Personnages Un Coeur Simple

Le lecteur est amené à réfléchir sur la société dans laquelle il vit et sur lui-même. Ex: Dans Bel-Ami de Maupassant,G. Duroy est un anti-héros, c’est un personnage extrêmement négatif, il se sert de son charme pour séduire des femmes qui vont le conduire dans un métier auquel il n’y connaît rien. Le lecteur peut donc s’identifier à ces personnages ordinaires. b) Le roman peut permettre de s'évader en déformant le monde et en le vivant -Déformation du monde: Le romancier veut faire passer une

sans divertissement » Ces deux romans du XX ème siècle présentent de nombreux points communs. Tout d’abord ils mettent en scène un personnage principal doté de plusieurs facettes. En effet, Langlois apparait dans un premier temps comme un inspecteur qui vient « sauver » les villageois mais sa personnalité disparaît peu à peu et il se transforme en monstre sans cœur. Meursault, lui aussi est présente de façon ambivalente ici. En effet, dans la première partie du roman il nous paraît imprégné de sensation

Critique du malade imaginaire Le « malade imaginaire », dernière comédie écrite Molière avant son décès et mondialement connue est adaptée en ce moment au théâtre des Martyrs en plein cœur de Bruxelles. Elle met en scène des personnages mythiques, comme Argan, interprété avec brio par Daniel Hansens, Toinette, Béline et bien d’autres… Argan, un bourgeois, se croit toujours malade ; sa femme, lui dispense des soins attentifs mais n’attend que sa mort pour pouvoir hériter. Plus soucieux de son

caractère de René qui l’amène au mal ou si c’est le mal qui détermine son caractère. L’interaction entre les deux est très forte. Mais il est certain que le caractère que Chateaubriand prête à son héros joue un grand rôle. Il est à la fois simple et complexe : simple, car les traits dominants sont facilement identifiables et complexe dans l’interaction de ces mêmes traits. a) L’inconstance L’inconstance est le trait de caractère dominant de René. « tour à tour bruyant et joyeux, silencieux et triste »

voir les choses ». Ses romans, s’ils rendent compte de la réalité historique et sociale d’une époque, le font non pas sous la forme d’un tableau embrassant tout un horizon, comme la Comédie humaine de Balzac, mais à travers l’itinéraire de ses personnages. C’est notamment le cas dans Madame Bovary (1857) et dans l’Éducation sentimentale (1869). Mais Flaubert va renier cette étiquette car il ne se considérait pas comme tel. II – Caractéristique du registre réaliste : a) Une vision de la réalité :

confirme cette absence de sentiment, cette froideur inhumaine : « Que faut-il donc de plus ? Notre roi chasse ; en route il écrit ce qu'il tue avec le temps qu'il fait. C'est fort bien. » L'écriture doit être efficace, fidèle au événement. Mais ce style simple traduit l'absence de profondeur et de sentiment qui caractérise les rapports à la cour. Le jugement final a un aspect comique pour le spectateur mais tragique pour la reine. Le roi est comme un fantôme dans la pièce et dans la scène. Il est là par

du travail) et - une partie critique plus longue (70% à 60 %) qui devra comporter obligatoirement les points suivants : 1. L'histoire (ce qui a été inventé ou choisi, et qui constitue ce qui est raconté) : l’intrigue, le temps, l’espace, les personnages 2. Le discours (la manière dont on a choisi de présenter l'histoire) : ordre du récit et procédés utilisés pour la narration 3. Les effets et sens du récit: vision(s) du monde donnée(s) à comprendre par le roman I. La présentation (30 à 40% du

registre réaliste (abondance de détails vraisemblables). Tous trois sont des descriptions qui ont des passages de récits. Ils se rejoignent dans leur type de personnages. Effectivement, chacun présente une femme qui travaille dont les auteurs veulent montrer la réalité de sa besogne. Nous allons démontrer l’appartenance de ces personnages au registre réaliste. Dans ces extraits, chaque auteur a fait le choix d’un univers quotidien. Les femmes décrites sont toutes des « travailleuses » anodines

1. Résumé du roman Dans un recoin isolé de la région du Sichuan, au cœur du « Phénix du ciel », montagne située dans le petit district de Yong Jing, deux amis, fils d’« intellectuels bourgeois » sont envoyés en rééducation pour s’initier aux conditions de vie des paysans, et ce, dans les années qui suivent la Révolution culturelle, en 1971. Le narrateur, dont on ignore le nom, (il s’appelle Ma dans l’adaptation cinématographique réalisée par Dai Sijie en 2002) joue un rôle actif mais reste la

bonheurs simples et la Vie. Une histoire charmante et non dénuée d’humour malgré les drames vécus par les personnages… Mais je suis déçue. Je m'attendais à un livre qui s'adresse aux adultes, or c'est plutôt au rayon jeunesse qu'il faudrait le classer ! Cette nouvelle sur le passage initiatique de l’enfance à l’âge adulte, nous offre une réflexion, un peu simpliste et pas originale, sur l’amour, la joie de vivre et la tolérance. L’écriture, essentiellement du dialogue, est simple ; le livre