Personnage Monstrueux Dans Le Theatre

XXIème siècle, suivie du théâtre de l’absurde, sont issus de la deuxième guerre mondiale. L’emprise du régime nazi de l’Allemagne fera naître de grand dramaturges. Apparu dans les années 1940, ce théâtre a pour caractéristique de traiter de sujets sérieux à l’aide de l’ironie et de la caricature. Il met en lumière la problématique de l’absurdité de la condition humaine. Eugène Ionesco, né en 1912 à Slatina en Roumanie et mort en 1994 en France, est un pionnier de ce théâtre. Il écrit de nombreuses

entre autre, les deux grandes guerres mondiales et la guerre froide. Ces tensions sociales et politiques ont apportées une littérature plus engagée et, de cette période, est né le théâtre de l’absurde. Ce type de théâtre tend à montrer le non-sens de cette époque. Eugène Ionesco, un dramaturge, représentant de l’anti-théâtre, a été grandement affecté par la montée fascisme en Roumanie, son pays natal. Ionesco avait déclaré s’être senti comme « le dernier homme dans une île monstrueuse » et qu’il se

est-il un personnage ambigu ? Lorenzaccio est une pièce de théâtre écrite par Alfred Musset en 1830. L’action se déroule en 1535, à Florence sous l’emprise d’Alexandre de Médicis. Musset y dépeint une société de débauche dirigée par des nobles ayant perdu leurs sens de l’honneur et du devoir. C’est dans cet univers qu’évolue le personnage éponyme de Lorenzo, compagnon des agissements de son cousin qui règne en despote. Pourtant, tout au long de l’intrigue, on découvre que le personnage de Lorenzo

d' « anti-pièce ». Les personnages sont les suivants: Mary, la bonne, Monsieur et Madame Smith, Anglais, Monsieur et Madame Martin, et le capitaine des pompiers. Le terme d' « anti-pièce » vient d'Alfred Simon : « ce théâtre, on l’a appelé « anti-théâtre » parce qu’il prenait le contrepied du théâtre traditionnel. L'appellation « théâtre de l’absurde » vient de ce que le non-sens du monde et de l’homme le pénétrait de toutes parts, jusque dans ses structures les plus profondes ; théâtre d' « avant-garde »

ancienne aristocrate; riche et puissante. Elle fréquente un théâtre et possède une loge privée. C'est à Paris que Visconti fait une prise de conscience du cinéma et de la politique. Il se rapproche des idées de gauche. Le réalisme poétique est un oxymore. Ca décrit un mouvement cinématographique (Renoir, Jean Gabin...). Ce rapporte à certains romans de Zola. La rue est le lieu de prédilection de ce mouvement. On croise des personnages maudits (escroc, vagabond, prostituée...) et cela en fait la

comique, Corneille 1649 Les États…de la lune, Cyrano de Bergerac • Principes  Références à la mythologie gréco-latine : Les Métamorphoses d’Ovide fournissent une source d’inspiration inépuisable. Par ailleurs, Protée est certainement le personnage mythologique le plus emblématique du baroque, capable de se métamorphoser à volonté  Influence du contexte historique (guerres de religion entre catholiques et protestants, climat d’instabilité et de mort) qui génère deux courants opposés : celui

faire souffrir même dans l'au-delà. QUESTION 4 Cette fusion permet l'enrichissement du mythe de Médée car en effet ses trois figures sont représentatives de la monstruosité et augmente ainsi considérablement le mythe monstrueux qu'est Médée. QUESTION 5 Les chœurs dans le théâtre Antique servent a  présenter le contexte et résume les situations pour aider le public à suivre les événements de l'histoire. Les voix appartiennent aux enfants de Médée qui reviennent tous le temps au début de chaque

descriptions usuelles et commune à tous. b) Un personnage omniscient Exemple 1 : « D’un mot, il renverse la nature » → Hyperbole :Ce magicien a des pouvoirs inhabituels, presque divins. Exemple 2 : « Rien n’est secret pour lui dans tout cet univers ». Ce personnage, sait tout et connaît tout. Il est encore une fois apparenté à un dieu qui a une connaissance suprême de tout ce qui l’entour. Il sait tout, il connais tout, c’est un personnage omniscient. Exemple 3 :

J’ai voulu abuser du roman. J’ai voulu en faire une épopée. J’ai voulu forcer le lecteur à penser à chaque ligne. De là une sorte de colère du public contre moi » écrit-il à son éditeur. Trop de personnages, trop de décors, trop de libertés prises avec la réalité historique, trop de coups de théâtre, trop de morceaux de bravoure, trop de boniments d’Ursus, trop de coïncidences miraculeuses, trop de digressions didactiques, trop d’antithèses (renversement constant de la naissance en mort, de l’ascension

les valets car il n'est alors qu'affectation. C) La relation maîtres/valets Le valet étant une figure emblématique, il ne sort de l’anonymat que grâce à son maître. Ainsi lorsqu’il dialogue avec son maître, il s’affirme et se révèle. Dans le théâtre, l’inversion du pouvoir constitue le véritable enjeu dramatique de la pièce. Dans la vie réelle, les provocations d'Arlequin et de Cléanthis sont des gifles à l’ordre établi. Les valets ont ainsi plusieurs fonctions : Ils ont avant tout une fonction