Personnages Principaux Hamlet

bavardage humain ; il faut que le monde sache un peu qui je suis et qui il est. Dieu merci, c’est peut-être demain que je tue Alexandre ; dans deux jours j’aurai fini. " II. Lorenzaccio, ou l’apparence de l’antihéros débauché. a. La dualité du personnage, comment est-il passé de Lorenzo à Lorenzaccio ? « Je ne voulais pas soulever les masses, ni conquérir la gloire bavarde d’un paralytique comme Cicéron. Je voulais arriver à l’homme, me prendre corps à corps avec la tyrannie vivante, la tuer, porter

encore plus de légendes et de mythes que l'historien n'a de faits authentiques sur lesquels se fonder7. Même si certains chercheurs8 ont tenté de distinguer dans ses œuvres des reflets de sa vie intime, il est globalement admis que l'on ne connaît du personnage que des détails insignifiants9. Cela n'est d'ailleurs pas particulier à Shakespeare, mais se retrouve chez beaucoup de ses contemporains, y compris de très célèbres comme Thomas Kyd ou John Webster10. Certains ont même affirmé qu'il n'existait

représentation selon le souhait de Musset après l’échec de La Nuit Vénitienne. Or une quarantaine d’année plus tard la pièce fût adaptée pour la scène, elle a été réécrite, modifiée, et simplifiée. Lors de ses premières représentations, le rôle principal du personnage de Lorenzo a été interprété par des femmes travesties. L'interprétation du rôle de Lorenzo par une femme traduit-elle le dessein et le projet de Musset ? Nous pouvons donc nous demander si plus précisément cette interprétation par des femmes

dans le vide. Le monde serait donc théâtre où les acteurs seraient livrés à eux-même. 2. Mais c’est surtout l’homme qui est un acteur et qui créé l’artifice - Dans les Liaisons dangereuses de Laclos [roman épistolaire du XVIII° s] les deux personnages libertins (Mme de Merteuil et le vicomte de Valmont) se construisent des rôles, et montent des plans afin de parvenir à leurs fins. Laclos montre -> un monde où l’homme joue un rôle / aussi metteur en scène – le tout dans une volonté d’édification

illusions du monde réel ? Shakespeare, Hamlet, acte II scène 2 Caldéron, La vie est un songe Gombrowicz, Yvonne princesse de bourgogne Jarry, Ubu roi Hamlet, Shakespeare Comment cette scène de rencontre des deux personnages avec Hamlet met-elle à jour les désillusions du jeune homme ? Introduction : - Shakespeare = théâtre élisabéthain - contextualisation : HamletPère est mort, et Claudius, son frère va épouser sa femme et prendre le pouvoir. Hamlet a une vision du spectre de son père

entourés par le public, sur trois côtés. Adossée au mur du fond, à l'arrière du proscenium, une petite scène couverte par un auvent de chaume peut être fermée par un rideau ; elle est surmontée d'un étage servant le plus souvent de rempart ou de balcon (Hamlet remparts). Un troisième étage accueille généralement des musiciens. Les théâtres privés, couverts, offrent aussi une vaste et profonde aire de jeu dans une salle de forme rectangulaire. Au niveau de la scénographie, le théâtre Elizabethain est

THÉÂTRE DANS LE THÉÂTRE produisant, par la mise en abyme implicite, un effet de re-présentation efficace mais aussi elle est utilisée « pour faire la satire d’une société en crise, celle du Cinquecento ». Maurice ABITEBOUL montre comment, dans Hamlet, « représentation théâtrale, certes, la pièce apporte aussi au spectateur la re-présentation d’une action que le protagoniste projette hors de sa conscience pour lui donner vie – une seconde vie – sur la scène ». On assiste ainsi dans la pièce à diverses

psychologie des personnages (en gros, à ne pas retenir) Le plus important reste Shakespeare avec ses 11 tragédies, 12 comédies, des tragicomédies et des pièces historiques. Il est un modèle pour les dramaturges des siècles suivants. Les théâtre élisabéthain se jouait habituellement sans décor, tout est suggéré, le seul texte est important. On observe aussi un mélange des genres, des scènes comiques au milieu d'une tragédie, pour relâcher la tension.en seconde, nous avons dû lire Hamlet, Othello, Macbeth 

compte-t-on l’argent ? » on voie aussi que le comique de mot et présent dans la pièce de William Shakespeare quand le fossoyeur chante : « il m’a pris par la peau du coup, Me v’là embarqué pour l’aut’ monde … ». Ensuite il y a le comique de situation dans Hamlet quand le fossoyeur chante alors qu’il est entrain d’enterrer une personne. Dans le texte de Pierre Corneille ou Primande voie les morts en vie : « Je voie Clindor, Rosine ». et enfin dans le texte de Victor Hugo au moment ou Dom Ruy Gomez veut voir

créé plusieurs textes qui sont passés à l’histoire, tel Othello, Macbeth, Hamlet et bien sûr, le plus connu de tous, la base même d’un mouvement encore actuel, Roméo et Juliette. Richard III est l’une de ses premières œuvres de Shakespeare. Elle fut écrite avant toute autre tragédie et n’est devancée que par quelques comédies peu importantes. Il s’agit aussi de la seconde plus longue pièce jamais écrite par Shakespeare, Hamlet étant celle pouvant revendiquer ce titre. De nos jours, il est extrêmement