Péricardite

sympathique. Parathyroïde : Petites glandes endocrines. Paratyphoïde : Maladie infectieuse voisine de la thyroïde. Paresthénie : Défectuosité de la sensation. Pathogène : Mécanisme par lequel des éléments pathogène connu ou pas provoquant une maladie. Péricardite : Inflammation de la muqueuse du côlon. Per os : Voie orale. Pharmacologie : Etude des médicaments. Pharynx : Carrefour entre les fosses nasales, la bouche, le larynx et l’œsophage. Photophobie : Peur morbide de la lumière. Physiologie : Etude de

Ophtalmie : inflammation de l'oeil. Orgelet : furoncle du bord de la paupière. Oxyures : parasitose due aux oxyures (petits vers, parasites des intestins). Palpitations : mouvements violents et déréglés du coeur. Pharyngite : inflammation du pharynx. Péricardite : Inflammation du péricarde. Prurit : démangeaison. Psoriasis : affection cutanée caracterisée par des squames blanchâtres recouvrant des plaques rouges. Stomatite : inflammation de la muqueuse buccale. Tachycardie : accélération du rythme cardiaque

problème de santé préexistant, comme une pression artérielle élevée (la plus fréquente des causes connues), une anomalie cardiaque structurale (comme une affection des valvules du cœur), une infection ou une inflammation du cœur (myocardite ou péricardite), une maladie du cœur congénitale, l’obésité, une crise cardiaque, une insuffisance cardiaque congestive (ICC), une maladie des poumons (comme une bronchite ou une pneumonie), une hyperthyroïdie (suractivité de la glande thyroïde) ou une consommation

viscéral, lui-même enveloppé d'un feuillet pariétal. L'espace entre les deux feuillets est normalement vide car la pression est très faible. Il peut arriver que la cavité péricardique se remplisse pathologiquement d'un liquide, le patient a alors une péricardite. L'aorte ascendante L'aorte ascendante part du ventricule gauche du cœur. Elle débute par une portion dilatée : le sinus de Valsalva. À ce niveau naissent les artères coronaires qui viennent vasculariser le tissu cardiaque. Les artères coronaires

personnalité du patient. Les modes de présentation principaux sont par ordre de fréquence: - états dépressifs, insomnie, labilité émotionnelle, confusion mentale, désorientation, troubles cognitifs, hallucination. 7. manifestations cardiaques: 7.1- péricardite : * Expression clinique (20-30% des cas) * échographique (40%) * anatomique (60-70%). * Tamponnade : exceptionnelle. 7.2- myocardite : * Souvent dépistée par l’échographie. Se complique parfois d’un trouble du rythme. * Anti-U1-RNP souvent présents

vomissements, œdèmes, insuffisance cardiaque, troubles nerveux (convulsion, coma…). A traiter par la restriction hydrique et les diurétiques. - L’hypertension artérielle favorisant la défaillance cardiaque, précipitant l’insuffisance rénale. - Péricardite, annoncée par des douleurs thoraciques : le frottement péricardique n’est ps toujours retrouvé, mais la radiographie pulmonaire, l’ECG, l’échographe aideront au diagnostic. Elle est grave, pouvant entraîner une tamponnade avec collapsus et nécessite

à domicile. 1- Quand débuter le traitement substitutif ? Patient en IR terminale (clairance <15 ml/min) AVEC : - Signes de mauvaise tolérance de la rétention azotée : nausées, vomissements, amaigrissement… - Douleurs thoraciques type péricardite car risque de saignements provoquant une tamponnade ( cœur qui ne peux plus se contracter correctement car entouré de sang). - Troubles de conscience, coma urémique avec myoclonies, polypnée d’acidose. - Surcharge hydrosodée non contrôlable

buccale - La pustulose palmo-plantaire (pustules aseptique ) ° Ressemblent au psoriasis pustuleux - Keratodermie palmo-plantaire (clous hyperkeratosiques ) - Érythème noueux  Manifestation cardiaque : ( excep. ) - Péricardite - Trouble du rythme - IAO d) Formes cliniques particulières : * Le syndrome de Fiessinger-Leroy –Reiter Associe urétrite + conjonctivite + oligo-arthrite * La keratodermie blennorragique

| |4 |Idem 1, souffle diastolique aortique |4 |Insuffisance aortique | |5 |D rétrosternale, aggravée par mouvement, calmée par la position assise |5 |Péricardite | |6 |D dans un hémithorax, dyspnée aiguë, hémoptysie, cyanose, signe de |6 |Infarctus pulmonaire sur embolie | | |Homans

 »24 Dans la prise en charge de la douleur thoracique aux urgences, il convient d’écarter les quatre principales douleurs thoraciques potentiellement grave. Le syndrome coronarien aigu, l’embolie pulmonaire, la dissection aortique et la péricardite.25 En effet, elles peuvent mettre en jeu le pronostic vital à court terme. L’une des principales urgences de la douleur thoracique rencontré aux urgences est SCA26 et plus précisément de l’infarctus du myocarde qui de se définit par «