Péroraison

qui ne l’empêche pas d’accepter toute votre fortune, car les soixante mille francs qui vous viennent de votre mère, et que vous lui donnez, sont, rappelez-vous bien ce que je vous dis, votre unique fortune. Mon père avait probablement gardé cette péroraison et cette menace pour me porter le dernier coup. J’étais plus fort devant ses menaces que devant ses prières. — Qui vous a dit que je dusse lui abandonner cette somme? repris-je. — Mon notaire. Un honnête homme eût-il fait un acte semblable sans

La France n’est pas ingrate mais redevable. Ces émotions sont ainsi au service de la persuasion afin d’éloigner une possible guerre. Enfin, D. de Villepin utilise aussi le registre épidictique pour persuader le conseil de sécurité de l’ONU. Sa péroraison est élogieuse. Par l’évocation de la France et de l’Europe, « un vieux pays » et « un vieux continent », il donne l’image d’une nation et d’un continent anciens et expérimentés. Ce pays et ce continent sont l’incarnation de la sagesse. Il fait aussi

révolution / le renversement / la remise en cause / la destructionpour pouvoir instaurer un nouvel ordre des choses, qui vise l’idéal et le meilleur pour les femmes, mais aussi pour la société tout entière.· mini-concl : dernière partie du discours = péroraison (amplification, passion, récapitulation) qui pose les conditions d’un avenir meilleur.CONCLUSION : La stratégie argumentative de Laclos repose sur une construction progressive du discours et surtout des procédés constants d’interpellation et d’implication

recherche des arguments, des exemples ou des raisonnements pour convaincre ou persuader un public. La dispositio est le plan qui comprend l’exorde (introduction), la narration (rappel des faits), la confirmation (justification des preuves) et la péroraison (conclusion). L’elocutio est la phase de transformation des arguments en phrases pour frapper le public. Elle comporte l’electio (art de choisir les mots) et la compositio (art d’arranger les mots en phrases) La memoria permet à l’orateur

eternel calculateur, ici il ne cherche pas à séduire mais à livrer dans le désordre des sentiments qu’il ne contrôle pas. * Impression de désordre : habituellement, on respecte 3 grandes étapes (exode/introduction ; narration/ développement ; péroraison/conclusion) or là elles n’existent pas ; surtout le 1er § est désordonné (début allusion à la nuit d’insomnie) il ne fait pas l’effort de rappeler pourquoi cette nuit d’insomnie. * Présence d’émotions fortes/extrêmes, on retrouve 2 aspects

une breveté et une clarté qui donnera de la crédibilité au discours .La Confirmation regroupe l'ensemble des arguments et preuves paraissent soutenir la position défendus.La Réfutation consiste à argumenter la fausseté de la thèse adversaires . La péroraison met fin au discours et résume l'argument employées , y insisté sur la gravité , suscité l'émotion : l'indignation et la pitié. Le but est d'aboutir à la persuasion qui résulte de vrai-semblable . Il ne s'agit pas d'établir la vérité mais ce demander

Commence par une exorde Suivi d’une narration Suivi d’une argumentation Suivi d’une péroraison L’exorde = sorte d’introduction dans laquelle l’orateur dit qui il est et ce qui l’autorise à parler du sujet Dans la narration = on expose les faits Dans l’argumentation = il s’agit de justifier ses faits au mieux Dans la péroraison = il s’agit d’emporter la conviction de son auditoire Si l’on regard le discours de Rodrigue, l’ordre est respecté

(exposé des arguments : l’orateur peut utiliser la concession (« s’il est vrai que…toutefois ») ou la réfutation (qui cherche à détruire les arguments de l’adversaire), enfin la péroraison (conclusion du récit qui récapitule l’ensemble des arguments et qui cherche à émouvoir l’auditoire). 1. 3- L’élocution : mise en forme du discours (choix des procédés stylistiques qui permettent à l’orateur de séduire l’auditoire et de mieux

le construire et de mettre en évidence certains points, sont dilués aujourd’hui dans les techniques de composition et de dissertation. Traditionnellement, la disposition se décompose en quatre parties : l’exorde, la narration, la confirmation, la péroraison. C- Elocutio Elocutio (ou « lexis » en grec) est la rédaction du discours, le point où la rhétorique rencontre la littérature. Le discours y est organisé dans le détail. Elle porte sur le style de la rédaction : elle fait appel aux figures, au

le récit – διήγησις – rapporte les faits, un récit parfaitement maîtrisé, avec un sens consommé du suspense. Euphilétos relate l’apparition de l'amant, l’interrogatoire de la servante, et enfin le dénouement : le meurtre d'Eratosthène. Enfin la péroraison (ἐπίλογος, la conclusion du discours) marque le bilan de ce texte argumentatif. Mari parfait ou fin stratège ? Euphilétos – si l’on en croit son nom –,veut dire « bien-aimé ». Nom cocasse si l’on songe à sa situation de mari trompé. Pourtant