Personnage De Néron

(Étienne Jodelle, Robert Garnier), le songe, bien qu’emprunté à l’épopée homérique, apparaît comme un marqueur du genre tragique (le songe, informatif et prémonitoire, possède une fonction d’exposition et manifeste le destin qui pèse sur les personnages). On trouve ainsi 11 songes dans la production tragique de Hardy. Tristan insère des songes dans toutes ses tragédies, mais on n’en trouve pas dans le reste de sa production dramatique (comédie, pastorale ou tragi-comédie). Dans la tragédie,

Dominés par d’insatiables passions, nombre de ses héros illustrent l’emprise des trois concupiscences condamnées par saint Augustin. À lalibido sentiendi, recherche de satisfactions sensuelles, correspond la fureur amoureuse de Phèdre ou de Roxane. Néron (Britannicus), Agamemnon (Iphigénie), Athalie, Mathan (Athalie) incarnent la libido dominandi, amour du pouvoir, empire de l’ambition, de l’orgueil. La libido sciendi est un vain appétit de connaissances, une curiosité éperdue : « Ah ! Que vous enflammez

spectateur. Alors tout d’abord cela permet de révéler les intentions des personnages. Par Exemple si il y a un personnages caché sur la scènes alors que le deuxièmes personnages ignore sa présence, le personnages caché peut découvrir les pensées du personnages qui parle. Dans la tragédie Brittanicus,Narcisse joue un double jeu auprès de son maître Britannicus .Le spectateur se rends alors compte des réelles intentions du tyran.Le Personnages du traître relèves la cruauté d’un empereur fou. Le Double jeu

enfin sur terre, la lune dans mes mains.. » On peut voir dans cet extrait une sorte d’opposition entre le personnage incarnant le bien, la raison (Caesonia) et le personnage incarnant le mal, l’ambition, l’avidité de pouvoir (Caligula) Conclusion : Réponse prob+ ouverture(s) possible(s) 1) Faire le parallèle avec les autres tyrans du théâtre. Caligula ressemble à Néron, mais c’est un personnage beaucoup plus complexe qu’un simple tyran. Plan possible I) Caesonia II) Caligula et l’amour III) La

vient à Rome vers ses 20 ans. A 25 ans, il faut que le latin ait fait quelque chose, qu’il soit connu… Pour faire ça il faut aller à Rome. Sauf qu’il y va au mauvais moment car on est en plein complot contre Néron. Martial compte sur Sénèque, un autre latin d’espagne pour faire sa carrière. Néron fait exécuter les conspirateurs, dont le chef était Sénèque, donc sa carrière politique est niquée. Le règne de Titus en 80 qui termine l’amphithéâtre Flavien est le moment où Martial se fait connaître car

ACTE I ACTE II ACTE III ACTE IV ACTE V III/ETUDE DES PERSONNAGE PHEDRE HIPPOLYTE ET ARICIE OENONE les exposants THESEE ABDOU

tragédie historique. Celui-ci accepta le défi et chercha dans Tacite un sujet qui lui permît de développer des sentiments romains. Il choisit l'histoire de Néron et de Britannicus, et la suivit fidèlement ; mais il limita son action qui devait se passer en vingt-quatre heures. Il ne voulut peindre en Néron que le monstre naissant, afin que le personnage restât humain et pût exciter sinon la sympathie, du moins l'intérêt des spectateurs. Poétique de Racine — Tandis que Corneille paraît toujours ressentir

tragédie historique. Celui-ci accepta le défi et chercha dans Tacite un sujet qui lui permît de développer des sentiments romains. Il choisit l'histoire de Néron et de Britannicus, et la suivit fidèlement ; mais il limita son action qui devait se passer en vingt-quatre heures. Il ne voulut peindre en Néron que le monstre naissant, afin que le personnage restât humain et pût exciter sinon la sympathie, du moins l'intérêt des spectateurs. — Barjazet (1672) Racine n'a pas toujours imité les anciens. Une anecdote

que sa pièce respecte les règles classique. Tout d'abord il annonce qu'il à « copié » Tacite se qui nous informe qu'il c'est inspiré des anciens que ce soit au niveau des personnage que des lieux. Et cette tentative de conviction nous est confirmé par une structure de la description des personnages. En effet elle commence par Néron le « monstre naissant » suivit de Narcisse qui lui entretenait ces « vices » et se termine par « la jeune et belle » et « considéré » Junie. Aussi il justifie ses source

d’une famille honnête et paisible, tout à coup troublée et désunie par la seule présence d’un étranger hypocrite et faux dévot. Tartufe, qui a su s’emparer de l’esprit de la grand-mère, Mme Pornelle, et de son fils, Orgon, qui donne asile au pieux personnage. Toutefois Tartufe ne jouit pas de la même faveur auprès du reste de la famille Damis ;l’appelle un « pied plat » et la suivante Dorine, scandalisée de l’empire qu’il a pris sur son maître, s’écrie :   « Certes, c’est une chose aussi qui scandalise