Personnages De La Main Coupée

image révoltante, qui incite le lecteur à réfléchir, ainsi qu’une image pitoyable par un registre pathétique: « ils rencontrèrent un nègre étendu par terre, n’ayant plus que la moitié de son habit… il manquait à ce pauvre homme la jambe gauche et la main droite ». Cette description neutre suscite la pitié de Candide et du lecteur à cause de sa mise en infériorité. Ainsi Voltaire vise l’homme du 18ème siècle, pour qui l’esclavage est légal, afin de lui faire passer un message très fort sur l’esclavage

Picasso Étude de l'œuvre : personnages cris (terreur) cheval au milieu => cris blessé (lance traverse son corps ) fragmenté, lampe (ou œil) éclaire la scène tête de taureau sans corps (corrida) entre taureau et cheval forme étrange (oiseau ou colombe de la paix ? ) forme tête levé vers ciel, bouche ouverte, cris, enfant mort sur ses genoux (piéta 1499 Michelange) sur le sol corps mort d'un guerrier, main avec épée cassé à coté fleur(espoir, Nature ? ) femme, main tendue avec lampe à pétrole

ont commencé à l’écrire, puis des écrivains, comme Chrétien de Troyes ou, plus récemment, Xavier de Langlais, qui l’on ensuite enrichie. De plus, ces contes et légendes sont transmis oralement depuis des siècles ; c’est pour cela que le nom des personnages et les circonstances de leur vie (jeunesse, hauts faits, mort) varient d’une époque à l’autre, ainsi que d’un pays à l’autre. Cependant, il existe une unité de lieu: le royaume mythique de Bretagne (qui recouvre les territoires de centre, du sud

trancher la main d'un malheureux, au lieu de seulement, lui soigner un doigt bléssé. Cela dans le but de ne pas ne pas s'attarder sur une petite plaie, (ligne 8-9) "quand nous travaillons aux sucreries, et que la meule nous attrape le doigt, on nous coupe la main". La méthode punitive est décrite dans cet extrait par une mutilation aussi cruelle que stupide. les esclavagistes, voulant donner l'exemple, se privent de force au travail, (ligne 9-10) "quand nous voulons nous enfuir, on nous coupe la jambe"

 Art état et pouvoir athlètes noir américains mexico 1968 - Description de la photo: Trois personnages occupent la grande partie de l'image. Le cadrage est fait sur le personnage central, les deux autres ont le bas des jambes coupé au niveau des tibias. Le photographe se tient sur le même plan que les trois athlètes. Il s'agit de deux hommes de type afro-américains sur la droite et d'un homme blanc sur la gauche. Ce dernier porte sur la poitrine un écusson symbolisant un kangourou et les autres

piliers de la société. Un personnage attire notre regard, au premier plan. De part la perspective, c’est le plus grand personnage (plus important). Il possède un monocle, il a une cicatrice sur la joue, un sabre à la main et porte la croix gammée. La cicatrice et le sabre montrent qu’il faisait partie d’une corporation d’étudiants : on y montrait son honneur en se battant au sabre. De son crâne coupé surgit un cavalier, rappelant les joutes médiévales, donc ce personnage rêve de l’honneur passé de

tend de sa main droite une pomme. Elle la propose directement à Adam, représenté de profil, qui tend la main droite vers elle, puisque Ève a déjà la sienne dans la main gauche, et qu'elle tourne la tête vers lui, comme pour l'inviter à goûter à son tour au Fruit défendu. Au premier plan, enfin, un ange chasse de son bras armé d'une épée flamboyante Adam et Ève du Paradis terrestre : Adam se tourne vers lui pour le supplier de la main droite, alors qu'Ève se désolant, dans un geste de la main qu'elle

par excellence, un hypocrite, Tartuffe. C’est par le biais de ce personnage manipulateur que l’auteur va dénoncer la fausse dévotion. Je vais montrer de quelle manière Molière a traité son personnage central dans son œuvre et comment il en a fait la personnification de la fausse dévotion et le danger qu’elle représente. Pendant les deux premiers actes, le lecteur connait surtout Tartuffe par ce qui en est dit. Les avis des personnages sont partagés suivant qu’ils sont contre ou pour lui. Ainsi la

Cacambo sont témoins oculaires. * C’est une triple anomalie qui attire leur attention : * la pose (« étendu par terre). * Le vêtement (« la moitié de son habit »). * La mutilation (« il manquait à ce pauvre homme la jambe gauche et la main droite). * L’expression du non-être (répétition « n’ayant plus », le verbe « manquait »). b) La pitié de Candide * Le choc visuel est d’autant plus grand qu’il vient de quitter le pays du rêve, l’Eldorado. Le contraste est saisissant

toile bleu » l.2 décris de manière simple l’habit de fortune qu’il porte, « il manquait »l.3, « la jambe gauche et la main droite »l.3 est la conséquence du fait qu’il soit allongé par terre. On peut donc observer que la description qui nous est faite de lui n’est pas très positive et entraîne un sentiment de pitié chez le lecteur. En plus de la vision pathétique du personnage nous avons aussi un récit pathétique avec une souffrance morale et psychologique qui est mise en relief par différentes