Personnages secondaires du Pays du Feu

d'or" aux Pays-Bas 2 Les fondements : prospérité économique et ordre urbain 2 Les mentalités du « Siècle d'or » : calvinisme, humanisme, nationalisme 5 « Un supplément néerlandais à l'Ancien Testament. » (S. Schama.) 7 La culture du « Siècle d'or » 7 Quant à la peinture… 9 La civilisation du "Siècle d'or" aux Pays-Bas Christophe De Voogd Maître de conférence à l'Institut d'études politiques de Paris Ancien directeur de la Maison Descartes (Institut français des Pays-Bas)

inimaginable » (p. 45). Habituée aux livres anciens qu'elle a feuilletés dans la bibliothèque du domaine, elle s'attendait, dans sa grande imagination, à découvrir « quelque palais à pont-levis avec des tapis volants circulant au-dessus comme des mouches à feu du japon, à des sandales, à des brebis, à des armures étincelantes comme celle de la pucelle, à tout le moins, mais ce n'était que des maisons analogues à la nôtre, sauf qu'en plus joli, en moins vieux et en plus petit, comme si c'était des bébés

Thèmes secondaires : l’alternance repos - travail ; la vie quotidienne dans les sociétés industrialisées ; l’aliénation du travailleur, plus précisément du prolétaire. Texte 2 a. Thème central : les divisions sociales dans les sociétés traditionnelles (les clans, des groupes de familles, les membres du clan). b. Thèmes secondaires : la parenté, la lignée ; le nom ; la mythologie. Texte 3 a. Thème central : l’émancipation de la femme (la femme par opposition au mâle). b. Thèmes secondaires : le travail

d’ailleurs significatif : les pièces (plays) s’intitulent ‘‘Miracles’’ ou ‘‘Mystères’’, et les représentations ont lieu dans les églises ou juste devant. ---une littérature populaire, qui comprend surtout des romans et des comédies dont les nombreux personnages sont soit des animaux, soit des gens du peuple simples mais rusés. Le ‘‘Roman de la Rose’’, le ‘‘’Roman de Renard’’, ‘‘La Farce de Maître Pathelin’’ sont parmi les chefs- d’œuvre le plus connus. ---les ‘‘chroniques’’ historiques constituent également

 Histoire des Arts Français-3°H de Boris Vian Mme Garino – Année 2014-2015 Sommaire 1. Biographie de Boris Vian et contexte de l’œuvre page 3 2. Résumé de l’œuvre et présentation des personnages page 5 3. L’univers du roman page 7 3.1 le traitement de l’espace et du temps page 7 3.2 une narration sous le signe du cinéma page 8 3.3 l’impossible amour page 9 3.4 une société aliénante page 10 3.5 la critique de l’existentialisme page 11 3.6 le culte de l’inventivité et du jazz page 12

un paysage où la part des personnages est secondaire Ciel rempli de nuages sombres porte interprétation à la tempête L'histoire que se raconte n'est pas très claire l'art de florence en Italie les flendres (peinture à l'huile). La signification de ce tableau n'est pas très claire, et jusqu'à maintenant, aucune interprétation n'a encore été assez satisfaisante. Il semble avoir subi une lente élaboration, car la radiographie révèle un important repentir : le personnage d'une femme nue aux pieds

intérêt. Né à Hawaï, élevé plusieurs années en Indonésie, diplômé de l'Université Columbia et de la Faculté de droit de Harvard, il est, en 1990, le premier Afro-Américain à présider la prestigieuse Harvard Law Review, événement historique dans un pays qui a connu une ségrégation raciale jusque dans les années 1960. Après avoir été travailleur social, plus spécifiquement « organisateur de communauté » (community organizer en anglais), dans les quartiers sud de Chicago durant les années 1980, puis

juillet 1676. | |« Enfin c’en est fait, la Brinvilliers est en l’air : son pauvre petit corps a été jeté, après l’exécution, dans un fort grand feu, et | |les cendres au vent ; de sorte que nous la respirerons, et par la communication des petits esprits,il nous prendra quelque humeur | |empoisonnante, dont nous serons (tous) étonnés. Elle fut jugée dès hier ; ce matin on lui a lu son arrêt

Cambrai constituent un ensemble particulièrement représentatif des tendances de la peinture des Pays-Bas du XVIIe siècle. Le goût d’orner les demeures de peintures de chevalet, qui s’accentue à partir de la fin du XVIe siècle, va engendrer un déferlement sur le marché européen de petits tableaux de dévotion, de paysages, de scènes de genre et de portraits des Ecoles du Nord. En se séparant de l’Espagne, les Pays-Bas septentrionaux bénéficient d’une économie ascendante, alimentée par les échanges commerciaux

l’espace. Les édifices représentés en perspective cavalière ne sont pas « réalistes » (proportions non respectées) mais donnent une certaine idée de profondeur rien que par le fait d’être vus de biais et non pas de front. Il invite à l’empathie (personnages vus de dos qui font entrer le spectateur dans la scène), et il avance la perspective à double point de fuite (voir cycle de la Vie de Saint François à Assise). Les objets architecturaux occupent un espace supérieur placés de biais plus tôt que