son amitié, on implore sa protection. Il a commencé par dire de soi-même : un homme de ma sorte ; il passe à dire : un homme de ma qualité ; il se donne pour

ruines ont été retrouvés en face du portique des Athéniens, à droite de la voie sacrée, constitue le trésor le plus vieux de Delphes, qui date du VIIe siècle av. J.-C. Il a été érigé par le tyran de Corinthe, Kipsélos (657-628 av. J.-C.), père de Périandre, l'un des Sept Sages. Le trésor de Sicyone d'ordre dorique qui se trouve à gauche de la voie sacrée, a été crée à la fin du Ve siècle av. J.-C., par les oligarchiques qui ont renversé les tyrans de Sicyone, les Orthagorides. Ce trésor contenait

assassiner avec un fer sacré. De ce faux caractère on en voit trop paraître; Mais les dévots de cœur sont aisés à connaître. Notre siècle, mon frère, en expose à nos yeux Qui peuvent nous servir d'exemples glorieux Regardez Ariston, regardez Périandre, Oronte, Alcidamas, Polydore, Clitandre; Ce titre par aucun ne leur est débattu; Ce ne sont point du tout fanfarons de vertu; On ne voit point en eux ce faste insupportable, Et leur dévotion est humaine, est traitable. Ils ne censurent point